Visite au Mont Saint-Michel

J’ai tout de suite vu qu’il tournait autour de ma femme. Depuis un bon moment déjà, il l’entourait de ses attentions, l’amusait par des pitreries, la flattait, l’effleurait à la moindre occasion. Il commençait à m’énerver sérieusement ! Et ce qui augmentait à ma fureur, c’était de constater que ma chérie semblait sensible et flattée même, de toute cette prévenance. J’avais certes une absolue confiance en elle.
Mais allez savoir !

D’autant plus que je devais admettre qu’il n’était pas mal du tout. Grand, bien découpé, visiblement sportif, avec par dessus le marché, une belle gueule d’homme à femmes.

Nous étions un petit groupe, à visiter le Mont Saint-Michel, et tout au long de la montée, il s’était tenu auprès de France, mon épouse.

Très galant, il ne manquait pas une occasion pour l’effleurer de sa main. La lui tendant pour faciliter sa montée, lui tenant le coude légèrement pour lui indiquer une vue.
Je ne savais que penser et que faire.
Malgré, tout il n’avait pas dépassé les limites de la courtoisie et ne m’avait réellement pas donné le prétexte à un esclandre.

Avec rage, j’écoutais ma femme, s’esclaffer à ses plaisanteries, applaudir à ses traits d’humour, bref, elle était littéralement sous le charme.

J’avais honte pour elle et pour moi, car il me semblait que sa cour pressante n’échappait même pas à nos compagnons d’excursion. Je me sentais ridicule et je lisais de l’amusement sur certains visages.
A un moment, le guide nous a montré l’éloignement de la mer à l’horizon. France et les autres se sont penchés sur la balustrade pour mieux observer. Elle s’était courbée et sa robe de cotonnade légère moulait harmonieusement ses fesses. J’ai vu le regard de notre Don Juan se porter vicieusement sur le petit cul bombé de ma femme. Il a semblé hésiter.

Puis, soudain, il a plaqué son bas ventre contre elle, faisant mine de se pencher à son tour pour mieux observer lui aussi. Et il s’est tout bonnement frotté contre elle !

Pendant un moment, je suis resté ainsi, comme paralysé. Sans pouvoir réagir

Avec ruse, il s’était penché lui aussi et ce faisant avait posé une main sur son épaule et de l’autre, faisait mine de lui indiquer l’horizon. Complètement plaqué contre elle maintenant, il s’était parfaitement ajusté contre ses fesses qu’il pressait fortement.

J’étais ivre de rage et ce qui me rendait fou par dessus tout, c’est que ma femme semblait apprécier l’hommage, ses fesses maintenant tendues comme une offrande et sur le visage, une expression de bonheur.
Je ne savais comment réagir ! Me battre, au risque de me couvrir de ridicule, le bousculer pour faire cesser cette caresse volée ?

A un moment, elle s’est retournée vers lui pour lui indiquer à son tour quelque chose et leurs visages se sont retrouvés tout proches, leurs lèvres à quelques centimètres les unes des autres.
J’ai lu le trouble sur la face de mon épouse ? Pendant un bref instant, j’ai même cru qu’ils allaient s’embrasser.

Et je crois que c’est là qu’elle s’est reprise. D’un mouvement leste, elle s’est dérobée au baiser et à la caresse de tout le corps de l’homme complètement plaqué contre elle.
En même temps, nos regards se sont croisés et elle a remarqué l’état de fureur dans lequel j’étais. Elle m’a rejoint et a glissé son bras sous le mien, comme pour se faire pardonner.
Je l’ai entraînée à l’écart du groupe, ivre de fureur. J’ai dit:

— Qu’est-ce qu’il te prend ? Tu as vu comment tu te comportes avec lui, il t’a presque baisée debout !
— Tu exagères !
— Il n’arrête pas de te tripoter et tu sembles en extase devant ses fadaises.
— Te voilà jaloux maintenant ? Toi qui n’arrêtes pas de me parler de ton fantasme de me voir faire te faire cocu avec un autre homme. Toi qui voulais m’entraîner dans un club échangiste pour que des hommes me fassent l’amour !
— Je ne savais pas ce que je disais, je t’aime et d’avoir vu l’autre plaquer sa bite contre toi m’a rendu furieux !
— Voilà que tu deviens vulgaire maintenant !
— Tu vas prétendre que tu ne le sentais pas tout dur contre tes fesses.
— Oui, et alors ! D’ailleurs, ce n’était pas désagréable du tout. Ça t’excite tellement quand je te raconte mes fantasmes, tu m’as tellement dit combien tu rêvais de me voir rentrer la chatte pleine de sperme, que je n’ai pas pensé que ce léger flirt allait te mettre dans cet état.

C’était à son tour d’être en colère, ses yeux fulminaient.
Je me sentais coupable maintenant et il est vrai que c’était devenu un jeu fort excitant, quand nous nous retrouvions au lit le soir, d’imaginer ces sortes de rôles, où elle me serait rentrée souillée des bras d’un autre homme, me forçant à la lécher toute pleine du jus de son amant.
J’ai dit :

— Tu as raison, mais n’empêche que ce type ne me plaît pas du tout.
— Eh bien, figure-toi qu’à moi, il me plaît beaucoup et que je le trouve plein de charme.
— Tu as envie de coucher avec lui ?
— Exactement !
— Tu n’es pas sérieuse ?
— Si, parfaitement ! Et tu n’avais qu’à pas me rentrer dans la tête des idées pareilles.

Je ne savais plus que dire ni faire. Je l’ai attirée contre moi.

— Allez ne fais pas ta tête de mule, tu sais bien que je t’aime !

Nos lèvres se sont jointes, nos langues emmêlées.

— Pardonne-moi.
— Tu es bête, me dit-elle en ébouriffant mes cheveux dans un geste plein de tendresse !

Je me suis senti rassuré.

Puis nous avons rejoint le groupe. La visite se poursuivait. Nous écoutions tous le guide avec attention.
De lui-même, le type s’était mis un peu à l’écart de nous, ma femme me donnait le bras désormais.
Par moments, il jetait de brefs regards vers nous et je devais admettre qu’il était pas mal du tout comme gars.
Il avait désiré mon épouse, elle avait eu envie de lui, elle l’avait avoué.

Et je ne sais pourquoi mes lubies me sont revenues.
Et si c’était là l’occasion ou jamais ? Passer du fantasme à la réalité, donner une consistance à nos rêves.
Voilà des années que je l’imaginais en femme adultère, rentrant toute souillée de sperme. Et là, au pied du mur, allais-je me dégonfler ?

À nouveau la vision du gars collé contre mon épouse a traversé mon esprit et ce qui tout à l’heure m’avait mis en colère m’excitait désormais. J’aurais voulu remonter l’horloge du temps à l’instant où il se frottait contre elle, pour mieux profiter de la vision de son pantalon tendu entre ses fesses rebondies

Alors, en douceur, je me suis séparé de ma femme, faisant mine de scruter de près certains détails architecturaux. Je me suis attardé sciemment, à l’écart du groupe. Tout en l’observant à la dérobée. Un moment, elle a paru désarçonnée. Je m’étais montré jaloux et voilà que je la laissait aller seule. Déjà son prétendant se rapprochait d’elle, mine de rien.

Ma femme est intelligente. Je m’étais mis à l’écart, cependant que l’autre se rapprochait d’elle.
La lumière s’est faite dans son esprit. Elle a compris que je l’autorisais, que je la poussais dans les bras de mon rival, que j’étais décidé à vivre jusqu’au bout mes fantasmes.

Alors, d’un pas décidé, elle a franchi les derniers mètres qui les séparaient et d’un geste charmant et naturel a glissé son bras sous le sien. Il a paru d’abord surpris, mais le sourire radieux de France l’a rassuré. Elle lui a soufflé quelques mots, et ils ont ri ensemble avec une complicité qui m’a pincé le coeur. J’avais mal et cependant je me sentais durcir sous mon pantalon.

Quels troubles et contradictoires sensations que celles que j’éprouvais ! Au bonheur de voir ma femme heureuse, se mêlait un sentiment de sombre jalousie. Cet homme, tout à l’heure, allait sans nul doute fouiller de toute la longueur de son sexe celui de ma chérie, et je m’en réjouissais. N’était-ce pas là étrange chose de la part d’un mari aimant ?
Et pourtant, cette seule idée me mettait dans un drôle d’état. De l’imaginer, cela fouettait mon sang et suffisait à me faire bander.
Nous nous apprêtions tous à quitter le monastère lumineux et je m’étais tenu en retrait pour mieux les observer.

À l’arrière du groupe, ils se tenaient tendrement par la main. Et juste en franchissant la porte de sortie, il a glissé sa main droite à hauteur de ses fesses et d’un geste ample, les a pelotées franchement.
Mon coeur s’est mis à battre à tout rompre dans ma poitrine, d’autant plus que dans le même temps ma femme se tournait vers lui et se jetait littéralement dans ses bras. Leurs lèvres se sont soudain unies dans un long baiser sensuel.

Ce genre de scène, lorsque nous l’imaginions quelquefois, avait le pouvoir de nous exciter grandement. Ma femme mouillait particulièrement ces soirs-là et moi je triquais alors comme un âne !
Mais j’étais loin de me douter de la force d’émotion, que m’aurait procuré la réalité.

Ce n’était pourtant pas la première fois que je la voyais flirter, après l’y avoir poussée d’ailleurs, notamment en boîte de nuit, quand elle frottait un peu plus qu’il n’était séant, avec un cavalier entreprenant. Mais là, ouvertement, ils s’embrassaient à bouche-que-veux-tu, pendant que les mains fiévreuses de son futur amant, je n’en doutais plus, parcouraient son corps complice.

Elle doit être trempée, me disais-je avec excitation !
Et leurs langues que je devinais emmêlées et leurs corps soudés dans cette longue étreinte, ventre contre ventre, sexe contre sexe, ses seins écrasés contre sa poitrine, me donnaient le vertige.

Jamais jusque là je n’avais ressenti d’émotion sexuelle aussi intense. J’en aurais presque joui dans mon slip !
Nous avions poursuivi la visite par le cloître de l’Abbaye et, désormais sans la moindre considération pour moi, ils s’affichaient ouvertement.
Je devinais bien les regards moqueurs de certains membres du groupe, mais je m’en fichais, au contraire même, j’y puisais un certain plaisir masochiste.
Le cloître portait à la sérénité, mais la tempête était dans mon coeur !

Plus tard, comme nous avions entamé la longue descente qui terminait la visite du Mont Saint-Michel, j’ai vu ma femme le quitter pour me rejoindre. Au fur et à mesure qu’elle avançait vers moi, je discernais dans son regard une lueur espiègle et moqueuse.
Quand elle est parvenue prés de moi, j’ai dit :

— Alors, vous avez l’intention d’aller baiser ?

J’avais volontairement employé ce langage cru et vulgaire, avec à la fois un mélange de plaisir à les dire et l’envie de lui faire mal.
Elle n’a pas relevé le trait perfide, au contraire même, un fin sourire a orné ses lèvres.

— Oui mon chéri, mais tu sais il y a un problème.
— Ah, lequel ?
— Serge (j’apprenais ainsi son prénom), est venu visiter la région dans le cadre d’un voyage organisé par le C.E. de son entreprise et ils sont deux par chambre, donc pas moyen d’aller chez lui. Nous avons téléphoné grâce au portable au Syndicat d’Initiative du coin, pas la moindre chambre d’hôtel disponible ce soir.
— Dans ce cas, tu laisses tomber.
— Ah, non, pas maintenant, au point ou nous en sommes arrivés ! J’aurais aimé savoir à cet instant si ce nous, voulait signifier, elle et moi ou bien plutôt elle et lui.
— Il va rentrer avec nous.
— Tu es vraiment décidée, ai-je insisté, soudain franchement inquiet.

Elle s’est collée fortement contre moi, m’a embrassé furieusement puis a dit :

— J’ai très envie de lui !

Alors, en guise d’acquiescement, je l’ai prise par le bras et nous avons rejoint le fameux rival.
La situation était nouvelle pour moi, je m’apprêtais à devenir cocu et cela même m’excitait.

— Chéri, je te présente Serge, je l’ai invité à venir boire un verre à la maison.
— C’est une bonne idée, ai-je répondu.

Il y a eu un instant de gêne, alors j’ai ajouté pour faire diversion, très mondain soudain.

— Fabuleuse visite, n’est-ce pas ? Quelle merveille pour les yeux.

Bien sûr, je parlais là du Mont Saint-Michel. Mais lui a pris cela dans un autre sens. Avec culot, il a pris France par la taille et la désignant, a ajouté :

— En effet fabuleuse et merveilleuse !

Il avait de l’humour, le bougre. Nous avons ri tous les trois, et l’atmosphère s’est du coup trouvée détendue.
Sous les regards incrédules et moqueurs, de nos compagnons de visite, nous avons rejoint l’immense parking du Mont Saint-Michel.

— Je monte à l’arrière avec Serge, a dit ma femme, alors que nous atteignions notre voiture.
— Bien sûr, ma chérie ai-je approuvé.

Elle s’est installée à l’arrière du véhicule, Serge à sa droite. J’ai fait mine de régler le rétroviseur avant de démarrer, mais en fait je l’ai positionné directement sur le couple.
À peine avais-je commencé à rouler que mon épouse l’attirait déjà à lui.
À mon grand émoi, je les ai vu s’embrasser fiévreusement. La traîtresse pendue à son coup lui prenait goulûment la bouche.
C’est ma femme qui m’a initié aux plaisirs du baiser. Pour moi, avant de la connaître, ce n’était juste qu’une caresse d’approche, un préliminaire léger. Pour elle, c’était un acte sexuel à part entière. J’avais appris avec elle, à goûter avec ivresse sa langue de miel. Nous pouvions passer de longues minutes bouche contre bouche à nous dévorer avec délices.
C’était un préliminaire obligatoire aux préliminaires amoureux. Tout au long de nos ébats nous restions le plus souvent unis ainsi à nous goûter l’un l’autre.

Et voilà qu’elle initiait un nouvel homme !
J’avais un mal fou à fixer ma route avec attention, tant mon regard se trouvait irrésistiblement attiré par les deux corps qui à l’arrière, s’étreignaient.
Je le voyais, avec trouble, tripoter les seins de France. Il avait, avec adresse, déboutonné les deux boutons du haut de la robe de ma femme, et il massait voluptueusement sa poitrine gonflée.
Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation allant grandissante et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses et j’avais un grand mal à détourner mes yeux du spectacle de mon épouse se faisant doigter franchement.
Heureusement que la distance nous séparant de Pontorson n’était que d’une dizaine de kilomètres, car je pense que nous aurions fini hors du chemin !
Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir en préservatifs.
Nous nous sommes retrouvés seuls un bref moment. En me retournant vers elle, j’ai constaté avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était vide de monde, car elle était restée telle qu’il l’avait laissée. Totalement impudique, les seins presque sortis, la robe largement déboutonnée sur ses cuisses franchement écartées, avec le pan de son slip arachnéen largement sur le côté, ses chairs roses et nacrées exposées de manière obscène. J’ai dit :

— Que tu es belle, comme ça !

Elle a eu un sourire de contentement très sensuel.

— Tu aimes ?
— Tu fais très salope. J’ai l’impression qu’il t’a bien doigtée ma cochonne !
— C’était trop bon !
— Il me semble que tu es bien mouillée ! Fais voir.

J’ai passé mon bras entre les deux sièges, le doigt tendu vers l’arrière. Elle a glissé son bassin pour venir au-devant de moi. J’ai fouillé la fourche de ses deux cuisses, il était tout gluant de mouille.

— Tu n’as pas honte, ma chérie, tu as la chatte toute baveuse ! Ça ne t’a pas gênée de te faire caresser ainsi devant ton mari ?
— Nullement, au contraire, ça m’a énormément excitée. D’ailleurs je suis certaine que tu es dans le même état et joignant le geste à la parole, d’un geste prompt, elle a porté sa main par delà les deux sièges avant, vers mon entrecuisse. Elle a empoignée ma queue tendue depuis un bon moment et m’a branlé vigoureusement.
— Je vois que tu es dans un bel état !

Nos bouches se sont retrouvées un moment, cependant que Serge revenait.

— J’ai apporté des munitions, nous a-t-il annoncé en exhibant sa boîte de préservatifs.
— Je vois qu’il y a de quoi faire ! ai-je ajouté.

Nous avons ri tous les trois de bon coeur. Puis nous avons repris la route, France déjà lovée entre les bras de son amant.

Un ami nous avait prêté pour une semaine une somptueuse demeure. Et nous nous apprêtions à la partager avec un autre homme. Et cela m’enchantait.
Après ma crise de jalousie du départ, mes fantasmes avaient repris le dessus et je rêvais de la voir prise par cet autre.
Quand nous sommes parvenus au salon, j’ai proposé un verre. Ma femme a demandé un whisky bien dosé, la même chose a rajouté Serge. Ils s’étaient déjà assis côte à côte sur le canapé, se tenant toujours par la main.
Volontairement, j’ai mis du temps à servir nos trois verres d’alcool. J’avais généreusement rempli celui de ma femme, car je savais par expérience que cela la rendait toujours plus amoureuse.
Je les avais laissés seuls un long moment, pour faciliter encore plus leur approche.
Surpris, j’ai failli renverser mon plateau quand je suis rentré au salon. Les choses avaient drôlement évolué entre eux !

Il tétait goulûment un de ses seins et de sa main gauche, avait largement écarté le fond de culotte de France. Je voyais avec fascination ses doigts habiles s’activer avec douceur entre les lèvres humides de la fente béante. Ma femme, la tête renversée, les yeux clos, gémissait doucement, cependant qu’il titillait avec douceur son petit bouton rose. Ses cuisses étaient largement écartées pour mieux apprécier la caresse et ses chairs luisaient de mouille odorante.
Mon irruption dans la pièce ne l’a semble-t-il pas gêné, car après avoir brièvement relevé la tête, il a continué à glisser de plus en plus vigoureusement ses doigts dans le minou luisant de mon épouse.

Ça me faisait bizarre de regarder l’être le plus cher et le plus intime qui soit, se laisser aller ainsi, entre les bras d’un autre. Ma queue s’était du coup tendue et faisait une bosse obscène sous mon pantalon de toile.
J’ai posé le plateau sur la table basse en disant :

— Ces messieurs dames sont servis !

Je fixais avec trouble, le doigt allant et venant entre les chairs nacrées et humides de ma chérie. Ma femme ondulait du bassin de manière obscène, son clitoris visiblement durci.

J’avais pensé que mon irruption dans le salon, avec les boissons, allait les interrompre un peu.
Mais au contraire, mon épouse, jusque là passive, a glissé sa main vers l’entrecuisse de son amant et a étreint vigoureusement son sexe entre ses doigts.
C’était la première fois que je voyais France branler un homme devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux. L’émotion me suffoquait. Un instant, elle a entrouvert ses yeux et, comme nos regards se sont croisés, elle m’a souri avec complicité.
Je ne sais ce qui m’a pris, mais j’ai crié, la voix rauque de trouble :

— Sors-lui sa queue !

Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois, avec fébrilité elle l’a débraguetté et a extrait le bel objet quelle avait si amoureusement malaxé. Ses longs doigts manucurés ont parcouru la longue colonne de chair avec sensualité. Serge s’était cabré sous la caresse.
Il avait une bite plus longue et surtout plus épaisse que la mienne et j’ai lu dans le regard avide de ma femme, un contentement qui m’a fait mal, un instant. Elle allait sûrement apprécier ce gros calibre.

Maintenant ils se prodiguaient l’un à l’autre du plaisir et leurs deux souffles s’exprimaient bruyamment et à l’unisson. J’étais en transes et mon coeur affolé battait la chamade.
Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille. Tant fantasmé, tous les deux, elle d’un nouvel homme et moi, de la voir entre les bras d’un autre !

Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois aux lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé la belle tige vivante. Sa main habile malaxait, triturait, englobait avec adresse et sensualité la splendide queue. Ses doigts manucurés virevoltaient sur la longue tige, englobant par moment, l’énorme gland luisant du liquide pré-séminal.
J’avais souvent imaginé ce genre de situation, mais de là à la vivre dépassait tout, question sensations.
Comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la menotte experte de mon épouse.
Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin langoureusement. Alors, comme au ralenti, j’ai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, l’engloutir avec douceur !

Quel fabuleux spectacle ! C’était trop fort, il me fallait me soulager. J’ai, avec difficulté, extirpé de mon pantalon ma bite prête à exploser et me suis caressé.
Gourmande, ma femme s’efforçait d’engloutir l’énorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle l’avalait du mieux qu’elle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé.

Je n’en pouvais plus. Elle était courbée, à quatre pattes et comme sa robe fluide la recouvrait à nouveau, Serge d’un geste ample l’a remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide derrière. Avec dextérité il a baissé son mini slip et ses doigts se sont immiscés le long de sa raie, la fouillant vicieusement.
Les yeux clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodiguée, il s’était davantage étendu pour la doigter plus aisément.
Je ne savais plus ou donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de France, puis je me suis déplacé pour mieux profiter du spectacle des doigts fureteurs qui fouillaient allégrement le minou luisant.
Bon sang, comme elle semblait apprécier le traitement. Elle ondulait de plus en plus son splendide petit cul. Sa bouche affolée courrait maintenant de plus en plus vite sur l’énorme membre !

— Passe-moi un préservatif, a soudain demandé Serge.

C’était là un comble; il demandait au mari de quoi baiser sa femme. Mais vous pensez si cela me comblait. Avec complaisance, je lui ai tendu le condom, mon coeur battait la chamade. La croupe tendue, ma femme attendait maintenant, soumise, pendant qu’il faisait coulisser le latex sur sa grosse queue.

Elle était comme une chienne dans l’attente d’être saillie. Je m’étais déplacé pour ne rien perdre du spectacle.
Pensez, voir sa femme se faire baiser par un autre homme ! Depuis le temps que je rêvais de ça !
Quand il l’a prise par les hanches, elle a largement écarté ses cuisses, offerte, la croupe cambrée.
Les lèvres de sa fente entrouvertes et gonflées étaient en position pour accueillir l’énorme pieu.

Je n’en croyais pas mes yeux, quand le gland gorgé de sang s’est pointé contre les chairs nacrées. J’ai crié malgré moi, quand, lentement il l’a pénétrée, comme si c’était en moi qu’il s’introduisait.
Quelque chose d’irrémédiable s’était produit, un autre mâle que moi la baisait. Et elle semblait apprécier la garce ! Elle se donnait sans retenue aux coups de boutoirs de son amant.
Le gros sexe allait et venait en rythme maintenant, je le voyais sortir et rentrer de plus en plus violemment, luisant de sa mouille abondante.
Ma femme geignait et criait. Elle poussait du bassin pour aller au-devant du plaisir de plus en plus violent qui la submergeait. Elle hurlait même :

— Oui ! C’est bon, vas y, baise-moi, baise-moi plus fort !

Je ne l’avais jamais vue comme ça, fondante de plaisir, tremblante, cassée par momens, aux gré de la montée de son orgasme.
Moi, je me masturbais ouvertement face au spectacle. Parfois, il extrayait totalement sa queue du trou d’amour de France, comme pour la faire languir. Puis, devant son impatience à le sentir, s’enfonçait à nouveau.

— N’arrête pas, s’il te plaît ! criait-elle à chaque interruption.

Elle en devenait folle. Folle de sa queue !

— Je vais jouir, je vais jouir ! a soudain crié Serge.
— Non, attends ! Pas encore ! a renchéri ma femme.

Elle désirait prendre son grand pied. Mais pour reprendre son souffle, il s’était retiré.

— Attends un instant, il faut que je me calme.

Ma femme en aurait presque pleuré de dépit !

Elle s’est alors retournée vers moi, en me disant :

— Prends-moi, ne me laisse pas comme ça !

Je ne me le suis pas fait répéter deux fois. J’ai écarté mon rival d’un coup d’épaule et, avec bonheur, je me suis glissé dans l’antre chaud et gluant de ma chérie.
Qu’elle était bonne ! C’était incroyable de plaisir. Je ne la remplissais sans doute pas autant que l’autre, mais je la connaissais si bien !
Je l’ai retournée sur le dos, les cuisses relevées et je me suis enfoncé tout du long.
Je l’ai pilonnée comme un forcené. Je criais :

— Je t’aime mon amour !

Pris un moment au dépourvu, Serge pour ne pas être en manque de plaisir, a, d’un geste vif, ôté son préservatif et s’est faufilé entre les lèvres douces de France.
Enfin prise des deux côtés ! Combien de fois n’avions nous pas fantasmé sur la scène ?

Comblée par la bouche, le minou rempli, elle se donnait désormais sans retenue. Nous formions un groupe de sexe en folie.
C’est Serge qui a cédé le premier. Il s’est vidé dans la gorge de ma femme en un long feulement de tigre. Il a rempli sa bouche de son sperme épais et onctueux.
Ma femme avec gourmandise, semblait s’en délecter.
Je me suis alors penché sur elle et j’ai pris sa bouche encore toute baveuse de sperme.
Sa bouche avait un goût doux et âcre, qui rajoutait au goût de miel de sa langue.
C’est ce qui a déclenché je crois son fol orgasme ! Je l’ai sentie qui se cassait entre mes bras, dans un long tremblement d’amour. Dans un cri rauque, mêlé au sien, je me suis alors vidé dans son ventre chaud.

Jamais nous n’avions éprouvé de telles sensations. Nous nous sommes serrés fortement pour mieux partager ce plaisir inouï. La réalité avait dépassé le rêve !
Serge, un instant exclu, nous a vite rejoints. France, amoureusement, avait tendu sa main pour l’attirer à elle.
Elle nous partageait indifféremment dans ses baisers.
Repus pour un moment, nous avons trinqués enfin.
Insatiable, ma femme adultère, après nous avoir redonné vigueur, s’empalait sur Serge à mon trouble plaisir.
Je vous laisse imaginer la nuit que nous avons passée.
Une nuit de folie où ma femme c’est comportée comme mon adorée petite pute !

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2 réponses à Visite au Mont Saint-Michel

  1. Anonyme 5 octobre 2023 at 15:23 #

    J’adore votre histoire

  2. ulmwuwuP 8 octobre 2020 at 21:13 #

    je v venir l’enculer cette grosse pute

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