Une vie qui ne manque pas de génie (3) – Découvertes GENIEtales !

Vous ne me croyez pas? Et pourtant vous devriez… Vous qui lisez ces lignes, vous vous dites assurément que l’histoire de ma vie est surréelle, fantastique ou je ne sais quoi encore… Et pourtant, elle est plus vraie que vraie… Ça s’invente pas des histoires comme ça, m’enfin !

L’arrivée d’Eugénie a clairement chamboulé ma vie, et quand j’y repense de façon rétrospective, je me dis que l’apparition de ce génie m’a offert une autre vision des choses, et des gens… Mais revenons en à nos moutons… Où en étais-je ? Ah, oui…

— Dis, il faudrait qu’on règle deux ou trois choses, lui dis-je…
— Ha bon, quoi donc, me répond-elle avec un petit air malicieux.

La vérité m’apparaît comme des plus criantes…

— T’as pas l’impression que certaines ont un peu cloché, non?

En feignant un air totalement innocent, Eugénie furète à droite et à gauche dans mon studio.

— Tu voulais bien une fille vierge, non? Tu voulais qu’elle ne débarque pas par magie, non ? Tu as eu tout ce que tu désirais…

Sa mauvaise foi m’amuse plus qu’elle ne me choque. Il est indéniable que c’est bien ce que je souhaitais mais elle s’est arrangée pour le faire à sa façon… Je lui demande alors:

— Et les anchois, c’était pourquoi ?

Eugénie, toute surprise, me regarde alors dans les yeux et éclate de rire. Malgré le fait qu’elle m’avait dit ne pas vouloir assister à mes ébats, je suis persuadé qu’elle ne s’est pas gênée…

— Oh, ça…. Disons que c’était de l’improvisation… Ça ne t’a pas plu ?
— Mais Marianne a bien failli partir sans que quelque chose se passe…
— Mais, cher Nico, il faut que tu donnes un peu de toi même…

Elle attend quelques secondes et rajoute en riant : Et puis tu avais l’air tellement chou à attendre qu’elle te saute dessus…

De bon coeur, je souris. C’est sur que toute cette scène avait été ridicule… mais bon, j’ai eu ce que je voulais.

— Bon, Eugénie, à l’avenir, mets y un peu plus les formes… Du style, que Marianne ne me plante pas, comme ça, pour aller en cours, ou encore le coup des préservatifs et du gel dans ma table de nuit. OK ?

Au fond de moi même, je me fous un peu de ce que je raconte… De quoi puis je réellement me plaindre? Entre ça et attendre tranquillement le porno de la fin de la semaine… le choix ne m’a pas l’air difficile. Eugénie, j’en suis persuadé, ne se dérange pas pour lire dans mes pensées. Après tout, c’est mieux comme cela… Depuis qu’elle est rentrée, je me tiens toujours près de la fenêtre qui côtoit mon lit. J’ai une vue parfaite sur la rue qui longe mon immeuble. Je m’aventure à regarder un peu les passants et aperçoit Marianne qui sort de l’immeuble. Sa démarche semble si naturelle, bien loin de ce qui vient de se passer. Elle marche allègrement, d’un pas léger, vêtue elle aussi d’une petite tenue d’été. (Bien que nous ne soyons qu’au mois de mai…). Eugénie m’interromp alors :

— Viens donc prendre une douche, Nico, ça te fera du bien.

Manifestement ce génie est tout bonnement fantastique… C’est tout à fait ce qu’il me fallait. Je me recule un peu et me retourne en sa direction. Elle a changé comme par magie de tenue, se retrouvant elle aussi en peignoir.

— Zou, suis moi, me dit-elle.

Elle se dirige vers la salle de bain et j’emboîte le pas. La douche coule déjà. Un frais parfum de jasmin flotte dans l’air. Alors qu’Eugénie, tout en souriant, commence à défaire le noeud de son peignoir et à le retirer, je lui demande alors :

— Mais ça ne devait pas rester professionnel ?
— Ça le restera, gros nigaud, me répond elle.

Elle s’approche alors de moi, retire mon peignoir, m’attrape par la main et m’attire sous la douche. La vapeur d’eau qui envahit la salle de bain brouille un peu ma vue. On se croirait dans un sauna, si bien que j’ai du mal à bien détailler le corps d’Eugénie. L’eau coule sur nos corps, enfin le mien, ça j’en suis sur… le sien, allez savoir si elle est bien matérielle. Il n’empêche qu’elle se tient face à moi, avec un gant à la main.

— Laisse toi faire Nico, je sais que tu en as envie…

Comment lui mentir puisqu’elle lit dans mes pensées… Elle commence à me frotter délicatement le torse de sa main gantée, enduite de gel douche. C’est fou comme elle s’y prend bien.

— Tu sais, me dit elle, j’ai autrefois travaillé dans des hammams…

Je ferme les yeux et laisse vagabonder mon esprit. Je me tiens droit comme un piquet, sous l’eau ruisselante, à la merci d’Eugénie. Elle joint sa deuxième main à sa besogne et poursuit son frottement qui devient de plus en plus langoureux. Après quelques minutes, je sens que son mouvement s’arrête. Inquiet (enfin pas trop quant même…), j’ouvre les yeux et la vois qui se baisse pour se mettre à genoux. Certaines, ayant mon sexe au niveau de leur visage, auraient pu se mettre à me sucer… vulgairement dirais-je… Mais non, mon merveilleux génie continue à frotter, d’abord mes mollets, puis remontant lentement, elle s’attaque à mes cuisses. D’un mouvement lent mais ferme, elle en frotte les contours. Dieu que c’est exquis ! J’aurais dû la trouver plus tôt !

— Nico ?
— Oui Eugénie ?
— Ferme les yeux, adosses toi au mur et laisse toi faire… me dit-elle. Je vais te faire découvrir quelque chose que tu n’as jamais connu !

Bien curieux de ce que ça peut être, je m’exécute. Le contact plus froid du mur se fait frissonner mais qu’importe…. Eugénie a cessé ses mouvements sur mes cuisses. Je sens alors sa main qui s’empare de mon sexe. Je vous concède volontiers, cher lecteur (nous sommes bien devenus intimes, non? Je vous raconte ma vie, non?), que ma queue se tenait bien droite depuis un bon bout de temps, car les caresses que m’avait prodigué Eugénie étaient d’une grande sensualité !

— Ne t’en fais pas, me sirote-t-elle, je vais bien m’occuper de toi…

Je sens alors le contact du gant; c’est sûrement avec son autre main qu’elle opère, et avec une infinie délicatesse, elle entreprend de nettoyer mon sexe. La situation est terriblement excitante, et pour semble-t-il améliorer son effet, elle entreprend de me masturber. Je sens que je vais immédiatement exploser mais je me retiens comme un fou car je ne voudrais pas qu’elle prenne ça mal… Terrible erreur…

— Laisse toi aller, me dit-elle…

Il est vrai que je ne peux rien lui cacher et ma proche jouissance ne lui avait donc pas échappé. L’écoutant volontiers, j’arrête de retenir mon excitation et cède sous ses caresses. Pour optimiser cette masturbation, elle attrape bien mon sexe au moyen du gant qu’elle a enduit de gel… du moins c’est ce que je ressens car je ferme toujours mes yeux comme elle me l’avait demandé. L’excitation ne cesse d’augmenter et je sens que je suis à un fil d’éjaculer… Je ne sais même pas ce qui doit me rester dans mes réserves après la fellation qu’elle m’a prodiguée plus tôt dans la nuit puis après le passage de Marianne… L’impression générale que me donne sa technique est d’être dans le doux et chaud sexe d’une femme…

Ce qui devait arrivait… arriva. Dans un cambrement de mes reins, j’explose et éjacule abondamment. Eugénie, manifestement pas découragée, continue toujours sa besogne. Après quelques longues giclées de sperme, je m’attends à sentir mon sexe débander… Mais cela n’arrive pas. Mon génie poursuit, en accélérant, sa manoeuvre. La vitesse à laquelle elle s’exécute doit dépasser de loin la plus rapide de toutes les masturbations que je me suis prodiguées ! C’est tout bonnement spectaculaire !

— Jouis, jouis, dit-elle mielleusement.

Mon sexe se tient toujours droit et prêt à se décharger, d’autant plus que je me sens sur le point d’éjaculer. Je ne cherche même plus à comprendre comment cela est possible… avec Eugénie, tout est possible ! Tandis qu’elle empoigne toujours ma queue, celle-ci se remet à éjaculer abondamment. Un nouvel orgasme me foudroie longuement. Comme pour satisfaire mes plaisirs, ma réserve de sperme semble intarissable… Je ne cesse d’expulser des giclées et des giclées, me procurant orgasme sur orgasme.
Après un temps qui me semble infini, et après des dizaines d’orgasmes qui se succède à une vitesse folle, j’ai l’intime conviction d’avoir inondé la douche…

— Et voilà le travail, m’annonce fièrement Eugénie.

Je n’ai jamais ressenti une telle chose ! C’est une expérience inoubliable ! J’ouvre les yeux, et vois Eugénie qui s’est redressée et se tient maintenant debout face à moi…

— Tu vois que c’est resté professionnel, me dit-elle en me faisant un clin d’oeil…

Alors que je reprends mes esprits (s’il m’en reste!), elle ajoute:

— Finis ta douche, je t’attends sur ton lit…

Elle sort alors de la douche, sans que je puisse dire un mot. Le temps me parait terriblement long sans elle, aussi je m’active pour rapidement finir…

Aussitôt sorti, je réenfile mon peignoir et sors de la salle de bain. Eugénie m’attend, nue, allongée sur mon lit. Elle a écarté les cuisses, exposant toute son intimité à la vue de tous, et feignant de ne pas m’avoir vu, elle se caresse la chatte… D’une main, elle titille son clitoris et de l’autre, elle pénètre son vagin… La scène semble harmonieuse, tant elle s’y prend à merveille. Alors que je la regarde depuis un bon moment, elle relève la tête et me dit, en rigolant :

— N’envisage même pas d’y toucher… Moi aussi j’ai le droit de me faire plaisir non ?

Je ne sais pas quoi lui répondre. Après toute la jouissance qu’elle a pu me fournir, elle doit bien avoir le droit à ça, non ?

— Assied toi à côté de moi, me dit elle.

Je m’exécute, sans cesser de l’observer.

— Tu voulais me parler, non ? Me demande t elle en sachant pertinemment la réponse.

Il est clair que certaines choses m’intriguent.

— Tu m’as dit que je peux contrôler toutes les relations humaines et tout ce qui concerne le sexe, c’est bien cela non ?
— Oui Nico, tu peux faire ce que tu veux, avec qui tu veux.
— Mais, si je désire par exemple que quelqu’un me suce en plein milieu de la rue, comme ça, comment est-ce que ça marche? Tu forces la personne à le faire, ou bien il y a autre chose ?
— Tu penses sûrement à Marianne, n’est ce pas Nico ?

Je ne peux évidemment pas dire non. La fin de ma douche a été propice à quelques réflexions, notamment ce qui s’est passé avec Marianne.

— Tu veux savoir ce qui va se passer avec elle, c’est bien cela…

Je ne réponds même pas et la laisse continuer.

— Et bien c’est tout simple, elle fera ce que tu voudras. Tu la désires, elle viendra taper à ta porte comme si de rien était et zou !
— Attends attends … lui dis-je tout étonné. Comment est-ce que elle va le vivre? Quand elle ne sera pas ici, sera t elle consciente de ce qui s’est passé, des anchois…
— Euh, à vrai dire…

Eugénie semble un peu gênée, et je suis sur que j’ai mis le doigt sur un point faible…

— Oui Eugénie ? Je t’écoute…
— Disons que mon rôle, bien souvent, se limite à celui de catalyseur…
— Tu veux dire que cela aurait dû arriver ?

Cette révélation me donne l’impression d’une baffe. En revanche, Eugénie ne semble pas déconcertée par mon désarroi. Elle continue à caresser son clitoris et à se mettre trois doigts dans le vagin. Elle s’agite de tout son corps, si bien que, étant allongée juste à côté de moi, je ressens chacun de ses mouvements… Mais, je m’en moque un peu… Ce que vient de me dire Eugénie me laisse sur le cul !

— Ecoute Nico, cette fille avait flashé sur toi depuis longtemps mais jamais elle n’aurait osé venir te parler tellement elle est timide. Je me suis contenté de favoriser votre rencontre.
— Tu opères toujours de cette façon?
— Ça dépend des cas… En ce qui la concerne, il ne tient qu’à toi de choisir ce que tu veux avec elle…
— Tu peux préciser ta pensée, Eugénie?
— Soit… Haaaaaaa !

Ce hurlement, c’est mon génie qui est train de jouir bruyamment sans se soucier qu’elle me file une érection d’enfer… Elle reprend après quelques secondes sa phrase…

— Soit elle reste ta voisine, certes qui aura vécue une expérience avec toi, mais dont la timidité la fera renoncer à continuer… soit elle devient ta copine et s’invite chez toi pour toutes sortes de choses…

J’ai peur de mal comprendre ce qu’elle me dit…

— Ses sentiments sont donc vrais ?
— Oui Nico… Enfin si tu veux, j’ai aussi en catalogue la possibilité de lui faire faire n’importe quoi… Style maison close ou je ne sais quoi ! Mais il ne me semble pas que ça te corresponde…

Elle a clairement bien cerné mon caractère. Le sexe pour le sexe, c’est bien mais ça a ses limites… Puisque je peux avoir ce que je veux, autant choisir de la qualité… et pas seulement de la quantité ! Me voyant bien tiraillé, tel un gamin devant un magasin de jouets, Eugénie continue de se masturber, s’emparant maintenant de gadgets qu’elle sort de nulle part! Elle prend en main un vibromasseur plus gros qu’un concombre et se l’enfourne d’un seul coup. Les génies aussi doivent avoir leur libido… enfin, quand ils choisissent leur sexe étant donné qu’ils sont asexués ! Au moins, ils peuvent tout tester !

— Nico ?

Elle m’interromp dans ma réflexion…

— Tu sais ce que je vais te proposer ?
— Non, mais dis toujours Eugénie.
— Je suis de bon conseil non ?

Il est indéniable que ses propositions sont particulièrement avisées… Elle continue sans me laisser répondre.

— Donne moi carte blanche pour te surprendre. Au pis, si ça ne te convient pas, mais j’en doute, tu pourras toujours me demander d’arrêter… Ce conseil me semble tomber du ciel…
— Je te mets en garde contre les erreurs qu’ont commis tous mes précédents maîtres… À force d’excès, vous les humains, vous vous lassez et plus rien ne vous surprend… Alors mieux vaut avoir les choses progressivement… ça n’en sera que meilleur.

En plus d’être mon génie, ce que je pense être aussi une amie, une confidente… Eugénie me semble aussi prendre un rôle de sainte… Vous connaissez beaucoup de génie qui donnent de si bons conseils à leur employeur…? J’en doute !

Cela doit faire déjà un bon quart d’heure que nous parlons et qu’elle se masturbe… Je me relève d’un seul coup, la laissant à son plaisir, me dirige vers mon placard et sort des affaires pour m’habiller.

— Stop ! dit soudain Eugénie. Change un peu de fringues, met plutôt ce que je t’ai préparé sur la chaise. Je me retourne et découvre, bien pliées sur ma chaise de travail (juste à cote de mon bureau), une tenue quasiment de soirée : pantalon, costard, chemise… le tout en noir ce qui donne non pas une impression de pingouin coincé ou de frimeur, mais plutôt un look de…
— De type à craquer, dit-elle.

Je m’empresse de m’habiller. La tenue me va parfaitement bien.

— Il y a un truc que je ne comprends plus, lui dis-je. Normalement, un génie, ça ne marche pas à coup de « Je veux » ou de « Exauce » ? Pourquoi te donnes tu tout ce mal, et surtout dans des domaines qui n’entrent pas dans mes voeux ? Il ne me semble pas avoir souhaité être bien conseillé, non ?

Eugénie, s’interromp, comme vexée par ce que je viens de lui dire. J’ai presque l’impression d’avoir dit une grosse connerie…

— Tu sais Nico, parfois on se lasse de tomber sur des rois sanguinaires, des psychopathes pervers ou je ne sais quoi encore… J’ai eu tellement de maîtres qu’il faudrait plus qu’un annuaire pour pouvoir tous les énumérer… Alors quand j’en trouve un, puisque je ne les choisis pas, qui me plait bien, je fais un peu de zèle…

Cette remarque me va droit au coeur et j’acquiesce, comme pour lui prouver ma satisfaction.

— Bon, ça te dit un petit tour en voiture ? Me dit elle soudainement.

Avec tous ses évènements, plus rien ne me surprend… bien évidemment, je n’ai pas de voiture, mais on va aviser, je le sens… Eugénie se retire tout l’attirail qu’elle s’est fourrée dans le trou, se lève et ramasse ses vêtements (oui, la tenue d’été du début…). Chose amusante, elle ne met pas de culotte et sous sa jupe, elle ne cache rien de son intimité. Qu’importe puisque personne ne peut la voir, si ce n’est moi.

— Tien, attrape ! Me lance-t-elle.

Elle me jette alors les clés d’une voiture dont je tairais ici la marque pour ne pas faire de pub. Enfin, si, je ne le dirais qu’à vous, cher lecteur… Comme par magie, Eugénie m’a offert un coupé Mercedes CLK… Voilà qui promet… Elle m’attrape par la main, et m’attire vers la porte de mon studio. Après avoir descendu les quelques étages qui nous séparent du rez-de-chaussée, nous sortons de l’immeuble et nous dirigeons vers « ma » voiture, admirablement garée juste sous mon nez. Eugénie monte du côté passager. Juste avant de mettre le contact, je lui dis:

— À propos, Eugénie, c’est d’accord pour ta proposition.

Elle me regarde alors, me sourit et me fait un clin d’oeil. Après avoir fait démarrer la voiture, je ne sais pas trop où aller mais bien vite, je comprends que mon génie a une idée en tête. Elle me guide dans les rues et m’annonce la direction. Elle me demande de me garer dans une rue commerçante et me tend quelques billets.

— Vas donc acheter à ta belle quelques kilos d’anchois !

Nous éclatons alors ensemble de rire… Maudits anchois ! Non mais vous me voyez aller chez le poissonnier, acheter des anchois qui empestent, et les offrir à Marianne ?

— Dis, Eugénie, on ne pourrait pas oublier les anchois…?
— Ok, me dit elle avec un brin d’hésitation… Ça commençait à m’amuser cette poiscaille ! Il y a un fleuriste juste à coté, vas y…

J’ai commandé un bouquet.

Je sors de la voiture, rentre chez le fleuriste et en ressors avec un énorme bouquet de roses (en nombre impair bien sur !) qui m’a coûté la bagatelle de… beaucoup d’argent… Manifestement, Eugénie ne lésine pas sur les moyens ! Sitôt revenu dans la voiture, elle me demande de me garer dans le parking de la faculté.

Il est 9 heures du matin et quelques étudiants flânent dans les grands jardins de l’université. Je ne vois pas très bien où Eugénie veut en venir mais je comprends bien vite. Près du portail, je vois une silhouette que je connais bien. C’est Marianne qui arrive… Pauvrette, elle a dû sacrément marcher.

— Va la voir, me glisse Eugénie.

Je sors alors de la Mercedes, et accours vers Marianne, le bouquet à la main. Sans que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit, elle se jette à mon cou et m’embrasse langoureusement. Il faut bien avouer que le bouquet me bloque un peu les mains, alors pour cette fois-ci, je me contenterai de l’embrasser… Nos langues se mêlent; parfois c’est moi qui prends l’initiative, parfois c’est elle qui envahit ma bouche. Après quelques minutes, elle me laisse enfin prendre la parole:

— Salut ma puce, ça te dit un petit tour?

Elle me regarde dans les yeux puis vient me dire tendrement à l’oreille:

— J’ai une meilleure idée… Elle est où ta voiture?

Je lui désigne le coupé.

— Hé, super ta voiture… Elle sort d’où?

Cette remarque m’amuse car je me suis fait la même…

— Oh, c’est rien… c’est juste le cadeau d’une bonne amie…
— Dis, tu me la présenteras ! Moi aussi je veux des cadeaux comme ça !

Elle m’attrape par la taille et nous nous dirigeons vers la voiture. Eugénie est maintenant assise à l’arrière mais Marianne n’a rien remarqué, bien évidemment. « Ma » copine est vêtue de sa petite tenue d’été, à savoir un short moulant et un chemisier. Elle m’excite totalement et si je le pouvais, je lui sauterais dessus tout de suite. Certes, c’est à ma portée… Il me suffirait d’en faire le souhait… Mais je ne le fais pas… je préfère attendre la suite ! Marianne me demande de la raccompagner chez elle et je m’empresse de le faire. Arrivés devant l’immeuble, là où ma place de voiture m’attend (merci Eugénie!), Marianne m’invite à passer chez elle…

— Tu sais, je n’ai jamais invité un garçon chez moi… Ça me fait tout drôle, dit elle en riant.

La montée par l’ascenseur me semble terriblement longue. Aussi, Marianne comble-t-elle le temps en me couvrant de câlins. Il faut que je vous précise, cher lecteur, que pendant que je conduisais, je n’ai plus vraiment fait attention à Eugénie et je me suis rendu compte qu’une fois arrivés, qu’elle n’était plus là…

Ma copine me tire maintenant par la main pour pénétrer dans son appartement et je découvre son jardin secret… Un chambre de fille typique… Avec tout ce qu’il faut de fleurs, de tableaux d’animaux au mur, etc…

— Installe toi sur le divan, me dit-elle. Je n’en ai que pour quelques minutes…

Sitôt dit, sitôt fait, j’avance vers le divan et m’allonge en long, car je commence à être un peu fatigué… Il faut bien avouer que la nuit a été très très longue… Et puis… psiou ! Je sens mes paupières assez lourdes, qui ne demandent qu’à se fermer. Marianne a beau me parler dans cesse, à me raconter à quel point elle m’aime, je ne puis résister et je m’assoupis. Cet endormissement est propice à me remémorer les dernières 12 heures… Tout apparaît comme des flash… Le vase cassé, la bague, Eugénie, les anchois…

J’ai du sacrément dormir, car quand j’émerge un peu, je ne suis plus sur le divan mais sur le lit de Marianne, il fait nuit … et je suis nu. J’ai du mal à ouvrir les yeux car je me sens tout flappi. Toutefois, ça ne empêche pas de sentir une présence à côté de moi… C’est Marianne, assise sur le lit (nue elle aussi), et qui me regarde.

— Comme tu es mignon, me dit-elle. Quand tu dors, on dirait un bébé.

Je me souviens alors de ce que m’a dit Eugénie; tout ce que ressent Marianne est vrai… le seul rôle de mon génie n’a été que de faciliter les choses. Je tourne difficilement la tête vers elle, la regarde dans les yeux et lui souris longuement. Elle aussi, elle est superbe; j’aime tout chez elle… son visage, son corps, son moi…

— Ne bouge pas, me dit-elle, je vais m’occuper de toi.

Je remets ma tête en place ce qui semble lui dire que je suis d’accord. Elle tend alors une main vers mon sexe, un peu mou. Elle l’attrape maladroitement, et à sa grande surprise, je bande instantanément. Elle se retrouve donc avec ma queue toute dure entre ses doigts. Et là, elle fait quelque chose qu’aucune fille ne n’avait jamais faite… elle attrape de l’autre main une règle qu’elle tenait près d’elle et elle commence à s’amuser à mesurer la longueur de mon engin. Ça me donne presque envie de rigoler… Elle s’évertue à essayer de la juger, ne sachant vraiment où commencer à calculer.

— J’ai toujours été curieuse de savoir ça, me dit elle d’un air assez naïf.

Personnellement, je m’en fous un peu. Je me laisse faire.

— 18 centimètres, s’écrie t elle après quelques mesures. C’est beaucoup ?
— Oh non, c’est dans la moyenne, lui dis-je.

Toute contente de sa nouvelle découverte, elle ramasse alors par terre une sorte de livre. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que c’est un magazine porno. Elle le feuillette un peu, et s’arrête sur une page en particulier.

— Tiens regarde, me dit-elle. C’est un best of des meilleures positions.

Content au fond de moi même, j’attrape alors d’une main sa taille (elle est toujours assise à côté de moi). Je commence à la caresser un peu mais çà ne semble pas la déranger dans la lecture. J’ai l’impression de voir quelqu’un au restaurant en train de choisir le plat qu’il va manger. Dire que je me revois la sodomiser sur sa demande… Mais où est passée cette jeune vierge pas si naïve que ça? A tous les coups, Eugénie avait dû lui forcer un peu la main pour qu’elle s’attarde à mon plaisir ! Mais qu’importe, je préfère des filles plus… timides.

Je me redresse alors un peu, lui attrape des mains le magasine et le balance dans son studio.

— Tu sais ce dont j’ai envie, ma puce? Lui dis-je

Elle me regarde droit dans les yeux avec un air un peu surpris que je refuse sa proposition…

— C’est de toi…

De mes mains, je l’attrape par la taille et la fait rouler sur le lit. Nous voila donc tous les deux, allongés sur son lit, moi un peu au-dessus…

— C’est à mon tour, lui dis-je. Laisse toi faire…

Allongée sur le dos, elle écarte les bras et les cuisses au maximum. Je me positionne alors sur elle. J’approche mon visage du sien, tandis qu’une de mes mains descends vers son intimité. Je commence à l’embrasser langoureusement; Marianne ferme les yeux, comme pour mieux se faire surprendre. Ma main aventureuse, arrive vers les premiers poils de sa chatte. Elle progresse lentement, en prenant garde de caresser tous les recoins. Arrivée au niveau de ses grandes lèvres, elle entame une danse infernale de caresses superficielles… Par ailleurs, je ne cesse de l’embrasser comme pour engloutir son plaisir. Dans un instant où elle parvient à dire quelque chose, elle m’annonce:

— Vas y, je t’offre ma virginité…

Ma main baladeuse continue sa route, titillant son clitoris qui grossit sous mes doigts. Je me redresse alors, embrassant au passage à poitrine, non pas excessive mais bien proportionnée et agréable à regarder… et à toucher, et approche ma bouche de son intimité. Ma langue se faufile dans les méandres de sa touffe et parvient enfin à lécher sa chatte. D’abord en surface, mêlant de l’aspiration de son clitoris et un nettoyage de ses grandes lèvres, puis plus en profondeur, tentant de pénétrer son vagin du bout de la langue. Elle mouille abondamment et ce n’est pas sans m’exciter… Après un bon moment de ce traitement, j’estime le « terrain » prêt. Je me positionne face à elle, lui fait redresser les jambes pour pouvoir la mettre dans la position du missionnaire. Je m’allonge partiellement sur elle, assez bien pour pouvoir placer bien mon sexe à l’entrée de son vagin et m’étire pour arriver à placer mon visage à côté du sien et à l’embrasser.

— Tu es prête? Lui dis je.

Je ne la laisse même pas répondre et commence ma pénétration. Ma queue bien raide se fraye un chemin et bloque bientôt sur sa virginité. Pour diminuer sa douleur, j’entreprends de l’embrasser alors que je force un peu pour passer le barrage que représente son hymen. Ça bloque un peu mais qu’importe… Je sens qu’elle souffre un peu, si bien qu’elle manque presque de me mordre la langue, mais bientôt, mon sexe a vaincu cet ennemi… Me voila entièrement en elle. Commence alors un lent va-et-vient, ponctué de pauses pour admirer Marianne en pleine jouissance. Comme elle est belle… J’en ai presque le coeur qui chavire…

De son coté, elle goûte au plaisir de la jouissance. J’accélère au maximum mes mouvements pour la faire jouir de son mieux. Après quelques instants de ce traitement, j’explose en elle, la faisant à son tour jouir, foudroyée par un orgasme. Je ralentis la cadence, et la regarde… elle a fermé les yeux, comme pour mieux apprécier le moment. Elle halète encore un peu.

— Je t’aime, me dit-elle alors…

J’ose croire que ce qu’elle me dit est vrai… Je me redresse un peu, fait sortir ma queue flappie de ce fourreau et me mets debout. D’un regard inquisiteur et étonné, elle me demande:

— Mais où va tu mon chéri?

Sans lui mentir, je lui réponds :

— Je vais au petit coin…

Etant donné que son studio a la même configuration que le mien, je devine rapidement où sont les toilettes… Je m’y rends mais pas pour un besoin pressant… Je ferme la porte et caresse la bague. Eugénie apparaît alors… dans la cuvette des WC.

— Oui Nico ?
— Dis, tu pourrais me recharger un peu les batteries ?

Eugénie sourit du coin des lèvres et acquiesce.

— Et sinon, quoi d’autre ?

J’ai une idée en tête mais j’ai un peu de mal à la formuler… Alors que je cherche les mots, Eugénie me dit:

— T’en veux une un peu plus grosse, c’est ça?

Un peu dérangé, j’acquiesce. Ce dont j’ai envie, c’est d’essayer le calibre au-dessus… On verra bien.

— Bonne continuation, me lance Eugénie.

Comme par magie, son visage disparaît de la cuvette des WC et à peine je descends la tête, je me retrouve nez à nez avec « l’engin »… Merde alors, je lui avais demandé un truc d’un peu plus gros… Pas la queue de Rocco !

Je sors des toilettes, tant bien que mal, en essayant de ne pas trop la tamponner contre les murs et m’en retourne près de Marianne ! Je le plains le pauvre Rocco, mais comment fait-il pour marcher avec un engin pareil ? Marianne, de son coté, n’a pas bougé. Je le retrouve les yeux fermés, allongée sur le lit. Je m’approche d’elle lentement et lui glisse à l’oreille.

— Gardes les yeux fermés !

J’ai bien envie de conserver ma surprise…

— Ok, me répond elle. Dis moi seulement ce que je dois faire.
— Met toi à quatre pattes.

Elle se retourne alors sur le ventre puis se redresse. J’ai alors sa croupe à portée de main. Je la caresse un peu puis monte sur le lit. J’oriente mon nouveau calibre vers son vagin, place mon gland près de son trou et l’enfile d’un coup. Sous la surprise de cette pénétration et l’ampleur de l’engin, Marianne manque de tomber. Heureusement, je la retiens par les hanches. Elle hurle alors de plaisir. Ma queue est tellement grosse et longue que j’ai du mal à la faire pénétrer. Elle bloque un peu dans le vagin encore serré de Marianne et je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour bien la pénétrer. J’ai déjà du mal à rentrer mon sexe jusqu’à la moitié mais pourtant j’insiste un peu.

— J’en peux plus, me dit-elle.

Je continue tout de même J’entreprends de grands mouvements, tachant à chaque fois de progresser un peu plus dans son vagin. Soudain, en prenant assez d’élan et en poussant bien, je m’enfile jusqu’à la garde. L’effet est immédiat : Marianne sursaute et subit un orgasme qui la fait crier…

— Encore, me hurle-t-elle.

La cyprine ruisselle sur ses cuisses et nos organes génitaux sont poisseux de sécrétions. Tandis que je n’ai pas encore joui, je décide toutefois de délaisser son vagin. La sortie de ma queue se fait avec un gros bruit de bouteille qu’on débouche. Un peu étonnée, Marianne tente de se retourner pour voir ce que je fais. Je me baisse un peu pour la lécher par derrière mais la manoeuvre n’est pas aisée. Je rapproche alors ma main de sa chatte, enduit mes doigts de ses sécrétions et m’en vais l’étaler sur ses fesses. Je compte bien refaire ce que j’ai fait cette nuit. Comprenant où je veux en venir, et avec un « Mmmhhh » approbateur, Marianne me tend sa croupe.

— Eclate moi les fesses, me dit-elle…

Si elle savait ce que je vais lui fourrer ! La manoeuvre est vite accomplie; une fois son cul lubrifié de cyprine, il ne reste plus qu’à tenter de faire rentrer mon engin… et ce n’est pas chose gagnée…
Je place mon gland au niveau de sa rosette, l’attrape fermement par la taille et tente une entrée en force… ce qui ne marche pas vraiment. Mon gland, énorme, bloque au niveau des sphincters.

— Pousse, lui dis-je.

Je sens son anus qui se dilate, et profitant de cet instant, j’enfonce toute ma queue dans son cul. Cette pénétration la laisse sans voix. Imaginez vous, lecteur, avec 25 centimètres dans le derrière, hein?

— Elle est énorme ta queue, Nico. Elle n’était pas aussi grosse avant, me dit Marianne.

Comme je ne vais pas lui expliquer que c’est un génie qui vient de la faire grossir, je me contente que lui dire que c’est elle qui m’excite et qui l’a fait grossir…

Satisfaite de cette explication au combien complimenteuse, elle entreprend un mouvement de son derrière. Je continue son oeuvre et fait glisser tendrement et fermement mon sexe dans son fourreau. La jouissance augmente, Marianne commence de plus en plus à brailler et je finis par exploser dans son cul. Je déverse un bon litre de sperme dans ses entrailles. Sous la violence de mon éjaculation, ma copine s’effondre sous le lit, et à bout de force, elle s’endort. Je retire ma queue (enfin celle de Rocco), de son petit postérieur et m’allonge à coté. Je ne tarde pas non plus à m’endormir.

Dans un moment de court réveil, il me semble entendre Marianne dire qu’elle savait bien que ma queue était plus grosse… Mais j’en doute un peu car elle dort à côté de moi. Je ne me réveille que bien plus tard, en pleine nuit. Bien décidé à rentrer chez moi, j’essaie de quitter le lit sans trop la réveiller. J’attrape mes affaires qu’elle a déposées par terre, m’habille rapidement et alors que je viens lui déposer un baiser sur la joue, elle ouvre les yeux.

— Je t’aime, me dit-elle.
— Moi aussi, Marianne.
— Oublies pas les croissants demain…
— Ok ma puce… avec des anchois ?

Cette phrase m’a échappée et je vois Marianne bien surprise par cette question.

— Laisse tomber, lui dis-je.

Elle se rendort et je quitte son appartement.

Quand je rentre chez moi, je trouve Eugénie en train de lire sur mon lit.

— Alors, cette soirée ? Me demande-t-elle.
— Merci beaucoup, lui dis-je. Je te dois beaucoup.
— Je n’ai fait qu’aider les choses, me répond elle. À propos, ton engin t’a satisfait ?

Ma seule réponse est un sourire. Alors que je m’avance vers le frigo pour boire un coup, Eugénie me dit alors:

— Tiens Nico, j’étais en train de lire un peu… Un bouquin sur les civilisations anciennes…

Un peu surpris, je la regarde avec de gros yeux.

— Ben oui, me dit-elle, tu n’as pas un devoir sur la sexualité dans les civilisations anciennes à rendre ?

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