Livie in Live (1) – La petite départementale

Et nous voilà de retour de la mer où nous avons passé le week-end du vendredi au dimanche de cette fin de Mai. Bien qu’elle soit un peu fatiguée, Livie conduit sa petite voiture, elle a désiré que nous y allions avec sa Twingo à elle. Et il est hors de question que je mette mes mains sur le volant de son « auto » : sa voiture à elle qu’elle a, c’est sacré ! Donc je me laisse reconduire.

Ca va faire 2 ans que nous nous fréquentons et notre mariage est plus ou moins prévu d’ici la fin de l’année. Impossible néanmoins d’avoir pour l’instant une date précise: çà dépend beaucoup du résultat du concours prévu dans 15 jours. Je sais que Livie l’aura sans problème, c’est une acharnée, une battante mais elle est moins sure que moi.
Deux ans que j’aime cette fille de 21 ans que j’ai eu un mal fou à apprivoiser, à conquérir, une kabylo-maltaise comme elle se décrit elle-même avec une bonne option d’italienne. Du haut de ses 160 centimètres (ce qu’elle dit !), sa tête toute bouclée avec des mèches jais dans tous les sens, elle fonce droit devant, pulvérisant l’obstacle. Elle déteste quand je l’appelle mon petit mouton adoré. Son caractère entier peut être aussi sombre que ses grands yeux d’un noir profond dans lesquels j’aime me perdre. Sa bouche fine aux fines lignes rouges peut être aussi incisive que ses répliques. Tout le monde me dit qu’avec elle, je n’ai pas choisi la simplicité…

Le seul reproche que je pourrais lui faire est son manque de romantisme, surtout après l’amour. Une fois qu’elle a joui et prit sa minute de repos (je sais, c’est court…), sa phrase rituelle est :

— Tu peux me rendre mon corps, maintenant ?

Et croyez-moi que les câlins en souffrent un peu et j’adore faire des câlins avant, pendant et après, surtout après !

Néanmoins, c’est avec elle, et uniquement qu’avec elle, que j’envisage l’avenir. Elle tourne vers moi son visage rond au nez pointu :

— Je ne connais pas bien par ici, je ne reconnais pas la route, tu es sur que c’est par ici ?
— J’en suis sur. D’ailleurs dans quelques temps, nous allons croiser un restau en colombages, à notre droite.
— Ah oui, le truc blanc et marron là-bas ? Je te crois.

Elle me croit, ce n’est pas mal ! Il y a un an de çà, ce qui n’était pas sa vérité ne pouvait pas être bon (vous avez suivi ?). Quand je vous disais que je n’avais pas choisi la simplicité ! Je me renfonce dans ma douce rêverie. Je songe à nos deux nuits sous la canadienne. Nous avions joint nos deux sacs de couchage pour n’en faire qu’un seul mais manque de bol pour moi qui n’avais pas bien examiné le calendrier : elle avait ses règles et donc : nada, rien, niet, néant. Sauf un petit câlin…
Personnellement, règles ou pas règles: aucune importance ! Mais le seul atome d’un soupçon d’un commencement du début de l’idée vague et lointaine d’y penser risquait de me foudroyer sur place, réduit en un tas de cendres fumeuses par le simple regard sombre de ses yeux courroucés…

Je la vois qui se crispe de temps à autre, serrant les jambes, se pinçant les lèvres. Ce manège dure depuis quelques kilomètres. Je lui demande alors :

— Tu es sure que tu ne veux pas t’arrêter ?
— Non, Laurent ! Il faut être rentré avant 20 heures !
— Je te signale qu’il n’y a personne qui nous attend et puis, t’en auras que pour 5 minutes à te… soulager !
— Oui, je sais mais je ne vois aucun endroit pour m’arrêter !
— Hum, si j’ai bon souvenir, après la colline, là-bas, à droite, tu as une petite route qui se perd complètement dans la campagne avec quelques petits bois.
— T’es du coin ou quoi ?
— Je suis souvent venu faire du vélo avec mon oncle qui habitait dans le secteur.

Effectivement, une petite route à droite se perd dans la verte campagne déserte. Livie avise un chemin de traverse et s’y engouffre. Aussitôt un petit bois dépassé, elle stoppe la voiture précipitamment et se rue vers une sorte de grande prairie bordée de buttes. Dans la foulée, je la vois perdre une sandalette, baisser son short en jean et le perdre juste avant de grimper un petit monticule. Je suis le même chemin pour ramasser ce qu’elle a perdu. Au détour du monticule, je tombe sur son slip rose, son envie devait être très très urgente !

Comme j’ai son slip en main, j’en profite pour l’étirer à deux mains devant mes yeux, me plaisant à imaginer ce qu’il recèle en temps normal. Je sais les trésors qu’il dissimule d’habitude et ceux-ci m’ont toujours plu !

C’est en m’avançant un peu plus que je la découvre. La voir accroupie, relâchée, yeux fermés, ses belles fesses dodues à l’air, sa mignonne chatte noire bouclée d’où jaillit une fine courbe dorée, me fait un choc. Je ne suis pourtant pas un adepte des joies de l’uro mais j’ai une soudaine envie de me jeter sur elle et de lui faire subir les derniers outrages. D’ailleurs une certaine partie de mon anatomie bande déjà sec, je suis même très étonné de la rapidité à laquelle elle est devenue dure comme du béton ! Des idées bizarres me viennent en tête, des idées assez incongrues que je trouve vite évidentes et normales. Je m’inquiète de moi-même…

Je suis planté là, en train de la regarder fixement quand, soudain, elle réalise ma présence et tourne la tête vers moi. Quelque chose sur mon visage doit la surprendre car au lieu de m’envoyer une sentence cinglante comme elle en a le chic, elle reste bouche bée et rougit, ce qui est très rare chez elle.

Quelques gouttes perlent de sa toison drue puis chutent dans l’herbe.

J’ai l’impression d’être au cinéma, dans un film en cinémascope, grand écran avec ralenti sur image. Lentement, je m’approche d’elle qui me regarde toujours fixement, yeux grands ouverts, les joues rouges. Doucement, je m’accroupis à côté d’elle, mes lèvres à deux doigts de sa bouche ouverte tandis que ma main se pose sur son genou.

J’effleure ses lèvres des miennes, capturant leurs saveurs, ma main glissant imperceptiblement le long de sa cuisse, épousant ses doux reliefs rebondis. Elle est toujours sans réaction, comme figée, hypnotisée.
Quand ma main atteint sa touffe mouillée et que mes doigts s’enroulent dans sa toison drue, nos bouches se soudent enfin en un long baiser. Nos langues se mélangent, ses yeux se ferment.

Tout en la capturant d’un bras ferme, son dos allongé dessus, je la couche délicatement un peu plus loin sur l’herbe, mes doigts refusant de sortir de son bosquet et ma bouche de quitter la sienne. Quelques brins d’herbe folâtres viennent s’immiscer entre ma main avide et sa chatte offerte.

Tout en jouant avec les herbes, je parviens bien vite à l’orée de son petit bouton enfoui que je caresse délicatement à travers ses fines chairs distendues. Ses bras enserrent mon cou, ses petits seins cognent ma poitrine, je sens ses pointes durcies à travers son soutien-gorge, son T-shirt et ma chemisette.

Mes doigts s’immiscent à présent en elle sans qu’elle s’y oppose, ses cuisses étant largement écartées pour m’offrir tout l’accès que je désire et dont je ne me prive pas. J’éprouve une satisfaction trouble à m’imprégner de son urine mélangée à sa cyprine entre ses poils légèrement poisseux. Je décide d’y goûter à tout prix.
Quittant sa bouche chaude, je descends sur son menton puis son cou en une multitude de baisers ardents et souvent désordonnés. Je m’enfouis dans l’échancrure de son T-shirt puis rebondis sur son sein pour le mordiller délicatement. Je constelle son ventre de mille baisers fougueux avant de m’approcher puis de conquérir son mont de Vénus. De là, avide, je plonge sans vergogne dans son bosquet humide à la recherche de ses saveurs intimes.

Son goût est sucré avec des pointes acides, ma langue farfouille ses moindres recoins, longeant ses lèvres, ses plis intimes pour finir vers son clitoris dévoilé. Avec convoitise, j’entreprends l’assaut de cette petite tour du bout de la langue sans trop forcer ma pression. Je l’entoure délicatement, l’enveloppe de mon humidité puis je dépose le plus subtilement possible un doux baiser sur sa pointe. Livie en frémit d’aise, ses doigts plongés dans mes courts cheveux, me guidant sur ce qu’elle désire.

Ses mains me reconduisent vers sa grotte dans laquelle je m’enfouis avec délice, ne négligeant aucun renfoncement, mes doigts me facilitant la tâche en l’entrouvrant plus encore. Je descends ainsi le long de sa fente humide et risque quelques petits coups de langue entre ses fesses, pas loin de sa rosette dissimulée dans l’herbe.
Avec amusement, je constate que certains brins de végétation s’introduisent dans sa chatte ouverte et d’autres épousent son sillon fessier, titillant son anus contracté.

Gémissante, enfouie dans mes cheveux, Livie contracte ses doigts au même rythme que ses soupirs, sa respiration devient de plus en plus hachée. Lorsque je remonte de mon plein gré vers son clitoris que ma langue enrobe délicatement, elle pousse des petits cris désarticulés, son bassin étant pris d’oscillations frénétiques enserrant mes doigts plongés en elle. À peine, ai-je eu le temps de la savourer, elle explose sa jouissance en une série de gémissements plaintifs tandis que je continue ma douce torture.

D’un coup, comme affolée, elle se débat, tentant de repousser ma tête de sa chatte, ses cris sont rauques, un étrange mélange de jouissance et d’appréhension. La voix enrouée, elle parvient à articuler rapidement :

— J’ai pas fini de faire pipi !!

Mes idées incongrues de tout à l’heure reviennent, mes doigts toujours dans sa chatte, ma langue à l’orée de son clitoris, je presse délibérément sur sa vessie lui disant :

— Vas-y, mon amour, laisse-toi aller !
— Mais, t’es fou ? Dit-elle, pas très convaincue, une point d’excitation dans la voix.
— Oui, fou de toi !

Ma paume épouse parfaitement son mont de Vénus, le pressant fermement. Alors d’une petite voix étrange, Livie murmure :

— Et bien… profites-en !

Et elle se laisse aller. Un fin jet s’expulse de sa toison à un doigt de mon nez pour aller se fracasser dans l’herbe tandis que je continue à lui lécher le haut de sa fente trempée, mes doigts s’activant toujours en elle. Le second jet est moins puissant puisqu’il ruisselle sur sa chatte et mes doigts, maculant ses cuisses d’un liquide chaud. Je plaque alors ma paume sur son buisson trempé pour cueillir le dernier jet et en inonder son pubis et sa chatte. Cette sensation chaude et perverse décuple mon envie de plonger en elle. En un rien de temps, mon pantalon de toile et mon caleçon voltigent dans la prairie et braquemart en avant, je m’introduis voluptueusement dans sa chatte détrempée. Quand mon pubis velu s’aplatit sur sa chatte fournie et ruisselante, une extase étrange me saisit. Fiévreux, je glisse ma main mouillée sous son soutien-gorge pour lui capturer un sein frémissant. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit en catimini :

— T’es un drôle de vicieux quand même !

Mais elle se laisse faire et m’incite même par ses mouvements de bassin à me river encore plus en elle. Elle semble vouloir ajouter quelque chose mais je lui clos la bouche d’un baiser fiévreux et exigeant. Son sein emprisonné, sa vulve conquise, ses lèvres capturées, c’est ainsi que je jouis extraordinairement en elle, un orgasme foudroyant comme j’en ai rarement eu.

Affalé sur elle, m’efforçant de ne pas trop l’écraser sous mon poids, mes lèvres dans son cou, je comprends à de subtils signes qu’elle a joui une seconde fois. Nous restons enlacés ainsi des longues minutes tandis que je la câline et l’embrasse partout, ses mains me caressant le dos et les fesses. Ce moment est rare, c’est l’une des premières fois qu’il y a un après avec elle et je tiens à en profiter au maximum.

Un sourire énigmatique aux lèvres, elle prends alors ma tête dans ses mains, plonge ses beaux yeux sombres dans les miens et me dit d’une voix légèrement enrouée :

— Je pense que çà nous ouvre de nouvelles perspectives…

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