Une vie qui ne manque pas de génie (2) – Un génie qui s’appelait Eugénie !

— J’ai trouvé !
— Ha bon, déjà, me demande « mon » génie ; d’habitude, certains réfléchissent un peu plus pour ce genre de choses… mais bon, je vous écoute, maître !

La solution m’avait semblé tomber d’elle même…

— Je veux que tu réalises tous mes souhaits concernant le sexe ; c’est possible non ?

Un peu banal comme souhait me direz vous… C’est comme si on demandait à un gosse ce qu’il voudrait ! Un jouet tiens pardi !

— Attention maître, je me dois de vous mettre en garde.
— Pourquoi ?
— Ce voeu ne vous permettra pas d’interagir avec les personnes existantes ; vous pourrez par exemple désirer une femme nue dans votre lit mais en aucun cas « inviter » votre ancienne copine dans votre lit.
— Comment vous êtes au courant ? Heu… Bon, j’ai compris… Soit… mon deuxième voeu sera donc de maîtriser les relations humaines… Comme cela, je pourrais faire ce que je veux avec qui je veux, c’est bien cela ?
— Oui maître

Ca c’est un grand jour ! Imaginez un peu ! Faire ce que vous voulez sexuellement et avec qui vous voulez… moi je vous le dit, c’est du grand art !

— Bon, génie en attendant, et comment je fais pour faire un souhait ?
— Pour m’appeler, il suffira de faire tourner la bague autour de votre doigt ; j’apparaîtrais alors, seulement à vos yeux et vous me demanderez ce que vous voulez, maître. Si vous me le demandez explicitement, je pourrais etre visible pour tous mais sinon non.

La scène dure déjà depuis un bon bout de temps. Je suis toujours aussi nu qu’un ver, tout comme mon génie, mais cela ne semble en aucun cas déranger notre discussion. Chose étrange tout de même pour ce génie, quelle drôle d’idée d’apparaître tout nu, comme si il se doutait que mes voeux seraient à caractère sexuels. Enfin, il ne faut pas trop se leurrer non plus ; proposez donc à quelqu’un de réaliser un de ses souhaits… à part l’argent et le bonheur, le sexe doit figurer au top 5… Depuis cette superbe fellation que m’a prodiguée mon génie, mon sexe est redevenu tout flappi et je ne serais pas contre le faire fonctionner un peu… Enfin quoi ! Pourquoi se priver ?

Avant toute chose, je désire clarifier certaines choses avec mon génie…

— Génie ?
— Oui maître.
— Tu n’as pas un prénom par hasard ? Ca me dérange un peu de t’appeler comme une vulgaire chose.
— Non maître, je n’en ai pas. Mais chacun de mes anciens maîtres m’a toujours donné une appellation différente.
— Bon, on va arranger ça…

Je réfléchis quelques instants et un jeu de mot me vient à l’esprit…

— J’ai trouvé… Je désire donc que tu restes sous ton apparence de fille et tu te prénommeras Eugénie… hé hé. Ça te convient ?
— Oui maître
— Ha, Eugénie, au passage, arrête de m’appeler maître… Ça me dérange un peu. Contente toi de m’appeler Nico et de me parler comme à un ami. OK ?
— Bien.

Me voila donc avec une superbe créature, aux formes avantageuses, tout droit manifestement tirée de mes fantasmes. La situation n’a pas trop bougé depuis tout à l’heure. Eugénie se tient toujours debout au milieu de ma chambre et ne semble pas dérangée que je la dévore des yeux. Je passerais bien un bon moment avec elle… Enfin ! Pourquoi pas ! Puisque j’ai tous les droits non? Mais alors que je m’apprête à formuler mon souhait, celle-ci m’interromp.

— Non Nico, cela doit rester strictement professionnel entre nous !

Arrrgh…

— Hé ! Moi j’ai envie d’une fille là !
— Tu veux que je te fasses apparaître une star du porno qui ne pensera qu’à ta jouissance, ou tu préfères une fille de l’est, style soumise, ou encore…

Je réfléchis quelques instants… Il est clair que tout est à ma portée mais ça fait quelques temps que ma queue n’a pas visité un quelconque orifice et ça me ferait mal au coeur de faire ça avec une « salope ». Eh oui ! J’ai des principes… enfin pour l’instant !

— Non, Eugénie, je préfère une fille plus simple, style jeune vierge effarouchée… Tu crois que c’est possible ?
— Pas de problème, je vais te faire apparaître ça tout de suite !
— Hé non ! Je ne veux pas d’une personne qui apparaisse comme ça, sur mon lit, avec le cul à l’air et qui me demande de la sauter ! Mets y un peu de la forme !
— Bien… J’ai une petite idée qui devrait te faire plaisir…

Le petit sourire malicieux de mon génie me laisse dans le doute. Que va-t-elle encore m’inventer ! Il ne faudrait pas que je sois tombé sur un génie tordu, style diabolique, qui s’arrange pour toujours détourner mes souhaits ! Mais bon ! On verra…

— Nico?
— Oui Eugénie?
— Tout est arrangé ; bon, moi je n’ai pas envie d’assister à tes ébats ! Je ne suis pas voyeuse donc appelle moi si t’en as besoin…
— Hé…

Floush, voila qu’elle disparaît comme par magie, me laissant seul dans ma chambre ! Tu parles d’un génie ! Elle le réalise ou quoi mon voeu ?

Ne voyant personne arriver, je décide d’aller prendre quelque chose à boire au frigo. Je me relève, enfile un peignoir qui traîne non loin de mon lit et me dirige vers le semblant de cuisine qui trône dans mon studio. Quelle soirée quant même ! C’est à se demander si je ne suis pas en train de rêver !

Alors que je dois être en train de rêvasser depuis bonne lurette, devant mon frigo, avec une bouteille d’eau à la main, un truc assez loufoque pour l’heure qu’il est se produit ! Dring ! Dring ! C’est la sonnette de ma porte !

Il est quant même près de 6 heures du matin, mon cerveau est tout engourdi car je n’ai encore pas trop dormi mais quand même, quelqu’un qui vient sonner chez moi en pleine nuit, ou plutôt très tôt le matin, ce n’est pas vraiment normal ! Je ne pense pas que ce soit un de mes amis mais je me dirige quant même vers la porte et l’ouvre. Je concède volontiers que je ne pensais plus du tout au souhait que j’avais formulé à Eugénie et donc me retrouver nez à nez avec une jeune fille sur le palier m’a semblé tout de suite assez inattendu !

— Oui, fais-je, alors que je la dévisage pour essayer de voir qui c’est.
— Bonjour, je suis ta voisine ! Tu te souviens de moi ? On s’est croisés quelques fois dans l’escalier !

Un petit effort de mémoire me permet de me souvenir. qu’effectivement, cette fille est bien ma voisine et qu’elle étudie aussi à la fac, même si on se croise très rarement… Bien dommage, il faut l’avouer, car je la détaille succinctement de haut en bas, et me rends compte qu’elle est tout bonnement mignonne.
Je reste bêtemment à la regarder pendant quelques secondes et, avec un sens de la répartie manifestement développé, elle continue :

— Je te dérange pas au moins j’espère…
— Euh… Non.

Elle est habillée d’une sorte de jogging de maison.

— Je n’ai plus d’anchois et je me suis dite que peut être tu pourrais me dépanner.

Cette réplique me fait l’effet d’une baffe. Il est 6 heures du matin et elle veut des anchois. Mais c’est quoi cette connerie ! Et tandis qu’elle me sourit toujours, je comprends tout…

— Mais entre donc, lui dis-je. Ha ! Au fait, excuse moi mais j’ai oublié ton prénom.
— Marianne. T’en fais pas, j’ai pas oublié le tien… Nico.

Je me recule donc, la laissant passer. Elle s’avance, me frôlant, ce qui m’excite assez, et va vers la cuisine. Voyant mon lit un peu sens dessus dessous, elle me dit :

— Ta nuit a été agitée ! J’espère au moins que tu as fait de beaux rêves.

Je ne sais quoi lui répondre. Je me doute parfaitement pourquoi elle est là. À tous les coups, Eugénie lui a soufflé l’idée de venir occuper ma matinée.

— J’espère au moins que t’as des anchois, je voudrais pas t’avoir dérangé pour rien !
— Euh, oui Marianne… il y a en une boite dans le placard du haut.

Elle se met alors à trifouiller, remuant toutes les boites de conserve, sans se soucier de moi. Pendant ce temps, j’en profite pour observer attentivement ses formes et me régale de cette magnifique vue. Son tee-shirt se relève légèrement alors qu’elle s’étire vers le haut pour chercher ses anchois, et cela me permet de regarder la ligne naissante de son dos.

— On te voit pas trop dans l’immeuble, lui dis-je.
— C’est normal, je bosse souvent dans mon studio et ne sort que pour aller à la fac.

Je fantasme littéralement sur cette fille. Rien que de la regarder de dos, se débattant avec mon placard, m’excite au plus haut point.

— Chic ! s’écrie t elle soudain. J’ai trouvé !

Elle se retourne alors miraculeusement avec une boite d’anchois à la main. La situation me semble à la fois grotesque et pourtant agréable. Venir chercher des anchois alors que nous allons incessamment sous peu faire l’amour. Je me demande toutefois comment elle va nous y amener. Il est clair que j’ai demandé à Eugénie quelque chose de normal, pas direct.

Marianne se rapproche alors de moi, tenant victorieusement la conserve à la main.

— T’es adorable, me dit-elle.

Toute proche de moi, (je me suis rassis depuis longtemps sur mon lit pour profiter de la scène) elle se penche et vient me faire un bisou… sur la joue.

— Bon, ben j’y vais. Merci beaucoup, me lance t elle.

Tandis qu’elle se retourne, je commence à faire des gros yeux. On était pas censé coucher ensemble ? Mais c’est quoi ce bordel… Rien ne semble déranger Marianne. Elle se dirige tranquillement vers la porte du studio… sans demander plus. À tous les coups, Eugénie a du me rouler… Je ne peux pas la laisser partir comme cela…

— Marianne !

Elle se retourne vers moi, et me regarde avec des yeux à vous faire chavirer. Je me rends compte alors que je ne sais pas quoi lui dire…

— Oui Nico?

Je me dis qu’après tout, puisque je peux maîtriser les personnes, je dois bien pouvoir l’amener à faire ce que je veux. À moins bien évidemment que ce ne soit que du pipeau. Enfin, je me lance… Je me lève et me rapproche d’elle, comme si j’allais lui souhaiter bonne nuit. Elle est toute proche de moi, et ne cesse de me regarder si bien que je peux tenir son regard. Ne sachant où regarder, je baisse mes yeux vers sa poitrine qui se dessine sous son tee-shirt.

— Dis, euh…

Je tends alors ma main droite vers ses cheveux châtains et caresse une de ses mèches.

— Il doit en avoir de la chance ton petit copain, lui dis je en m’aventurant sur un terrain qui me semble hasardeux.

Elle me décroche alors un petit sourire et me répond timidement.

— Je n’en ai pas. Je n’en ai jamais eu !

Et paf ! Enième baffe de la journée ! Une si jolie fille sans jamais de copain ! Je ne cesse de lui caresser la mèche et manifestement, elle apprécie, puisqu’elle rapproche sa tête de ma main.

— Mais ce n’est pas possible ! Mignonne comme tu es !

Elle me regarde alors bien dans les yeux.

— Il y en a plein qui m’ont fait des avances mais j’ai toujours refusé.
— Mais pourquoi Marianne.
— Parce qu’aucun ne m’a jamais offert des anchois…

!!!??? Vous admettrez volontiers le grotesque de la réponse. Je me réjouis intérieurement, reconnaissant la marque de visite d’Eugénie… Ha ! Tu veux des anchois ma mignonne, tu vas en avoir !

— Tu sais, Marianne, je serais ravi de t’offrir quand tu le veux, des anchois.
— Oh ! C’est vrai Nico? Me répond elle timidement.

Tandis qu’à son tour elle baisse sa tête, j’approche la mienne de la sienne, et l’embrasse. D’abord sur les lèvres puis ensuite nos langues s’unissent. Elle s’offre pleinement à moi, et j’en profite pour passer les bras autour de sa taille. Alors que nous nous embrassons toujours, je glisse mes mains un peu partout sous ses vêtements et commence à caresser sa peau. Dans un moment de répit, elle vient me glisser à l’oreille:

— Tu sais, j’aimerais rattraper le temps perdu !

Alors là ! Je vois des étoiles partout ! Voila enfin le moment tant attendu ! Merci Eugénie… Je lui prends la main et l’amène vers mon lit.

— Laisse toi faire ma puce, je serais doux comme un agneau, lui dis-je.

Nous recommençons à nous embrasser et je continue ma précédente besogne. Je passe une main sous son jogging et la glisse dans la culotte… enfin ! J’aurais pu le faire si elle en avait eu une ! Cette jeune demoiselle est donc nue sous son pantalon… Enfin, pourquoi pas ! Je caresse lentement ses fesses, explorant la géographie de son intimité. Pendant ce temps, nous ne cessons de nous embrasser. Dieu ! Que c’est bon quant même ! Ca faisait longtemps ! J’aventure un peu plus loin ma main et m’approche de sa chatte.

— Mettons nous plus à l’aise, lui dis-je.

Je ressors alors ma main de son jogging et sous mes yeux ébahis, elle se déshabille, avec une certaine pudeur mais quand même sans trop hésiter… Me voila donc en face de Marianne toute nue. Je la fais allonger et commence à lécher ses seins. Lentement d’abord puis plus rapidement. Elle apprécie la caresse et ronronne comme un chat. Je continue ensuite à lui pétrir la poitrine, de mes mains, et descends ma bouche vers ses cuisses. Elle les ouvre largement, me dévoilant tout son intimité… Sa jolie chatte, toute touffue, c’est rien que pour moi ! Délaissant ses seins, j’approche ma langue de ses lèvres intimes et entame un cunnilingus. Je ne sais pas combien de temps il a duré mais ce que je sais, c’est que sa chatte a plus ruisselé qu’un robinet ouvert au maximum. Elle enchaîne orgasme sur orgasme. Alors que je m’apprête à glisser un doigt sans son vagin, elle m’arrête.

— Nico…
— Oui, dis je avec un bruit de succion
— J’aimerais rester vierge de ce côté là…

De ce côté là ? Drôle de vierge effarouchée et timide ! Elle me demande grosso merdo de m’occuper de son autre trou…

— Mais je ne sais pas si j’ai tout le matériel requis pour m’occuper de ton cul.

Il est clair que depuis quelques mois, la vaseline ne fait plus partie de mes achats courants et donc me voila pris au dépourvu. Contre toute attente, elle me dit alors :

— Si si, il y en a dans ta table de nuit.

Pris d’un doute assez éphémère, je me rends compte rapidement que c’est encore un coup d’Eugénie et c’est sans surprise que, délaissant quelques instants Marianne, je découvre dans ma table de nuit une boite pleine de préservatifs et du gel Try. M’emparant de ce butin, je m’en retourne vers ma douce.

— Tu es sure que c’est par là que tu veux commencer.
— Oui, me répond-elle avec un gémissement (elle en avait profité pour se caresser les seins en mon absence!)

Je la fais se retourner afin qu’elle soit allongée sur le ventre.

— Ecarte tes fesses avec tes mains, lui dis je.

Elle s’exécute immédiatement. Me voila donc en face d’une jeune fille au petit trou encore inviolé et qui ne demande pas mieux ! Avant de m’atteler à ma tache, je décide quant même de retirer mon peignoir, qui ne m’avait pas quitté depuis le début. Je dévoile ainsi ma nudité, mon sexe étant en pleine érection. Curieuse, Marianne tourne tant bien que mal la tête et m’aperçois tout nu.

— Comme elle est grosse, ce ce n’est pas possible, ça ne va pas rentrer !
— Tu sais ma puce, elle n’est pas plus grosse qu’une autre. Elle est dans la moyenne mais ne t’en fais pas, je ne te ferais pas mal.

Il est vrai qu’Eugénie peut réaliser tous mes voeux concernant le sexe… il faudra voir pour délirer si elle peut me fourguer une queue plus grosse un de ces jours.

Je décapsule le gel, en enduit d’abord mon doigt puis en verse en quantité sur sa rosette toute fermée (elle a beau bien écarter ses fesses, son trou n’est pas du tout dilaté…). J’approche mon doigt de son anus, caresse lentement le contour, enduisant partout de lubrifiant, puis tente une entrée en douceur. Cette intromission n’est pas aisée… c’est le moins qu’on puisse dire. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois. Je rajoute abondamment du gel pour bien lubrifier et tandis que je n’ai pu rentrer qu’une phalange dans son trou, je pousse d’un seul coup, ce qui lui arrache un petit cri.

— Ne t’en fais pas, lui dis-je, ça va aller.

Pour distraire un peu son attention, je glisse alors mon autre main inoccupée vers sa chatte et caresse son intimité. Pour continuer ma besogne sur son anus, je tente de faire rentrer un deuxième doigt. C’est le même refrain qu’au début… on rentre un peu, on lubrifie et on pousse d’un coup… Après quelques minutes d’efforts, j’arrive à faire rentrer un troisième doigt. Pour lui donner quant même satisfaction, alors je caresse toujours son clitoris qui a bien gonflé, j’entame un lent va-et-vient dans cul avec mes trois doigts… Elle adore manifestement la caresse car elle se trémousse abondamment et mouille joyeusement. Après quelques minutes de ce traitement, je cesse ma pénétration digitale, m’empare d’un préservatif. Je m’apprête à me le mettre quand Marianne me dit:

— Attends Nico, j’ai toujours rêvé de la faire !

Elle se redresse, s’assoit sur le bord de mon lit. Elle me prend des mains le préservatif, en déchire l’emballage. Je me place debout face à elle et lui présente mon sexe. Elle le saisit maladroitement d’une main et commence à le masturber un peu.

— Comme c’est génial, lance-t-elle avec des gros yeux convoiteurs.

Elle place le préservatif sur le gland et le déroule hasardeusement. Je m’y prends pour l’aider un peu. Le contact avec ces mains qui empoignent ma queue me donne des frissons. Une fois l’ouvrage terminé, je l’invite à se mettre à quatre pattes. Elle s’exécute, se mettant en levrette sur mon lit. Je reste toujours debout, ce qui me permet d’avoir pile poil ma queue à la bonne hauteur. J’approche mes mains pour écarter ses fesses et plaque mon gland contre sa rosette. Ce contact la fait aussi tressaillir.

— Détends toi, lui dis je…

Je l’attrape fermement au niveau de la taille et enfile ma queue d’un seul coup… Heureusement que tout était bien lubrifié ! Cette soudaine pénétration la fait crier non pas de douleur mais assurément de plaisir… Elle halète bruyamment tandis que je reste sans bouger. Naturellement, elle entame un mouvement qui m’invite à faire de même. Lentement puis puis vigoureusement, je fais coulisser mon sexe dans son anus. La sensation est extra. Son petit cul bien serré me fait un bien fou ! Elle n’est manifestement pas en reste car elle gémit à réveiller tout l’immeuble. Dans un moment de lucidité, elle me dit:

— Je veux te sentir jouir dans mon cul !

Bref, elle m’invite à retirer mon préservatif… Disons que je ne suis pas très chaud pour ça mais je me dis qu’après tout, Eugénie a du prévoir cela et qu’il n’y aura pas de problème de ce côté là… De plus Marianne est vierge donc…

Je retire mon sexe de son anus, avec un gros bruit de succion. Sa rosette toute dilatée ne semble demander que mon retour, et après avoir retiré le préservatif, je replace ma queue devant son trou et m’empale en elle, avec de grands coups. Avec ce traitement là, il ne faut pas longtemps pour que je jouisse (il faut dire que Marianne, de son coté, n’a pas cesser être envahie par des orgasmes). J’éjacule de grands jets de sperme dans son cul, en prenant mon élan à chaque fois depuis l’entrée de son anus. Nous nous écroulons alors l’un sur l’autre, mon sexe toujours prisonnier de son cul. Elle reste allongée quelques instants, là, à me cotés. Que c’était bon…

— Bon, j’ai bientôt cours, il faut que j’y aille, me dit-elle brutalement…

Elle pourrait au moins y mettre les formes ; il faudra que je le dise à Eugénie. Elle vient m’embrasser langoureusement quelques secondes puis se relève. En faisant comme si je n’étais pas là, elle s’empare de ses vêtements, les enfile rapidement, prend la boite d’anchois qu’elle avait laisser traîner par terre (comme quoi…). Elle se dirige vers la porte, se retourne vers moi, me fait un petit clin d’oeil et s’en va.

Je me retrouve là comme un con, sur mon lit. Je me languis quelques instants, me relève à mon tour, ramasse mon peignoir pour l’enfiler et range un peu tout le bordel. Il est 7 heures du matin, je n’ai pas vraiment dormi cette nuit mais pourtant, je suis frais comme un gardon. Je caresse la bague…

— Eugénie ! Tu es là ?

Quelqu’un sonne alors à la porte et entre, puisque la porte était encore déverrouillée… C’était Eugénie, habillée en petite tenue d’été…

— Tu n’avais pas besoin de rhabiller, me dit-elle avec un gros sourire…
— Je pourrais te renvoyer la même chose…

Sacrée Eugénie…

— Dis, il faudrait qu’on règle deux ou trois choses, lui dis-je…

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