Routier sympa

Comme souvent le week-end lorsqu’il fait beau, nous partons, mon épouse et moi au bord de la mer, disposant d’une petite maisonnette de campagne.
Aujourd’hui donc, nous roulons tranquillement en direction de la côte. Tout en conduisant, je caresse doucement le genou de Cynthia, ma chérie.
Nous sommes mariés depuis une dizaine d’années et sommes toujours amoureux. Si Cynthia adore faire l’amour, je regrette parfois qu’elle ne soit pas un peu plus « garce ». J’aimerai, comme je pense pas mal d’hommes, la voir s’exhiber et même aller un peu plus loin. Malheureusement, bien qu’ayant abordé ces sujets sans tabou, elle a toujours refusé ce genre de pratiques, sans doute plus par complexe que par pudeur, ne se trouvant pas spécialement jolie. Contrairement à moi qui ne me rassasie jamais d’admirer ses formes, tant sa poitrine généreuse que ses cuisses pleines mais fermes. Enfin, le principal est d’être bien ensemble et c’est le cas !

Peu de monde aujourd’hui, la circulation est fluide nous sommes même en avance.

— « Chéri, s’il te plait, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j’ai très envie de faire pipi… »
— D’accord ! »

Quelques kilomètres plus loin, nous stoppons. Cynthia sort rapidement de la voiture et se dirige vers les toilettes. J’en profite pour sortir et faire quelques pas. L’aire de repos est presque déserte, si ce n’est un semi-remorque dont le chauffeur doit se reposer, à en juger par les rideaux fermés.
Je suis un peu surpris de voir ma femme revenir aussi vite, et visiblement toujours aussi pressée, je me demande un instant ce qui se passe.

— « Les toilettes sont dans un état ! Tant pis, je vais me retenir…
— Va plutôt te soulager plus loin. Il n’y a personne…
— Tu crois ? Et le camion, là ?
— À mon avis, ça dort.
— Après tout… »

Elle court presque jusqu’au champ voisin et disparaît de ma vue. C’est à ce moment que la portière du camion s’ouvre et qu’un homme en descend. Je le vois se diriger dans la même direction, sans doute pour, lui aussi, satisfaire un besoin naturel. Rapidement, je verrouille la voiture et le suit, craignant pour ma chérie. Il s’arrête juste au bord de l’herbe et sa position indique qu’il se soulage. Je ne vois pas ma puce et suis un peu rassuré en pensant qu’il ne peut la voir non plus.
Tranquillement, il revient vers son bahut et s’y réinstalle, ouvrant les rideaux. Quelques minutes plus tard, Cynthia réapparaît, une étrange expression sur le visage.

— « Que se passe t-il ?
— Le gars du camion… il est venu uriner à cinq mètres moi…
— Je sais. Il t’a vue ?
— Je ne pense pas… il ne regardait pas vers moi et je n’ai pas fait de bruit… mais…
— Quoi ?
— Je n’ai jamais vu ça…
— Quoi donc ?
— Son… sa… enfin, il en a une… c’est un vrai monstre…
— Je vois ! Madame se cache mais ne se gêne pas pour jouer les voyeuses…
— Idiot ! Je ne pouvais pas faire autrement, il était tout près…
— Tu pouvais fermer les yeux.
— Crois-moi si tu veux mais j’étais comme… hypnotisée… »

Nous regagnons la voiture et je redémarre. Ma main retrouve tout naturellement son genou et il me semble que ses jambes sont un peu plus écartées que tout à l’heure. Je remonte lentement sur la cuisse sans, contrairement à d’habitude, essuyer de protestation. Mes doigts courent sur sa peau tendre et, peu à peu, remontent vers sa fourche. Jetant un rapide coup d’œil vers elle, je remarque ses yeux mi-clos et sa poitrine qui se soulève un peu plus rapidement. Tentant le tout pour le tout, je pose la main sur la dentelle de son slip et masse le renflement. Ses jambes s’écartent encore un peu et elle ne peut retenir un léger gémissement. Ainsi donc, ma chérie est tout excitée !

— « Ce sont mes caresses qui te plaisent ou la pensée du sexe du routier ?
— Franchement, je ne sais pas très bien. Je n’arrive toujours pas à réaliser…
— Tu aurais aimé la voir de plus près ?
— Tu rigoles !
— Pourquoi pas ? Je suis certain qu’il aurait été d’accord…
— Tu es fou ! Et il n’aurait pas été sans demander quelque chose en échange… »

Tiens, tiens… l’idée ne semble pas la rebuter…

— « Au pire, il aurait souhaité en voir autant de toi…
— Et tu aurais accepté que je lui montre mon minou ?
— Tu l’aurais fait ?
— … Je ne sais pas… »

Je décide de ne pas brusquer les choses et poursuis mes caresses, non sans ralentir, espérant secrètement que le camion nous rattrape.
Le slip de Cynthia est de plus en plus moite, signe du trouble de ma chérie.

— « Je serai toi, je l’enlèverai… il va être tout tâché… »

Elle ne répond pas mais lève légèrement les fesses et fait glisser son sous-vêtement le long de ses cuisses. Le ramassant elle va pour le mettre dans la boîte à gants mais je parviens à m’en emparer. Je le porte à mon nez et savoure son odeur intime.

— « Sale pervers ! »

Son sourire montre qu’elle ne pense pas une seconde ce qu’elle vient de dire. Ma main retrouve sa chatte, cette fois nue et mes caresses entretiennent son excitation sans pour autant l’emmener trop vite au ciel.

Je vois alors dans le rétroviseur la silhouette grandissante d’un camion. Je ralentis encore un peu, pas trop pour ne pas éveiller les soupçons de ma dulcinée, et le laisse s’approcher. La décoration de celui du parking est spéciale et je n’aurai aucun mal à la reconnaître. Encore quelques secondes puis son clignotant m’indique qu’il va nous doubler. Un nouveau coup d’œil à Cynthia me rassure : les yeux maintenant fermés, elle s’abandonne totalement à mes caresses. Je reconnais sans aucun doute possible le camion de tout à l’heure. Au moment où il se trouve à notre hauteur, je remarque le visage du chauffeur tourné vers nous. Aucun doute, il voit ma main sur le sexe de ma femme. Un coup de klaxon la fait sursauter et elle réalise la situation. Brusquement, elle referme ses jambes et, en colère, me jette :

— « Tu es barge ! Qu’est ce qui t’a pris ?
— C’est ton ’pisseur’ de tout à l’heure… maintenant qu’il t’a vue ainsi, je suis certain qu’il acceptera de te la montrer…
— Tu n’es pas sérieux ?
— Tu n’as pas envie de la revoir ?
— Mais tu perds la boule…
— Tu n’as pas répondu.
— Tu veux vraiment ?
— Pourquoi pas ? »

Elle ne dit plus rien. Le camion nous a doublés et je décide d’aller au bout de mon envie. Ma main écarte à nouveau ses jambes et reprend sa place sur son intimité. Surpris, je la découvre totalement trempée ! Sous ses airs de ne pas y toucher, la situation lui fait un effet monstre. Je mets mon clignotant et déboîte afin de redoubler mon complice. Je reste un instant à sa hauteur et le voit regarder franchement dans l’habitacle.

— « Lève les yeux et regarde-le ! »

Timidement, Cynthia obtempère et son visage se lève, ses yeux croisent ceux du routier. Incrédule, je la vois lever les jambes et poser les pieds sur le tableau de bord. Dans cette position, elle ne lui cache absolument plus rien et cela semble lui plaire. Un panneau nous indique une aire de repos dans 5 km. Je reste encore quelques minutes à côté du camion avant qu’un appel de phare ne me fasse comprendre que nous ne somme pas seuls au monde. J’accélère un peu, me rabats et poursuis notre chemin, prenant bien garde à ne pas le distancer. Après quelques kilomètres, je mets mon clignotant et vois avec satisfaction le routier en faire autant. Nous nous garons à l’écart et j’arrête le moteur.

— « Tu es certain de ce que tu fais ? »

Ma chérie semble redouter le moment à venir.

—  » Sois tranquille, je vais aller le voir d’abord seul. »

Je sors de la voiture et rejoins l’énorme engin. Le chauffeur ouvre la portière et en descend. Je m’aperçois qu’il est très bel homme. Il me tend la main et me félicite pour la beauté de mon épouse. Je lui explique notre comportement et, souriant, il me dit :

— « Je n’étais pas sûr, tout à l’heure. Il faut dire qu’elle s’était bien cachée.
— Que pensez-vous de mon marché ?
— Beaucoup de bien. Je vous invite dans ma cabine ?
— D’accord. »

Je rejoins la voiture et présente les faits à Cynthia. Elle hésite un peu puis cède enfin.

Nous le rejoignons. Il lui tend la main pour l’aider à monter et, étant derrière elle, j’ai le plaisir de constater qu’elle n’a pas jugé utile de remettre son slip. Nous faisons les présentations puis Marc tire les rideaux, nous isolant du reste du monde, et dit :

— « Alors comme ça, il paraît que ma queue te plait beaucoup ?
— Euh… c’est-à-dire… je n’en ai jamais vu d’aussi grosse…
— Tu aimerais la voir de près, pas vrai ?
— Oui. »

Il se relève un peu et propose :

— « Vas-y ! Libère-la ! »

Cynthia me jette un coup d’œil interrogateur, semblant me demander mon accord. Mon sourire la rassure et, lentement, sa main s’approche du bas-ventre de Marc. Ses doigts descendent la fermeture éclair et écartent les pans du vêtement avant de le faire glisser sur ses jambes. Marc se retrouve juste vêtu d’un caleçon déformé par une bosse il est vrai énorme. Il se débarrasse du pantalon et reprend la pose, attendant la suite. Parfaitement excitée désormais, Cynthia baisse d’un coup le caleçon et une verge d’une taille que je n’ai jamais vue, même dans certains films, lui saute littéralement au visage. Elle pousse un ’oh’ de surprise et ne peut en détacher les yeux.

— « Tu peux toucher… »

Je regarde la main de ma chérie se poser un autre sexe que le mien et le caresser. Cette vision m’excite moi au plus haut point et je suis vraiment à l’étroit dans mon short. Ses doigts vont et viennent sur la hampe dont elle ne parvient pas à faire le tour. Il la laisse faire quelques minutes puis retire doucement sa main et lui dit :

— « Tu es d’accord pour me montrer ton trésor ? »

Je ne reconnais plus ma femme qui s’allonge sur la couchette et écarte au maximum les jambes, dévoilant sa chatte nue à Marc qui s’en met plein les yeux.

— « Écarte tes lèvres ! »

Totalement obéissante, elle expose sa fente, tenant ses grandes lèvres écartées. Marc approche son visage et s’amuse à souffler doucement sur la chatte ainsi offerte. Cynthia gémit et, d’une petite voix, lui dit :

— « Tu peux toucher aussi si tu veux… »

Comme s’il n’attendait que cela, il pose la main et entame de lentes caresses, massant les lèvres, explorant la fente, titillant le bouton puis introduisant un doigt dans le vagin, tirant un long gémissement à ma chérie. Le doigt va-et-vient, de plus en plus rapidement, faisant des bruits de clapotis. Un second le rejoint et Marc branle franchement ma femme qui ne tarde pas à parvenir à l’orgasme.

— « C’est bon ! Je vais venir! Oui… comme ça ! Ah…. »

Dans un cri, elle se libère, les doigts fichés au plus profond de son sexe. Marc les sort, avance son visage et je le regarde déguster la mouille de ma chérie. Il se relève, souriant, et dit :

— « Tu as une chatte délicieuse. Marc, tu es d’accord que je la prenne ?
— Si elle en a envie, pas de problème…
— Cynthia ?
— Oh oui ! »

Ma chérie me réserve bien des surprises !

Marc s’allonge sur la couchette et attire ma femme sur lui. Elle saisit son membre et le guide elle-même à l’entrée de son puits d’amour. Lentement, elle descend, savourant chaque centimètre de cette queue. Je me demande si elle va pouvoir la prendre en entier tant elle est énorme. Enfin, après de longues minutes, Marc est entièrement en elle. Cynthia reste immobile.

— « Mon chéri, je n’ai jamais été emplie ainsi…
— C’est bon ?
— Oh, oui ! »

Doucement, elle remonte, le faisant presque ressortir puis redescend d’un coup, s’empalant jusqu’à la garde dans un cri de bonheur. Marc la saisit par les hanches et la fait aller et venir sur lui, lui tirant des cris à chaque coup de rein.

— « Chéri, approche-toi ! »

Je me hisse jusqu’à la couchette. D’autorité, elle prend mes mains et les pose sur sa poitrine qu’elle vient de dénuder. Je masse ses seins, en étirant les tétons durcis par le plaisir. Elle me laisse faire un peu puis se courbe vers son amant, les lui donnant à téter, ce qu’il s’empresse de faire. Je caresse ses fesses que j’adore, insinuant un doigt dans la raie et trouvant le petit œillet sombre que je caresse lentement. Doucement, j’enfonce un doigt sans rencontrer de résistance. Au contraire, un « oui » m’encourage et j’entame de doux va-et-vient, sentant à travers la fine paroi, le sexe de Marc aller et venir dans sa chatte.

— « Prends-moi ! »

Je n’ose y croire ! Je me mets rapidement nu et prends place derrière elle. Heureusement, la cabine est suffisamment vaste ! Marc maintiens les fesses de ma femme écartées; il a cessé de bouger et j’appuie mon gland au centre. Nous pratiquons assez régulièrement la sodomie et je m’enfonce sans problème dans son cul accueillant. J’entame de lents va-et-vient et Marc la pistonne au même rythme. Cynthia n’en peut plus et nous crie son plaisir :

— « Que c’est bon ! Vous me remplissez bien tous les deux. Baisez-moi bien à fond ! »

Nous ne nous faisons pas prier et nos coups de reins se font de plus en plus puissants, la faisant crier désormais sans discontinuer.
Cette chevauchée dure un long moment et, le premier, je parviens à l’orgasme :

— « Ma chérie… je vais venir…
— Oui… vas-y ! Jouis dans mon cul ! Donne-moi ton jus ! »

Je me plante à fond dans ses reins et me laisse aller, mes jets fusant dans son étroit conduit. Je reste un peu en elle puis ressors, le sexe flasque. Je reprends ma position de voyeur et les regarde baiser. À son tour, Marc sent monter le plaisir :

— « Je vais venir aussi ! »

Il sort d’elle et sans hésiter, elle s’empare de son membre et le masturbe, le gland dirigé vers ses seins. Rapidement un premier jet l’arrose, suivi de nombreux autres qui maculent sa poitrine de traînées blanchâtres.
Malgré son éjaculation, il reste droit comme un i !

— « Mets-toi à quatre pattes ! »

Il s’installe derrière elle et la réinvestis. Ses va-et-vient reprennent de plus belle, pour le plus grand bonheur de Cynthia, méconnaissable, les cheveux collés au visage par la transpiration, la bouche grande ouverte. Cela me donne une idée et je m’assieds face à elle. Sans se faire prier, sa bouche m’avale et elle me suce, presque violemment tandis que mes mains reprennent possession de sa poitrine.
Il ne lui faut pas longtemps pour parvenir une seconde fois au septième ciel. Elle me lâche et crie :

— « Je vais jouir… baise-moi bien à fond… donne-moi ta queue ! »

Les coups de reins redoublent, faisant claquer les fesses contre le bas-ventre de Marc et soudain, elle pousse un long cri et jouit, les fesses tendues vers son amant qui ne ralentit pas la cadence. Il ne cesse ses va-et-vient, entretenant le plaisir de ma femme qui, pour la première fois, connaît plusieurs orgasmes successifs.
Épuisée, elle s’affale sur le ventre, suivi par Marc qui continue à la pistonner.

— « Ah… attends un peu… laisse-moi récupérer… »

A regret, il quitte son doux écrin et s’assied à côté de moi. Je ne peux m’empêcher d’admirer son sexe, luisant de cyprine, réellement imposant. Marc me regarde en souriant et me demande :

— « Tu veux y goûter, toi aussi ? »

Je ne sais pas ce qui me prend mais je me penche et pose les lèvres sur son gland. Peu à peu, mes lèvres s’ouvrent, le gland puis la hampe s’enfoncent dans ma bouche et je commence ma première fellation, trouvant très agréable le contact de ce membre masculin en moi.

— « Ça pour une surprise ! »

Cynthia, tout sourire, me regarde sucer Marc.

— « Elle est bonne sa queue, hein ? Vas-y mon chéri ! Pompe le bien ! Il suce bien au moins ?
— Hum… il se débrouille pas mal !
— Ça alors ! un vrai petit pédé ! Tu la veux dans le cul aussi ? »

Je ne peux répondre, bâillonné par le sexe de notre complice, et crains qu’elle ne prenne mon silence pour un consentement. Je sens alors ses doigts fureter autour de mon anus puis s’y enfoncer, sans trop de ménagement. Elle le fait parfois en me suçant mais est d’ordinaire beaucoup plus douce. Ses doigts vont et viennent en moi, me procurant peu à peu une sensation bien agréable.

— « Je te branle le cul avec trois doigts et tu aimes ça ! Marc, viens donc le prendre ! »

Il sort de ma bouche et j’en profite pour leur dire que je ne suis pas du tout d’accord :

— « Non, il va me déchirer le cul !
— Sois tranquille, je vais aller doucement. Tu vas voir, tu vas adorer…
— NON ! Je ne veux pas !
— Ne l’écoute pas Marc ! Vas-y ! Et après, s’il te reste des forces, je t’offrirai le mien… »

J’ai du mal à reconnaître ma femme ! Elle demande à son amant de m’enculer et lui propose le même supplice pour elle. Marc, faisant fi de mes protestations, pose les mains sur mes hanches et se sens son gland peser contre ma rondelle. Instinctivement, je serre les fesses mais une claque me rappelle à l’ordre.

— « Ne bouge pas ! Laisse-toi faire ! J’aime quand tu m’encules… il n’y a pas de raison que tu n’aimes pas ça toi aussi !
— Mais il est bien trop gros ! »

Je sens mes chairs s’écarteler sous la poussée, la douleur est vive et je tente de me soustraire mais Marc me maintient fermement.

— « Le plus dur est bientôt passé… Cynthia, caresse-le ! »

Les doigts de ma chérie se referment sur mon sexe mou et le caressent doucement. Marc poursuit son intromission et j’ai l’impression qu’une barre de fer me transperce. Je transpire abondamment, je serre les dents mais ne peux l’empêcher de s’enfoncer, centimètre par centimètre. Après un long moment, il annonce triomphalement qu’il est tout entier dans mon cul. Je suis quelque peu surpris de ne plus trop souffrir. Il reste un moment immobile puis entreprend de ressortir, tout aussi lentement. Mon cul semble s’habituer à sa présence et je ne ressens plus aucune douleur. Mon sexe, sous les caresses de ma chérie a retrouvé toute sa vigueur, ce qui lui fait dire :

— « Tu vois, tu aimes te faire baiser ! Tu bandes ! »

Marc entreprend alors d’aller et venir en moi et je me surprends à me cambrer, tendant mes fesses au-devant de sa queue.
Il me pilonne un long moment et je prends maintenant du plaisir à me faire ainsi ramoner.

— « A mon tour maintenant ! »

Décidément, ma chérie est en chaleur ! Elle s’allonge sous moi, relève les jambes, les passe sous mes bras et les écartes au maximum, dévoilant son sexe et son anus. Elle écarte ses fesses et dit :

— « Chéri, prépare-moi ! »

Ma langue plonge sur sa rondelle que je lèche abondamment, salivant le plus possible.

— « Allez ! Viens Marc ! »

Je ressens un immense vide quand il sort de moi, me laissant frustré. Je le vois s’appuyer contre les fesses de ma chérie. Je prends son sexe et le guide vers la rondelle puis le regarde s’enfoncer lentement mais sûrement.

— « Oh, qu’il est gros ! »

Je le regarde, étonné, s’enfoncer sans trop de difficulté. Mes doigts retrouvent la fente que je caresse lentement, alors que Cynthia me reprend entre ses lèvres et me suce avec toujours la même ardeur.
Rapidement, il va-et-vient en elle, lui tirant à nouveau des cris, heureusement étouffés par mon propre sexe.

Après de longues minutes, il sort d’elle et, dans un cri, éjacule une nouvelle quantité de sperme importante, lui maculant la toison pubienne. Cynthia lâche mon sexe et dit :

— « A ton tour, mon chéri, viens me faire jouir ! »

Je pénètre son sexe et il ne nous faut guère de temps pour obtenir un nouvel orgasme, pratiquement simultanément.

Après avoir récupéré, nous nous rhabillons et quittons Marc, non sans que celui-ci nous laisse son numéro de portable, et reprenons la route.

***

— « Eh ! Lève-toi ! Je te rappelle que nous partons passer le week-end à la mer ! »

J’ouvre les yeux, je suis dans mon lit et Cynthia me secoue…

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