Une carotte est une carotte ?

Carole, ma femme, et moi-même (Jacques) formons un assez joli couple du haut de notre quarantaine : elle, toujours aussi belle et élancée malgré deux grossesses, les fesses fermes et les seins lourds ; moi, un peu de ventre mais pas trop, assez musclé de façon générale, et toujours plus que vaillant au niveau sexuel. Et de ce point de vue là, notre couple va aussi très bien après plus de dix-sept années d’une vie commune faite de fantaisie et de plaisir, et surtout de confiance et de fidélité.

Cette confiance mutuelle est pour nous plus qu’importante, car elle nous permet d’envisager de nombreuses possibilités durant nos jeux sexuels, sachant que l’on peut tout arrêter à tout moment. C’est ainsi que depuis plusieurs années, nous pratiquons beaucoup le nudisme, l’exhibitionnisme et n’hésitons pas à aller dans les clubs et saunas libertins, mais uniquement pour vivre notre sexualité ensemble, sous le regard des autres et rien d’autre. Nous apprécions ainsi particulièrement les clubs et les saunas disposant d’une pièce fermée avec miroir sans tain ou vitre nous permettant de faire l’amour sous les yeux de nombreux hommes se masturbant de l’autre côté. Carole est alors déchaînée et jouit comme jamais à chaque visite. Tout cela reste bon enfant et jamais nous ne sommes allés plus loin.

Dernièrement nous sommes allés dans un sauna que nous ne connaissions pas encore, proche de la Gare de Lyon à Paris. Sitôt arrivés, nous nous déshabillons et passons en mode peignoir avant de visiter les lieux. Le club est sur deux niveaux avec douches, sauna, hammam, salle de repos et pièces privées au rez-de-chaussée. Des préservatifs sont disponibles dans toutes les salles. Au sous-sol, nous trouvons une salle sombre (sans lumière), une salle vitrée (comme nous les aimons), une salle plus SM et un mur à glory holes jouxtant une salle annexe.

Dans une soudaine inspiration, je conduis Carole dans cette dernière et ferme le verrou derrière nous.

Nous sommes dans une pièce sombre, et la seule lumière nous arrive par-dessous la porte et par les trois trous dans le mur, à hauteur de pelvis d’homme, dans le mur sur le côté. J’explique rapidement à Carole que j’ai envie de la prendre tout de suite en levrette, appuyée contre le mur tout en regardant les verges en érection qui se présenteraient à elle.

— Et que veux-tu que j’en fasse ? me répond-elle.
— Tu n’as qu’à les branler si ça t’amuse ! je lui réponds du tac au tac.
— Je préfère encore te sucer, me dit Carole.

Joignant le geste à la parole, Carole se met à genoux devant moi et écarte les pans de mon peignoir, dévoilant ma verge en érection qu’elle enfourne dans sa bouche. Elle s’active doucement sur mon gland et repasse sur mes testicules avant de m’enfourner complètement à nouveau.

Quelqu’un essaye d’ouvrir la porte et constate qu’elle est verrouillée. Dans les secondes qui suivent, un pénis apparaît à travers un des trois trous dans le mur, celui de droite. Je le prends en main et commence à le branler doucement et à lui donner consistance. Puis je prends la main de Carole et la pose sur cette autre verge, l’invitant à la branler à son tour. Carole s’exécute doucement tout en me suçant. Cela me fait bizarre de voir Carole avec cette verge en main et en même temps cela m’excite beaucoup.

Je relève Carole tout en lui demandant de continuer à branler l’autre homme et lui dit :

— Tu saurais reconnaître ma queue dans le noir si tu devais la choisir entre plusieurs ?
— Bien sûr ! Quelle question ! Après toutes ces années, je la connais très bien.
— Donc si je passe de l’autre côté, tu me reconnaîtras sans difficulté ?

Elle me sourit, m’embrasse en me disant « coquin ».

Je sors de la salle et attends que Carole referme la porte à clé derrière moi, puis je me dirige vers les trous dans le mur de l’autre côté. Ce n’est pas très loin (4 – 5 mètres) mais c’est suffisant malgré tout pour que deux autres hommes aient pris place à côté du premier. Celui-ci (à gauche maintenant pour moi) est plaqué contre le mur et doit à nouveau se faire branler par Carole compte tenu des quelques expirations bruyantes qu’il produit. Ce faisant, un deuxième homme, un noir assez costaud, a pris position au milieu et déjà introduit sa verge dans le trou. Je me précipite pour prendre la troisième place avant le dernier homme, mais ce dernier est plus près que moi et semble lui aussi vouloir profiter de l’être, homme ou femme, qui semble prodiguer du plaisir aux autres dans cette salle.

Zut ! Carole va être bien en peine pour reconnaître ma verge !

Je regarde les trois hommes, chacun le ventre collé au mur, leur visage exprimant tour à tour des grimaces de contentement, leur bouche gémissant de temps à autre. Cela continue ainsi pendant une bonne dizaine de minutes avant que l’homme de gauche ne libère sa jouissance et gémisse un peu plus fort. Il libère apparemment toute tension, ramène rapidement son sexe flasque et s’en va content en remettant sa serviette. Je m’engouffre dans la place libre, les deux autres hommes à ma droite émettant toujours des petits bruits de contentement allant du « oui » au « ah ».

Quelques secondes après avoir enfoncé ma verge dans le trou, une petite main, celle de Carole bien sûr, s’enroule autour et commence à me branler doucement pour me donner une belle érection. Carole doit avoir reconnu ma verge, et être enfin soulagée, car elle me reprend en bouche pour continuer la pipe qu’elle avait commencé plus tôt. Je suis aux anges et souris béatement à mes voisins. Carole me suce quelques minutes puis me branle à nouveau, mes voisins me regardant à leur tour en souriant et en émettant de nouveau des bruits de contentement. Elle doit sacrément bien les branler aussi.

Mais si Carole me branle d’une main, comment peuvent-ils apprécier tous les deux en même temps que Carole les masturbe ??

* * * * *

Jacques est parti rejoindre son trou dans le mur, je referme la porte et verrouille à nouveau. Je me retrouve à nouveau à genoux devant ces trois trous et reprend la verge présente à droite pour la branler. Rapidement, une seconde verge vient remplir le trou du milieu, et quelques secondes plus tard c’est le tour de celui de gauche. Je prends chacune des nouvelles verges en main et les branle pour essayer de retrouver celle de mon mari.

Celle du milieu n’est certainement pas la sienne car elle prend déjà des proportions que je ne lui connais pas, et elle ne semble pas encore à son maximum. En revanche, celle de gauche pourrait être la sienne, mais elle n’est pas aussi courbée d’habitude.

J’en suis maintenant persuadée, aucune de ces verges ne correspond à celle de Jacques. À quel jeu joue-t-il ? Pourquoi a-t-il fait cela ?

Je branle les verges des deux mains, alternativement, ne pouvant m’occuper des trois en même temps. L’homme de droite, le premier arrivé, gémit de plus en plus alors que celui de gauche est dur comme du bois. Enfin, celui du milieu a atteint une taille impressionnante en longueur ; jamais je ne pensais voir cela. Elle est vraiment superbe même s’il m’est difficile de la « voir » réellement dans cette pénombre.

Je continue mes branlettes, changeant alternativement de propriétaire, pendant cinq bonnes minutes avant que ne survienne le premier incident. Alors que j’étais en train de m’occuper des verges de gauche et de droite simultanément, j’ai pris soudainement conscience de la longueur de celle du milieu lorsque le gland effleura mes lèvres. Impressionnée et interloquée, et en même temps très excitée depuis plus de dix minutes par le fait de branler trois hommes autres que mon mari, je me suis lentement rapprochée et j’ai pris ce gland dans ma bouche, titillant le méat de ma langue, léchant ensuite la hampe sur toute sa longueur. Arrivée à la base de la verge, soit contre le mur, quelle ne fut pas ma déception de ne pourvoir accéder aux couilles restées de l’autre côté du mur. De frustration et de dépit, je me mets à branler frénétiquement les deux autres hommes tout en gobant à nouveau la verge centrale et lui prodiguant d’importants va-et-vient de la tête.

Je les entends tous les trois râler doucement, preuve que mon action semble leur plaire. J’abandonne l’homme du milieu quelques seconde et pars « goûter » celui de gauche. Il est beaucoup moins long, plus comme mon époux et je peux ainsi le prendre entièrement en bouche. Je m’active sur lui pendant une minute, branlant les deux autres alternativement, puis reviens au tout premier, à droite, qui a droit lui aussi à sa petite pipe.

Deuxième incident ! Le contact de ma bouche autour de son gland a pour effet quasi-immédiat de libérer sa jouissance et je n’ai pas le temps de me retirer suffisamment vite pour éviter un premier jet de sa semence dans ma bouche et sur ma joue, le reste filant par terre, sur ma main et mon peignoir. Je recrache rapidement ce sperme non désiré et m’essuie le visage sur ma manche de peignoir. L’odeur du sperme m’excite encore un peu plus et j’ai la chatte en feu : j’ai envie que Jacques me prenne immédiatement.

Mon jouisseur s’en va et laisse la place à un nouveau. Au passage, la lumière s’engouffrant par le trou « libre » me permet de remarquer les serviettes en papier au mur et une coupelle pleine de préservatifs comme il y en avait dans les autres salles lors de la visite.

Je « récupère » le nouveau venu en main et le branle à son tour tout en reprenant M. Milieu en bouche, mais j’abandonne très vite ce dernier, constatant que le nouveau venu ne peut être que Jacques. Dès lors je m’active très fortement sur lui, le branlant et le pompant comme une forcenée. Ma main gauche passe alternativement de M. Gauche à M. Milieu puis les laisse pour s’occuper de ma chatte toute trempée. Quelques caresses suffisent à me porter à la limite de la jouissance. Je retire ma main, ne voulant pas venir tout de suite.

Je reprends mes patients en main et m’active à nouveau sur eux, branlant Jacques et M. Gauche tout en suçant mon long sucre d’orge.

* * * * *

Comment est-ce possible ? Carole est donc en train de sucer un de ces deux hommes ! Mais est-ce bien sûr ? Elle me branle la plupart du temps, venant me lécher de temps à autre. Je bande comme un salaud et mes voisins sont dans un même état d’excitation apparemment. Elle est très douée, ma Carole, pour affoler les hommes, mais que leur fait-elle donc ?

Pendant plusieurs minutes où je ne suis ni branlé ni sucé, semblant n’être pas aussi bien considéré que les autres, j’entends des râles étouffés de l’autre côté du mur, Carole semblant se faire du bien. Puis je l’entends de manière plus insistante pousser des cris et des gémissements, mon voisin direct mimant de légers mouvements d’avant en arrière, mais toujours collé au mur.

Carole agrippe ma verge à nouveau pour la branler frénétiquement, tirant plus dessus qu’elle ne la branle vraiment. Elle gémit de plus en plus fort. Elle doit se titiller la chatte de manière importante. J’ai un grand sourire sur le visage tout en me demandant si elle n’est pas en train de sucer l’un des deux autres. Non ! Ses cris et gémissements sont trop nets ; elle est en train de se branler tout en me branlant aussi. Alors pourquoi le noir au centre est-il en train de jouir fortement en gueulant que c’est bon ? Carole de son côté jouit elle aussi fortement. Mon voisin se retire du trou et laisse apparaître une très longue verge couverte d’une capote.

Nom de nom !

* * * * *

Après quelques minutes, suçant bien appliquée la belle verge du centre, je repasse alternativement d’une main et de ma bouche sur les trois engins qui me sont proposés. Ma main gauche est, quant à elle, retournée entre mes cuisses où elle s’active à nouveau sur ma chatte en feu. Alors que je reviens sucer Jacques, je me demande s’il n’est pas possible qu’il me pénètre ainsi, à travers le mur, mais malheureusement une double contrainte (il est trop près du mur, et sa verge n’est pas assez longue) ne me permet pas de mettre se projet à exécution. Bon sang, j’ai pourtant diablement envie d’une bite dans mon vagin !

Je branle Jacques à nouveau quelques secondes tout en suçant M. Centre, lorsque je réalise que ce dernier serait vraiment idéal pour me satisfaire : sa bite est très accessible et terriblement longue, plus encore que celle de Jacques malgré les cinq centimètres d’épaisseur du mur. Je n’ai plus toute ma tête : je songe à me faire jouir avec une superbe verge (que je suis en train de sucer par ailleurs tout en me masturbant) alors que mon mari est à quelques centimètres seulement. Je dois vraiment être folle, mais je ne tiens plus et j’ai besoin que l’on me prenne tout de suite. Je retire mon peignoir.

Dans un état second et en partie fébrile, j’abandonne ces messieurs et je me tourne vers le bol au sol, prend un préservatif et l’enfile sur la superbe verge du milieu. Je me redresse et tourne le dos au mur, me penche légèrement en avant, m’appuyant d’une main au mur. De l’autre, je saisis la verge capuchonnée et la guide dans mon sexe. Je m’appuie des deux mains au mur et m’empale littéralement sur cette verge. J’ai les jambes qui tremblent à la fois de bien-être, de la jouissance à venir que je sens si forte et du fait de savoir que tout cela n’est pas bien, Jacques étant à côté d’une part et n’ayant jamais souhaité le tromper. Je coulisse sur cette verge de plus en plus vite, poussant de nombreux cris et gémissements. Elle me remplit comme jamais je ne l’ai été auparavant. Que c’est bon ! J’agrippe les deux autres verges des mains et m’en sers comme point d’appui pour encore mieux sentir mon amant en moi. Je sens qu’il jouit, longuement, ses spasmes déchaînant mon plaisir à son tour. Je jouis comme une folle et me retrouve à genoux sur le sol, les jambes sciées de plaisir.

* * * * *

Le Noir est parti, la capote usagée pleine de sperme. Bon sang, mais qu’est-ce qu’elle a bien pu faire ? Au moins, si elle l’a sucé, elle a eu la présence d’esprit de lui mettre une capote afin de ne pas prendre de risques.

Carole me reprend en main et me branle rapidement. Elle fait apparemment pareil au gars de droite qui jouit rapidement et s’en va à son tour. Un autre homme prend la place du milieu et engage son sexe à son tour. Carole continue de me branler et de me sucer alternativement, m’arrachant de nouveaux gémissements tout comme au nouvel arrivant. Elle va de plus en plus vite et s’active de mieux en mieux sur ma verge, me conduisant enfin au plaisir de me vider en partie dans sa bouche, le reste de ma semence allant certainement inonder le sol de la salle. Je me retire doucement tout en observant mon voisin jouir à son tour et quitter son trou à son tour.

Je contourne la salle et retourne près de la porte où je frappe plusieurs petits coups.

La porte s’ouvre sur Carole, nue, en sueur, les seins et le menton couverts de sperme. Elle me fait entrer dans la salle.

* * * * *

Je me retourne vers mes deux dernières verges et m’active frénétiquement des mains et de la bouche sur chacune d’elles. Rapidement je sens que M. Gauche va venir et je me concentre sur lui, le branlant et lui prodiguant des léchouilles jusqu’à sa jouissance que je laisse éclater sur ma poitrine. Je me retourne rapidement vers Jacques et constate aussi l’arrivée d’un nouveau. Je m’occupe d’eux alternativement et obtiens enfin leur jouissance, Jacques dans ma bouche, sur mon visage et sur mes seins, l’autre homme explosant littéralement et inondant ma poitrine.

Tous deux se retirent et j’entends quelqu’un frapper à la porte. C’est Jacques et je lui ouvre la porte, lui révélant mon corps nu couvert de sperme. J’ai en partie honte de l’avoir trompé, mais je ne veux pas de scène. Je le fais entrer, verrouille la porte, le serre dans mes bras tout en lui demandant de me faire jouir à son tour, peu importe ce qu’il s’est passé.

Je me retourne, les mains contre le mur, et lui présente mes fesses à genoux. Il me pénètre d’une poussée et mon corps encore électrique réagit immédiatement. Je gémis de plaisir : c’est trop bon. Jacques me baise littéralement comme un forcené. Il agrippe mes cheveux me poussant en avant. J’aperçois alors une verge nouvelle devant moi. Jacques me guide droit dessus et me pousse à la gober entièrement. J’ai la bouche contre le trou, la tête maintenue par Jacques. L’inconnu me baise, alors que Jacques m’arrache une nouvelle jouissance. Tous les deux viennent en même temps, emplissant ma chatte et ma gorge. Je n’ai d’autre choix que d’avaler. Jacques me retourne, me dit qu’il m’aime et m’embrasse à pleine bouche.

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