Notre première « fantaisie » (1) – Une balade et une surprise de taille

Bonjour, je m’appelle Fred et ma femme Jakie. Nous sommes mariés depuis huit ans, j’ai 45 ans et elle 48. Nous sommes heureux, et depuis que les enfants sont autonomes, nous nous sommes retrouvés. Nous avons renoué avec les petites attentions, les soirées restau en amoureux, les câlins imprévus un peu partout dans la maison. Nous passons parfois des week-ends entiers sans mettre le nez dehors, à se câliner et faire l’amour comme deux jeunes mariés. Rien ne manque à notre bonheur, et je dois dire que sexuellement, je constate avec plaisir que nous avons tous les deux retrouvé une seconde jeunesse.

Cette histoire, la première « fantaisie » qui soit arrivée sexuellement dans notre couple, s’est produite il y a huit mois. Nous étions partis en ballade dans les collines par une belle et chaude après-midi. Le but était un petit sommet qui dominait la vallée et d’où nous aurions une vue magnifique. Sans trop connaître l’itinéraire, nous avons garé la voiture, pris nos sacs et nous voilà partis. Le sentier était magnifique, tantôt il longeait les bois, s’élevant doucement vers les hauteurs, tantôt il serpentait le long des parcelles de vignes et sous le soleil d’août, les oliviers offraient une pause ensoleillée fort bien venue. Au détour d’un petit pré, un chemin plus grand et à quelques pas, une vielle bergerie en pierres. Elle était entourée d’un parc où étaient enfermée une dizaine de moutons, et juste devant, une caravane avec une tente attenante de laquelle sortit en jappant un petit chien de berger blanc et noir. Il était si mignon que ses aboiements n’effrayaient sans doute que les moutons. Alerté par le bruit, le berger, un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, sortit la tête de la tente pour appeler « Fiz », son chien.
Avec un large sourire nous indiquant qu’il ne fallait pas nous inquiéter pour son molosse, il nous salua. Le chemin passant juste devant la caravane, je lui demandai s’il était possible de continuer et toujours avec ce beau sourire, qui s’adressait, me semble-t-il, un peu plus à Jakie, il nous dit que oui et nous reprîmes notre chemin.

— Il risque pas d’être dérangé. Par contre, s’il oublie le pain, c’est la galère !

Pour toute réponse, Jakie me fit juste remarquer qu’il était charmant.
Malgré l’ombre des arbres, la pente constante nous faisait souffrir. Les pauses étaient de plus en plus fréquentes et il semblait que jamais nous n’atteindrions le sommet par ce chemin-là. Au bout d’une heure, je dis à Jakie :

— Pause, ça sert à rien de s’entêter, on se repose et on fait demi-tour.

A quelques pas de là, en surplomb du chemin, de grandes pierres plates nous tendaient les bras. Le sac par terre, le tee-shirt envolé, je m’allongeai comme un lézard, Jakie fit de même, mais garda son tee-shirt. Nous avons du sommeiller comme ça une bonne demi-heure et rouvrant les yeux, je vis Jakie assise qui contemplait le paysage. Doucement, je me mis à lui caresser le dos. Sa peau était chaude. Délicatement, je la fis se rallonger et me tournant sur le côté, je pris sa bouche avec passion. Elle me rendit mon baiser avec autant de fougue. Elle n’était pas spécialement pudique et souvent elle se promenait nue à la maison, mais jamais dehors. Ma main glissa de nouveau sur le tee-shirt, mais cette fois, elle ne s’arrêta qu’une fois sur sa poitrine. Je lui emprisonnai un sein et je pus sentir sa pointe durcie au travers de l’étoffe. Enhardi par cette constatation, ma main prit le chemin inverse pour descendre vers son ventre. Elle passait la main dans mes cheveux et appuyait ma tête contre la sienne pour écraser ses lèvres contres les miennes. Arrivé à la ceinture de son jogging, d’une légère pression, mes doigts s’insinuèrent sous l’élastique. Continuant à descendre, j’avais maintenant la paume sur son pubis, tandis que deux de mes doigts se plaquaient sur son sexe. Pour me laisser le passage, elle avait doucement écarté ses cuisses lorsque ma main avait dépassé l’élastique de sa culotte.

Je lui massai doucement le pubis tandis que mes doigts décrivaient des petits cercles sur son sexe. Je sentis son petit bouton rouler sous la peau et elle commença à onduler doucement son bassin. Son souffle était plus court et parfois, elle me mordait les lèvres. Nos langues se mêlaient, elle agrippait de plus en plus fort mes cheveux. Elle commença à gémir lentement au rythme de mes caresses. Je sentis ses cuisses s’ouvrir encore et tandis que j’enfonçai ma langue dans sa bouche, l’un de mes doigt força le tissu léger à s’insinuer entres les lèvres plus qu’humides de son sexe. Elle me laissa faire un instant, puis me repoussa doucement.

— Non, pas ici, on pourrait nous voir.
— Personne ne passe par là, et même, depuis le chemin, on ne nous voit pas.

Elle s’était redressée, je m’étais levé, déçu, mais amoureux je ne pouvais lui en vouloir. Elle s’approcha, me prit dans ses bras et me roula une pelle gourmande. Elle posa sa main sur la bosse de mon pantalon.

— Allez, viens, on rentre vite !

J’allais être gâté en rentrant à la maison.

— On boit un coup et on y va !

Ce fut vite fait, les bouteilles étaient vides, trop de pauses à l’aller, il allait falloir rentrer le gosier sec. Le chemin du retour était long, la chaleur toujours aussi forte et sans eau, même la perspective de la séance qui m’attendait s’estompait pour faire place à la fatigue et à la soif. Une heure plus tard, nous revoilà non loin de la caravane. De nouveau « Fiz » fait son boulot et de nouveau le berger sort la tête pour voir ce qui se passe. Nous devions avoir l’air réellement épuisés, car il nous invita aussitôt à nous asseoir et une carafe d’eau apparut sur la table. Puis une deuxième, la première ayant à peine estompé notre soif. À la fin de la deuxième, ça allait mieux et notre hôte sembla ravi de nous voir reprendre notre souffle.

— Vous n’aviez pas d’eau, c’est que ça cogne à cette heure, vous devriez rester un moment, il reste un sacré bout à faire jusqu’à la route. Je vais remplir vos bouteilles.

Une fois qu’il fut sorti, je me retournai vers Jakie.

— Charmant et très gentil, sans lui on arrivait déshydratés à la maison. On va pas trop tarder, je te signale que j’ai hâte de rentrer !

Je lui montrai mon bas-ventre, malgré la chaleur et la fatigue, une solide érection m’était revenue, rien que d’évoquer notre retour et ce qui m’attendait.

— Voilà, comme le tuyau descend de la colline sous la terre, elle est fraîche, et pas traitée. Vous n’avez pas faim, je fais du fromage, si vous voulez goûter ?

Je n’avais pas spécialement envie de rester, je ne pensais qu’à la maison. Jakie allait me sucer, j’allais la prendre sur la table du salon comme j’adore le faire et lui, il nous proposait du fromage.

— C’est gentil, j’adore le fromage frais, vraiment merci je veux bien y goûter.

Là j’étais un peu fâché, je voulais la sauter et elle ne semblait plus faire cas de sa promesse. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, j’accueillis comme il se doit le pain et le fromage. Et c’est vrai qu’il était délicieux. Il nous fit goûter plusieurs qualités -plus ou moins vieux- et tous étaient très bons. Tout en dégustant, il nous parla de son troupeau, en fait il avait un grand troupeau, mais là il était avec quelques moutons pour débroussailler une parcelle de bois. Il en avait pour un mois et c’était pour le plaisir qu’il passait ses nuits dans la caravane et non dans sa maison située à trois kilomètres de là. Il parlait de son métier avec passion et nous racontait des petits secrets de berger. Comment il voyait si ses bêtes étaient en forme on non, comment il dressait ses chiens. Bref, il était attachant, intéressant, plein de bons sens. Il était visiblement heureux et son calme était communicatif. Plus d’une heure s’était écoulée, lorsque revint l’idée de rentrer. Nous nous serrâmes les mains chaleureusement et au moment de se quitter je ne sais pas pourquoi je lui dis :

— Vraiment, c’est exceptionnel de rencontrer quelqu’un d’aussi gentil, simple et chaleureux, je ne sais pas comment vous remercier ?

Toujours avec ce visage plein de douceur, il prononça alors des paroles qui me scotchèrent littéralement sur place.

— Je sais moi, ce que vous pourriez faire, ce que je vais dire va peut-être vous surprendre, mais si je ne vous le dis pas, je risque de le regretter longtemps et si je vous choque, vous partirez de toute façon.

C’était bien là dans son caractère, la franchise. Mais malgré le mystère de ses paroles, Jakie l’encouragea.

— Si, dites-nous vraiment si on peut faire quelque chose, ce sera avec grand plaisir.

Il nous regarda chacun notre tour, puis commença.

— Eh bien voilà, on a passé un bon moment et moi ici, je vois jamais personne. Il ne passe que très rarement des gens et surtout pas des sympas comme vous. C’est rien de dire que des filles c’est encore plus rare et moi…

Il fixait maintenant Jakie, toujours avec le même calme et d’un ton léger il poursuivit.

— Alors à cause de tout ça, ben je suis obligé de me débrouiller seul …

Il tourna la tête vers moi.

— Et c’est pas pareil, même si c’est bon, ça reste un peu frustrant, vous êtes d’accord ?

Sans réfléchir, inconsciemment, impatient d’entendre la suite, je fis oui d’un mouvement de tête.

— Alors pour une fois que je rencontre des gens simples, sans chichis, avec qui on peut parler, j’aimerais une faveur. Si Jakie pouvait me faire une pipe avant qu’on se quitte pour toujours, je crois que je serais le plus heureux des hommes.

Comme si j’avais reçu un électrochoc, ses mots m’avaient sonné. Crus et directs, sa logique était simple et ma foi, au lieu d’être choqué par ce manque de respect envers ma femme, j’étais troublé, figé. Jakie le regardait elle aussi, incrédule, mais visiblement troublée. Elle non plus ne semblait pas en colère. Elle se tourna vers moi.

— Et toi tu dis rien ?
— Ma chérie, je n’en sais rien, je devrais bien sûr être en colère, mais toi aussi, non. Je suis un peu surpris et au lieu de me choquer, je dois avouer que la situation me trouble étrangement.

En fait je commençais à être excité par ce silence qui pesait sur nous.

— Je crois que si je me fâche, j’aurais tort. Et si je dis rien, aussi ! C’est à toi que s’adressait la question, je te laisse répondre.
— Mais qu’est ce que tu dirais, si…

Là, vraiment, je commençais à bander sérieusement, je sentais que nous allions vivre quelque chose d’important, bon ou mauvais, il était trop tôt pour le dire.

— Je te l’ai dit, je suis partagé et comme toujours dans ces cas là, je te laisse décider. Mais d’avance je suis d’accord avec toi, je sens qu’il faut que ce soit toi qui décides.

Il nous regardait toujours avec le même sourire. Sentant que la balance penchait de son côté, il força un peu les choses. Il regarda Jakie dans les yeux.

— Je serais pas fâché, si tu dis non.

Il y avait dans ses yeux une telle candeur qu’elle ne réfléchit plus longtemps et ses paroles resteront gravées à jamais dans ma mémoire.

— Je crois en fait…. que j’en ai très envie, entrons à l’intérieur.

Elle le précéda et il entrèrent dans la caravane. Toujours figé, par la situation, par la réponse de Jakie et par l’incroyable excitation qu’elle générait, je restai immobile à l’extérieur, le sexe gonflé à exploser et l’esprit en fusion. Ma femme, Jakie, était entrée avec cet homme qui voulait qu’elle le suce et j’avais donné mon accord, je bandais comme un turc et je ne pouvais pas bouger. Des images folles et toutes plus excitantes les unes que les autres défilaient dans mon esprit. Je la voyais des scènes de films X et Jakie était à la place de l’héroïne, parfois au milieu d’une forêt de sexes tendus qu’elle satisfaisait tour à tour. J’étais comme en transe. Au bout de longues minutes, j’émergeai de mon « coma » et décidai d’entrer et de profiter moi aussi de la situation. La vision que j’eus faillit me faire jouir sur place. Jérémy, puisque c’était son prénom, me tournait le dos, le pantalon sur les chevilles et le caleçon tendu au milieu des cuisses. Je ne voyais pas Jakie, assise sur le lit devant lui, mais je voyais ses deux mains solidement agrippées sur les fesses de Jérémy et qui guidaient son bassin d’avant en arrière, il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle était en train de faire.

J’étais maintenant debout à côté de lui, ses mains étaient sur les épaules de Jakie qui, les yeux fermés, une expression d’intense satisfaction sur le visage, continuait à guider ce membre charnu entre ses lèvres. Son sexe était d’une taille comparable au mien, un peu plus long mais moins épais, peut-être. Déjà, à ce moment, je pris conscience que je le détaillais avec une curiosité mêlée de plaisir. C’était la première fois que je voyais d’aussi près un sexe d’homme en action, qui plus est dans la bouche de ma femme et je ne me lassais pas de le voir glisser, entrer, sortir, luisant de salive et une fois de plus, je me sentis troublé. Jakie me tira de mes songes en posant une main sur la bosse de mon pantalon.

— Toi aussi, tu veux en profiter ? Allez approche-toi !

Dans la même tenue, nous étions tous les deux face à elle, profitant chacun notre tour de ses caresses buccales. Tandis qu’elle suçait l’un, elle branlait doucement l’autre. On aurait dit une actrice professionnelle. Parfois, elle réunissait nos glands pour les avaler tous les deux. Le contact du sexe de Jeremy sur le mien m’électrisait. Je sentis encore une fois se préciser un autre moment important. Elle avait les cuisses largement écartées et maintenant, l’une de ses mains avait disparu sous le jogging : elle se branlait elle aussi. Je m’assis à côté d’elle et ma main remplaça la sienne. Elle était trempée et ne fit qu’écarter encore plus les jambes quand un de mes doigts, ayant trouvé un chemin sous l’élastique de sa culotte, s’introduisit sans efforts dans son sexe, lui arrachant un petit cri que je connaissais bien. Elle s’arrêta un instant de le sucer et m’agrippa par le cou pour m’embrasser. Gluant de salive, son baiser était plein de profondeur et de fougue. Je crus discerner un léger goût salé, comme celui qu’elle avait quand elle m’embrassait, fière de m’avoir fait jouir en me suçant ; mais ce goût-là n’était pas le mien. Je crois que c’est ce qui déclencha la suite. Elle reprit sa fellation, j’étais à peine à trente centimètres de la scène et je distinguai l’odeur du mâle. Avec le même aplomb qu’il avait eu avec nous, je lui demandai :

— Ça t’embête, si je l’aide ?

Il eut une fois de plus un large sourire.

— Du moment que je ne suis pas obligé de faire pareil.

Et il se tourna légèrement vers moi, m’offrant sa verge tendue qui se balançait devant mon visage.

— Régale-toi, montre comment tu suces.

Avec une étonnante assurance, je pris son sexe, et tout en commençant un lent va-et-vient, j’approchai mon visage de sa queue. J’étais comme enivré par son odeur. Doucement, je posai ma bouche sur son gland. Je le savais, c’était doux, lisse, tendu et souple à la fois. J’approchai ma bouche et son sexe tout entier entra en moi. Je savourai chaque millimètre de chair que je sentais glisser entre mes lèvres. Peu à peu, je la sentis se raidir, puis il se retira complètement, et prit lui-même son sexe pour le réenfourner. La cadence s’accéléra et Jakie y mit un terme, réclamant sa part de la pipe. Je bavais de plaisir, ma salive était salée, à moi aussi. Jakie me redonna l’engin. Cette fois, je pris les choses en main et d’entrée, j’imprimai une cadence vive. Ses mains virent tout de suite se poser sur ma tête et à chaque poussée, je sentis qu’il essayait d’aller plus loin. Son gland buttait au fond de ma gorge et je manquai de vomir plusieurs fois. Il inclina ma tête et maintenant son sexe passait au travers de mes dents et déformait ma joue chaque fois qu’il s’enfonçait. Puis je senti la hampe de chair durcir encore un peu plus, je compris tout de suite et présentai la queue à Jakie qui, comprenant aussi, se jeta sur elle juste à temps pour recevoir les premières giclées. Durant de longs spasmes, il resta planté dans sa bouche avant de ressortir à peine moins raide, mais satisfait. Il alla se servir un grand verre d’eau.

— Vous avouerez que j’aurais eu tort de ne pas demander.

Sans répondre, je pris la tête de Jakie et après l’avoir embrassée, je l’obligeai à se courber vers mon ventre. Appuyant sur sa nuque d’une main et lui présentant ma queue de l’autre, elle me prodigua une fellation violente. Sa tête s’agitait et mon sexe tel un piston allait et venait en cadence dans sa bouche. Parfois elle s’arrêtait et faisait mine de me mordre et je sentis réellement ses dents. Il ne fallut pas longtemps pour que j’explose, sans pouvoir réprimer une sorte de cri de bête. L’orgasme était si fort que j’eus la sensation d’avoir mal en même temps que j’étais emporté par une vague de plaisir immense. Elle avala goulûment, sauf une gorgée qu’elle garda pour moi et qu’elle m’offrit dans un baiser passionné qui nous laissa tout essoufflés.

Jakie fut la première à se rhabiller, d’un bond elle était debout et saluant notre nouvel ami d’un joyeux au revoir, elle sortit de la caravane. Tout en enfilant mon tee-shirt je demandai à Jeremy de me servir un verre d’eau.

— T’en as de la chance, ta femme est un vrai volcan. J’aurais pas été déçu que vous restiez un peu plus, je l’aurais bien sautée moi, je suis encore en forme.

C’était vrai, sa queue était de nouveau à l’horizontale. Tout en buvant, je pris son sexe dans ma main et tout en faisant glisser doucement dans ma paume, je lui dis à l’oreille :

— Oui, mais elle est à moi.

Posant le verre, je pris sa main pour la poser sur la bosse qui se reformait sous mon jogging.

— Moi aussi, je suis encore en forme et crois-moi, je vais en profiter dès que nous serons rentrés. Toi, il te reste la branlette et le souvenir de ce cadeau qu’elle t’a fait.

Avant de sortir, je me mis un instant à ses genoux pour prendre une dernière fois en bouche ce membre qui m’avait tant troublé. Juste comme une friandise. Il ne fit aucun geste. Une minute après, je franchissais moi aussi la porte de la caravane. Il me tapa sur l’épaule.

— Mon numéro, si un jour vous voulez du fromage. Je vous ferais un prix !

Toujours aussi sûr de lui. Il fourra le papier dans ma poche, je ne pouvais pas savoir que quelques temps plus tard, je connaîtrais son numéro presque par cœur…

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