Accomplissement

Tu es juste à côté de moi, endormie. Je contemple ton mignon petit corps qui m’attire tant, tes courbes voluptueuses, tout ce qui fait que physiquement, je suis fou de toi. Je pourrais écrire un roman sur les paysages de ton corps.
S’il n’y avait que le physique !
Tout m’attire en toi, ton accent de la belle Province, ta façon d’être naturelle, de sourire ou de mettre en colère, tes idées impulsives ou saugrenues, tes récits. Tout, rien à jeter.
Tu respires doucement couchée sur le coté, tournée vers moi. Je contemple ton ventre rond qui abrite notre futur enfant. Plus que 4 mois avant de fonder réellement une famille.

Quand je te vois, là, près de moi, je réalise l’incroyable chance que j’ai eue.

Notre histoire semblait impossible, trop d’obstacles entre nous, trop de milliers de kilomètres, trop de décalage horaire, d’années (tu te dirigeais vers tes 30 ans que j’avais dépassé depuis 10 ans) et de conjoints puisque nous étions tous les deux casés.
Nous nous étions connus par nos nouvelles respectives, nos petits récits, j’aimais (et j’aime toujours et encore) ta plume, ta façon de raconter les choses, sans fausse pudeur, librement et naturellement. Mes histoires ne te déplaisaient pas non plus. Plus nous conversions, plus je constatais que j’avais visiblement raté quelque chose quelque part : ou bien j’étais né 10 ans trop tôt ou tu étais née 10 ans trop tard. Et c’était frustrant !

Mais ce que je n’osais à peine espérer dans mes rêves s’est réalisé un beau jour.

Notre vie de couple est animée : quand ce n’est pas toi qui fuse dans tout les sens, c’est moi qui en rajoute une couche. Tu as des tas de choses à découvrir, à visiter, à explorer et j’adore les faire ou les refaire en ta compagnie. Je sais que je ne suis plus impartial à tes côtés et la douce folie dans laquelle tu me plonges me revivifie.

Aujourd’hui, c’est moi qui te contemple en train de dormir, ta poitrine dénudée se soulève doucement au rythme de ta respiration apaisée. Parfois, j’ai l’agréable surprise de me réveiller dans ta bouche. J’adore ce type de réveil coquin, surtout quand tu me regardes dans les yeux, une lueur libertine. Le problème, c’est qu’après, je veux te faire l’amour toute la matinée, te garder à moi, sur moi, sous moi et en moi. Et une matinée, ce n’est toujours pas assez !
Nous avons vécu des week-ends de folie amoureuse, des choses dont on rirait si on les lisait, se disant que l’auteur exagère, que çà ne se passe pas ainsi, dans la vraie vie.
Ah oui, lire, écrire… Ta nouvelle marotte est d’écrire tes nouvelles érotiques dans le lit avec le portable. Quand j’arrive dans la chambre, j’ai un certain mal à me concerter quand je te vois fesses à l’air, allongée sur le ventre entrain d’écrire. Car tu aimes bien te mettre en condition pour tes récits. Du coup, je ne peux m’empêcher de vérifier si la rotondité de tes courbes n’a pas changé ou d’aller explorer de la langue les divers goûts de tes endroits secrets. Et du coup, tu n’arrives pas non plus à toujours finir ton histoire. Il nous ait déjà arrivé d’expérimenter en live des phases de nos récits mais, peu consciencieux, nous nous laissons déborder par la passion.

Je songe à tout ceci, assis dans le lit, le regard dans le vague, le sexe déjà dressé de ces pensées. Je n’ai pas vu que tu as déjà ouvert un œil. Doucement, timidement même, tu saisis ma queue bien dressée pour la masturber lentement. Puis, tout en glissant ton autre main sous mes couilles, tu en profites pour poser tes lèvres sur mon gland tout gonflé et rosé à souhait. Tu aspires goulûment le bout de mon manche, faisant tournoyer ta langue tout autour avant qu’elle ne s’engouffre dans mon méat mouillé.

Puis, tu retires tes lèvres et passes ta langue tout le long de ma verge fièrement érigée, jusqu’à la base puis tu te saisis de mes boules pour les masser doucement de tes lèvres et contre ta langue. Tout en remontant vers mon gland, tu continues de jouer avec mes couilles de ta main. Tu me les secoues et les pinces légèrement, ce qui me fait gémir. Lentement, tu engouffres peu à peu mon sexe dans ta bouche, afin de bien y laisser ta salive au passage, et tu commences à me pomper langoureusement.

De mon coté, je commence à faire osciller mon bassin pour t’aider dans ton mouvement et j’augmente graduellement la cadence pour te signifier mon plaisir.

Alors, tu resserres ton emprise sur ma queue bien dure et tu accélères le rythme. Brûlant d’envie de faufiler l’une de tes mains entre mes fesses fermes pour les caresser, tu laisses filer tes doigts entre elles. Celles-ci sont douces et dodues comme tu les aimes. Tu me les masses doucement tout en continuant à me siphonner avec force.

Puis tu resserres tes lèvres quand tu sens que mon pénis est gonflé à bloc, lorsque mes veines tressaillirent contre elles. Enragée, tu ne te détaches pas de ma queue en fusion tant que te n’auras pas terminé ton travail… Une première goutte perle, tu veux me goûter, ne rien perdre de ma semence.

Me maîtrisant avec difficulté, je réussis à me dégager. Tu me regardes interloquée. J’ai d’autres projets pour nous et je veux que tu prennes ta part de plaisir. Alors je t’allonge délicatement sur le dos, dévoilant à mes envies ta poitrine un peu lourde. J’embrasse voracement tes mamelons déjà durcis d’excitation. Tu es particulièrement sensible des seins alors tu pousses rapidement des gémissements car que je leurs porte toute mon attention en les suçant, les léchant ou encore les pinçant et les tirant avec mes doigts. Pendant de longues minutes, je ne te lâche pas, je les caresse de toutes les manières inimaginables. Tu t’arques de plaisir.

Enflammé, je laisse mes lèvres explorer chaque parcelle de ton corps. Je dévore avec avidité ton ventre rond, l’intérieur de tes cuisses….. Tu retiens ton souffle lorsque ma bouche approche de ton intimité. Délicatement, je plonge ma langue dans tes lèvres déjà humides et te lèche pour goûter ton nectar. Avec mes doigts, j’ouvre toutes grandes tes lèvres pour pouvoir m’enfoncer dans ta chatte. Je m’attaque à ton bourgeon que j’aspire goulûment pour le suçoter.

Instinctivement, tu te saisis d’un sein pour le caresser doucement, effleurer la pointe bien dressée. Tu le roules entre ton pouce et ton index pour le faire ressortir davantage. Je sens que tu es au bord de l’éclatement.

D’une main, je caresse ton sexe enflammé et y insère ensuite un ou deux doigts. Tu fais basculer ton bassin pour mieux me sentir en toi. Depuis longtemps, ma verge est dressée, bien droite et dure. Toutefois, je me concentre sur ton plaisir que je veux grandiose. Exacerbée, tu captures ma queue pour la rapprocher de ta chatte, me montrant ainsi que le temps était plus que venu de satisfaire aussi mes pulsions et les tiennes. Alors, j’insère doucement mon gland, avec une lenteur calculée, avant de pousser mes reins vers toi et m’insérer au plus profond de ton intimité. Tu t’agrippes à mes épaules pendant que j’entreprends un mouvement de va-et-vient.
Ayant du mal à me contenir, j’accélère la cadence. Tu sens mes testicules cogner contre tes fesses. Notre excitation grimpe en flèche, l’orgasme était tout proche. Tellement en fait que nous ne pouvons plus contenir cette vague de plaisir qui nous inonde, nous submerge. Tu pousses une longue plainte de soulagement, ton corps entier est parcouru de spasmes incontrôlables tandis que j’explose et me vide en toi.

Je n’aurais jamais cru qu’on puisse atteindre un tel niveau d’extase, de communion avec une femme. Mais ce que je n’osais à peine espérer dans mes fantasmes les plus fous s’est réalisé un beau jour avec toi.

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