Livie in Live (5) – La petite crique

Voici 5 jours que nous sommes arrivés à Ibiza, avec un programme très simple et très circonstancié : sea, sex and sun ! Pour changer un peu des allers et retour entre la chambre et la plage avec éventuellement un détour par le restaurant, nous avons loué une petite voiture pas chère et nous sommes partis vers la côte plus rocheuse. On nous avait parlé d’une localité sans plage mais d’une côte sauvage à explorer sur les rochers et aussi sous l’eau. Comme Livie nage très bien et que moi, je ne me débrouille pas trop mal, nous avons décidé d’aller faire un peu de plongée avec des simples masques, sans bouteille.

Pour une fois, c’est moi qui conduis. Les fenêtres sont grandes ouvertes, pas de climatisation dans ce modèle bas de gamme. Livie a reculé son siège à fond et a posé ses pieds sur le tableau de bord, dévoilant ses cuisses sous le paréo, jusqu’à la limite du maillot qu’elle porte en dessous. Un rapide coup d’œil sur la bande de tissu m’a indiqué clairement qu’il s’agit du string du fameux maillot de bain rouge qu’elle s’est acheté en arrivant et qui nous a valu une belle séance de décollage au septième ciel, enfin, surtout pour moi ! Elle sommeille légèrement, les bras derrière la tête, la ceinture de sécurité lui barrant bien la poitrine, faisant jaillir ses petits seins pointus bien en avant sous son t-shirt, nombril à l’air.

Comment voulez-vous vous concentrer dans de pareilles conditions ? Néanmoins, comme la route est sinueuse et presque montagnarde, mis à part quelques caresses sur son genou et plus haut, je me consacre d’avantage à la conduite. Nous dépassons à présent la petite église qu’on nous avait indiquée. Livie se réveille complètement, fini le spectacle de ses jambes ! Elle sort son petit schéma et nous nous enfonçons par la suite dans une série de petits chemins caillouteux. À certains moments, je doute que nous soyons sur la bonne route, tant le chemin est défoncé mais comme toutes les indications concordent, je continue. Après plus de dix minutes de bosses et de trous divers, nous arrivons enfin face à la mer. L’endroit est désertique, faut vraiment connaître pour oser s’aventurer par ici.

Peu de temps après, nous sommes sur un gros rocher (çà me rappelle quelque chose, lorsque nous sommes arrivés) et nous déposons nos affaires et étalons nos serviettes de bain. Nous sommes dans une petite crique rocheuse presque refermée, pas un grain de sable à l’horizon. Cette crique doit bien faire cinquante à soixante-dix mètres de diamètre. Des murailles de rochers foncés nous entourent et un petit passage de dix mètres au plus donne sur la mer.

— Alors, tu regrettes ? Me demande-t-elle.
— Non, pas du tout, on se croirait au bout du monde, personne !
— Pourtant tu as drôlement râlé sur le chemin pour arriver jusqu’ici ! Dit-elle malignement.
— Attends ! T’as vu l’état de la route ?
— Mouix ! C’est bien pour çà que je t’ai laissé le volant, mon Laurent chéri !

Et elle me colle un rapide bisou sur la joue, à l’orée des lèvres. Que répondre à çà ?

Elle se campe face à la petite calanque, me tournant le dos. Elle ôte son t-shirt, dévoilant les deux ficelles qui maintiennent son haut de son deux-pièces par le cou et dans le dos. Quand elle fait choir son paréo, mon maillot devient d’un seul coup trop petit pour loger l’érection subite que j’ai en découvrant son string qui ne cache rien, mais alors rien du tout, de son vaste popotin sur lequel j’adore me vautrer dans le stupre et la débauche. La fine ficelle rouge qui lui rentre entre ses deux fesses rebondies exacerberait plutôt mes pulsions animales qu’autre chose !
Mais si je commence dès maintenant à lui sauter dessus, je n’irai jamais faire trempette ! Mais, mon amour, tu ne perds rien pour attendre ! Elle se retourne vers moi, constate que j’ai une bosse flagrante dans le slip et pouffe de rire :

— T’es vraiment un obsédé, toi !
— Ah oui ? Et c’est qui se ballade plus nue que nue avec ce maillot miniature, son beau cul sous mes yeux ?
— T’as qu’à pas regarder !
— Facile à dire !
— Bon, je reconnais que çà m’émoustille de te faire bander pour un oui ou pour un non !

Première nouvelle avouée ! Nous avons bien fait de venir à Ibiza pour fêter le résultat de son concours ! C’est vrai que depuis quelque temps, depuis, si j’y réfléchis bien, l’arrêt pipi d’il y a un peu plus d’un mois, côté sexuel, ma Livie a évolué dans le bon sens, dans le sens qui m’intéresse le plus. À peine ai-je pu mater ses seins par-dessous les deux miniatures triangles rouges qui recouvrent à peine ses auréoles, qu’elle ajuste son masque et saute directement du rocher dans un plongeon parfait avec une gerbe d’eau salée, deux mètres plus bas. Je m’approche du bord, j’espère pour elle qu’elle a bien évalué la profondeur. Pas de soucis, je ne distingue même pas le fond alors que l’eau est particulièrement translucide. Après quelques brasses sous l’eau, elle émerge et me lance :

— Alors, t’arrive ? Vas-y, elle est bonne et l’eau est claire !

J’arrive, sautant à pieds joints dans la mer. Contrairement à Livie, je n’ai pas passé ma jeunesse au bord de l’eau à Malte, donc j’évite les plongeons acrobatiques. De plus, la dernière fois, j’en ai perdu mon slip. C’est toujours marrant quand çà arrive aux autres mais moins drôle quand c’est vous.

Mis à part le premier contact qui est assez glacial, l’eau étant peut-être à vingt degrés, l’air dépassant les trente, je dois reconnaître qu’elle est bonne. J’ajuste mon masque, fais quelques exercices respiratoires et hop, sous l’eau. Le fond est au moins à quatre mètres, je m’en approche et découvre une végétation luxuriante ainsi qu’une multitude de petits poissons bariolés. Le coin n’est pas mal du tout.

Je remonte, satisfait de ma petite visite des fonds. Visiblement, elle m’attend :

— Alors ?
— Pas mal du tout ! Lui dis-je.
— On se fait un petit tour de la crique, jusqu’au défilé qui donne sur la mer ?
— Ok, je te suis.

Et elle plonge. Je suis à présent deux mètres derrière elle et j’ai la queue qui se retend à mort. Je n’aurais jamais dû la suivre : j’ai une vue imprenable sur tous ses appâts, un panoramique impeccable sur son beau cul aux fesses rebondies, sur son sexe bombé que dissimule mal cette miniature bande de tissu censé être un string et quand je suis légèrement sous elle, je vois des petits seins pointus pendre vers le bas, leurs bases parfaitement visibles et dessus, tendus comme une toile de tente, deux petits triangles et leurs ficelles de maintien.
Je remonte à la surface, à la fois pour respirer et ôter de ma vue ce spectacle lascif. Rien à faire, sous l’eau, je ne peux détacher mon regard de son corps voluptueux. Du coup, je ne vois pas pourquoi je me priverais de la mater sous toutes les coutures, avec une prédilection pour ses fesses dodues qui s’agitent au gré de ses battements de jambes. Je suis fasciné par cette ficelle rouge qui plonge dans son sillon entre ses hémisphères potelés.

Elle arrive la première à l’embouchure de la crique et s’accroche à un rocher qui affleure l’eau. Puis elle se hisse dessus pour s’asseoir et regarde la mer qui étale au lointain, une petite brume flottant à l’horizon. Je me suis aventuré un peu plus qu’elle dans la mer et je constate que nous sommes les seuls à bénéficier du spectacle que la nature nous donne. En me retournant vers elle, je suis le seul à bénéficier pleinement du spectacle qu’elle m’offre. Je repousse mon masque sur le front pour mieux apprécier le tableau sexy qu’elle me propose à son insu.

Ses cheveux naturellement bouclés, sont plaqués sur son visage dégoulinant, ses yeux d’un noir profond vaquent au lointain, perdus sur l’horizon brumeux, sa bouche entrouverte luit de l’eau salée qui goutte de son visage poupin. Les deux triangles de son bikini rouge sont devenus très translucides et me dévoilent des auréoles granuleuses à la pointe dressée par le pincement du froid relatif de l’eau. J’ai l’illusion que ses tétons sont d’un rouge vif orient, ce qui attise encore plus mon désir. Remettant mon masque, je plonge, histoire de me trouver une contenance en allant visiter le fond.

A peine suis-je arrivé qu’elle plonge me rejoindre. Je la vois distinctement, buste en avant, cul par-dessus tête, venir vers moi. Et moi qui pensais décompresser… c’est raté !
J’ai presque ses seins sous mon nez et encore heureux pour elle que je suis sous l’eau sinon j’irai voracement les mordiller.

Innocente, ignorant l’effet qu’elle me fait, elle continue son exploration des fonds, me mettant maintenant sous le nez, son magnifique cul dénudé (si ce n’est la ficelle rouge du string). Comme il m’est impossible de le baiser ou de lui mette une tapette, je me contente d’une simple caresse, la plus soyeuse possible sur ses rondeurs. Elle ne me rabroue pas mais s’éloigne en quelques battements de jambe. Avant de remonter, elle me fait face, un fin sourire aux lèvres. Comme elle me fixe amusée et posément un endroit plus bas de mon anatomie, je baisse la tête pour découvrir que mon sexe est joyeusement sorti de mon maillot. Lorsque je m’aperçois de mon état, elle en profite pour remonter à la surface. Du coup, sans témoin, je me déleste de mon slip que je mets autour de mon poignet et je remonte à mon tour. Chemin faisant, je découvre que Livie est debout sur une roche immergée, son cou dépassant de l’eau. Je décide de faire comme elle et je pose les pieds sur la plateforme. La tête sortie de l’eau, je remonte le masque sur mon front, tout en m’essuyant les yeux. Elle a ôté son masque qui sèche sur un petit rocher à côté d’elle, comme sur une table. Je fais de même.

Elle s’adresse à moi, moqueuse :

— Alors, monsieur bande sous l’eau ?
— La faute à qui ?

Et je l’attire vers moi, me plaquant à elle afin de sentir sur ma peau mouillée toutes les rondeurs de son corps. Elle hausse un sourcil, elle vient de s’apercevoir que je suis entièrement nu. Du coup, je balance mon slip qui atterrit juste à côté des masques.

— Oh oh, tu me fais quoi, la ?
— Je te rends la monnaie de ta pièce !
— Comment çà ?
— Tu m’excites à mort, c’est à mon tour de t’exciter à mort !
— Ah bon ? Et tu comptes t’y prendre comment, monsieur le présomptueux ?
— En commençant par ceci !

Et je l’embrasse du bout des lèvres pour cueillir toutes les gouttes d’eau salée qui scintillent sur ses lèvres et comme je suis déjà attisé à fond, je me vautre lascivement sur son ventre, imprégnant bien ses chairs de la dureté de mon sexe turgescent. Comme le traitement ne lui déplait pas de trop, elle m’attire à elle, un bras autour de mon cou et l’autre dans mon dos. Pour ne pas être en reste, je lui enlace la taille d’un bras tandis que mon autre main échoue sur sa fesse ronde que je pelote avidement. J’ai la bonne surprise quelques instants après de sentir ses doigts sur mes fesses qu’elle capture posément.

Après quelques étreintes et autres cajoleries, elle se détache de mes lèvres et me demande :

— Et tu comptes faire çà dans l’eau ?
— Pourquoi pas, on a jamais essayé !
— Fais gaffe, c’est pas si facile que çà en a l’air ! Répond-t-elle, narquoise.
— Aurais-tu une longue expérience de la chose ?
— Et bien, quand je…

Elle s’arrête, un peu gênée. Depuis deux ans que je la fréquente, je n’ai quasiment jamais rien sur de mes prédécesseurs. Elle n’en parle jamais et refuse que j’aborde le sujet. Ce n’est pas que je sois jaloux mais bon, ne rien savoir est pire quelque part. Tout ce que j’ai pu comprendre, c’est que l’été juste avant notre rencontre, elle était retournée là-bas à Malte et qu’elle avait vécu quelque chose d’intense. Sans plus. Et encore, pas de sa bouche mais celle de sa bonne copine, Ava qui m’a toujours appuyé et conseillé pour que je séduise Livie. Sans elle, nous ne serions pas ensemble et je l’en remercie encore et toujours. Une phrase reste gravée dans ma mémoire en lettres de feu : « Tu sais, d’être aimée comme tu l’aimes, Livie l’a bien mérité ! ». Ava me l’avait glissée quand elle évoquait l’été précédent à Malte. Elle avait alors rougi puis changé précipitamment de sujet quand Livie était revenue dans la pièce. Depuis, impossible d’en savoir plus.

— Et bien, garde tes secrets ! Lui dis-je en souriant, bien qu’au fond de moi, j’aimerais bien qu’elle m’en touche un mot.
— Merci…
— Merci ? Merci de quoi ?
— De ne rien me demander… Même si tu en meurs d’envie…
— N’y pense plus et… Laisse-moi m’occuper de toi !

Nous nous embrassons à nouveau. Mais cette fois, nous passons à la vitesse supérieure, nos mains épousent nos corps, cherchent leurs volumes, palpent leurs masses. D’un doigt leste, je réussis à dégager l’accès vers sa grotte en repoussant sur le côté la faible bande du string. Sans préambule, je pointe ma queue à l’entrée de sa fente et tente de m’introduire en elle ainsi. Je constate avec une certaine surprise que tout ne se passe pas comme je le souhaitais. Je crois comprendre le problème qu’elle évoquait tout à l’heure…

Je lui agrippe posément les fesses de mes mains avides et considérablement aidé par l’eau, je la soulève pour mieux la positionner sur mon pieu dur comme du béton. S’ouvrant en grand, elle m’enlace le haut des fesses de ses jambes. Son empalement sur mon membre est une sensation étrange que je n’ai jamais connue, une succion insolite enveloppe ma tige qui a du mal à s’enfoncer dans sa vulve pourtant accueillante. On dirait que je perce du sable, ma queue peine mais tient bon. Ce n’est pas précisément douloureux, c’est bizarre. Par contre, l’effet doit être efficace sur Livie, car elle ferme les yeux et gémit doucement. Enfin, j’arrive au fond de son sexe, ses lèvres rasées enserrant la base de ma tige. Elle pivote sur le pieu qui la perfore, contrôlant elle-même sa soumission, sa lente montée vers la jouissance. Les mouvements qu’elle imprime à son bassin, son sexe qui frotte, lisse, contre le mien et ma tige massée de l’intérieur augmente terriblement mon désir pour elle et l’épisode mitigé de mon introduction en elle sous l’eau est vite reléguée au second plan. Elle gémit toujours ses bras rivés à mon cou puis elle se tend en arrière, ses petits seins dardant vers mon visage, révulsée, s’empalant plus profondément sur ma queue. L’effet est foudroyant sur elle mais aussi sur moi. Elle pousse des tas de petits cris rauques tandis que ma bite semble s’arracher de mon corps, happée par sa vulve exigeante. Mes balles sont gonflées à bloc, ma tige, pour résister au déracinement, devient un mandrin d’acier. Mes mains, plaquées sur ses fesses dodues, la soutiennent tant bien que mal, tant elle s’agite, se débat, enfichée sur ma queue. Elle jouit dans un long râle de plaisir, un cri bestial, primal. Ce qui me fait partir à mon tour dans une longue gerbe chaude qui lui tapisse le fond du ventre.

Epuisée par son effort, elle se plaque à moi, se serre fort contre moi pendant que je continue d’éjaculer par petites saccades en elle. Elle me mord férocement l’épaule, me broie les reins de ses jambes tout en me griffant le dos. C’est l’orgasme le plus violent qu’elle ait eu depuis longtemps, enfin, violent sur moi, à me mordre et me griffer. Livie se libère à fond, s’émancipe de certaines barrières, j’en suis heureux pour elle et aussi pour moi. C’est alors qu’elle a un mot malheureux, plutôt un prénom malheureux :

— Dino ! Murmure-t-elle tout bas, sa tête nichée dans mon cou.

Le petit problème est que je m’appelle Laurent. Et que ce Dino, je n’en ai jamais entendu parler. Je sens une poussée d’adrénaline monter en moi, ainsi qu’un sentiment diffus qui doit être de la jalousie mais version féroce. Je suis encore trop sous l’effet de ma jouissance pour monter au créneau, ma queue continuant ses faibles saccades dans la chatte conquise. Mais ce n’est qu’une question de secondes…

Alors que je m’apprête à ouvrir la bouche pour dire quelque chose que je risque de regretter la seconde d’après, c’est elle qui prend la parole :

— Pardon, Laurent…
— …
— Tu m’en veux ? Dit-elle, embarrassée.
— Tu m’excuseras mais se faire appeler par un autre nom… c’est… vexant !

Je fais un certain effort pour ne pas laisser cours à une vague de ressentiment et de jalousie. J’hésite entre la laisser sur place, lui coller une baffe ou lui exprimer ma rancœur. Je sais très bien qu’elle ne l’a pas fait exprès, qu’elle devait revivre quelque chose qui s’est passé, il y a deux ans à Malte mais je n’y peux rien, je suis frustré et jaloux un maximum !

— J’aurais dû t’en parler plus tôt… Reprend-t-elle.
— Peut-être… (je reste calme mais c’est dur)
— Je… Il… C’était, il y a deux ans à Malte… Nous étions… Enfin, nous avions… enfin tu comprends ?
— J’avais compris mais je ne sais pas si c’est tout à fait le moment ! Dois-je comprendre que tu viens de revivre la même chose ?
— Oui…

Je souffle un bon coup et je réalise qu’elle est toujours empalée sur mon sexe qui se ramollit à vitesse grand V. Je lui fais comprendre fermement que je désire qu’elle relâche son étreinte et qu’elle reprenne pied sur le rocher comme tout à l’heure. Crispée, elle s’agrippe, ne voulant pas me quitter.

— Attends, tu ne vas quand même pas me laisser tomber pour çà ?
— J’aimerais que tu me lâches, là, maintenant.
— Eh non, Laurent, tu ne vas pas…
— Mais non, andouille ! Il ne s’agit pas de çà !

Je m’emporte un peu, du coup, elle desserre ses jambes autour de mes reins, se tient à présent debout devant moi mais refuse d’enlever ses mains de mon cou. Elle me dévisage inquiète, ses grands yeux noirs plongés dans les miens. Je saisis ses mains dans les miennes et fermement mais en évitant de lui faire du mal, je l’oblige à me libérer le cou. Elle résiste un peu mais abandonne vite. Elle s’apprête à ouvrir la bouche quand je pose ma main sur ses lèvres :

— Bon maintenant, tu m’écoutes !
— Mais…
— J’ai dit, tu m’écoutes ! Je vais être clair avec toi : çà ne fait pas du tout plaisir de se faire traiter de Dino en pleine action ! Dino !? Mais quel prénom !! Dino ! A-t-on idée de s’appeler Dino ! Je déteste qu’on m’appelle Dino pendant que nous faisons l’amour ! Est-ce que je t’appelle Ava pendant que je jouis ?
— Tu veux dire que toi et Ava, vous avez couché ensemble ? Dit-elle, en écartant grand les yeux.
— Mais non, triple andouille ! J’ai jamais couché avec Ava, même pas l’ombre d’une idée !!

Là c’est un peu faux, Ava ne me déplaisait pas de trop. Tout au début que je me récupérais échec sur échec avec Livie, sa copine m’aurait dit oui que je crois que je n’aurais pas dit non. Mais ce n’est pas le sujet en cours.

— Ah et pourquoi, tu as cité son prénom ? Demande-t-elle, les sourcils froncés.
— Que… Quoi ?!

Ce n’est pas vrai, elle essaye de retourner la situation à son avantage ! Là, elle me met en rogne et je rétorque :

— C’était un exemple, c’est ta meilleure amie, non ?
— Oui mais çà ne me dit pas pourquoi tu as cité ton prénom !

Cà, c’est la meilleure ! Elle tente vraiment d’inverser les rôles.

— Tu aurais préféré Britney, Alizée, Laurie, Jennifer ?
— Ah parce que tu fantasmes sur ces filles ?

Mais c’est qu’elle y tient ! Je l’empoigne par les bras et là, j’y vais de bon cœur :

— T’as fini ton cirque ? Ecoute, il n’y a que toi qui compte, matin, midi et soir ! Et même la nuit !! Mais je te préviens, j’ai beau être fondu de toi, s’il faut te flanquer une baffe parce que tu pousse le bouchon un peu loin, t’inquiète pas que tu l’auras !
— Tu oserais me battre ?!
— Une baffe, j’ai dit ! Et arrête de chicaner !
— Tu oserais quand même frapper ! Dit-elle, obtus, ses yeux noirs lançant des éclairs.
— Là, tu commences à pousser la plaisanterie un peu loin !
— Et tu vas oser me foutre une baffe ?

Quand je disais qu’avec elle, je n’avais pas choisi la simplicité. Je fais un énorme effort sur moi-même, je tente de me calmer, çà doit se voir car elle recule un peu, levant les bras comme pour parer à une gifle.

— Pour l’instant, c’est plutôt une fessée que j’aurais envie de te coller pour m’avoir appelé Dino ! Je ne sais pas ce que tu as pu faire avec ce type et d’ailleurs je ne veux pas le savoir, pas maintenant ! On oublie le Dino mais tu essayes de ne plus me refaire le même coup ! Sinon, je te ferai voir ce qui se passe quand je suis jaloux !
— Tu es jaloux ?
— Oui, je suis jaloux ! Cà m’emmerde de le reconnaître mais je suis jaloux ! Je sais que je n’ai aucun droit sur ce que tu as pu faire avant qu’on sorte ensemble mais je suis jaloux de tous les types avec lesquels tu as pu coucher ! Et de ceux qui peuvent te plaire, qui te matent dans la rue et ailleurs !!
— Tu es jaloux ??
— T’es sourde ou quoi ? Jaloux, là !
— Tu es jaloux mais c’est merveilleux !

Alors là, j’en reste comme deux ronds de flan. Elle trouve merveilleux que je sois jaloux. Cà doit être son côté italien qui remonte ! Pourtant, elle a tout fait pour que je lui laisse sa liberté d’action, d’ailleurs, il ne me serait pas venu à l’idée de l’entraver. Comme je dois avoir l’air stupide, elle continue :

— Ben oui, c’est merveilleux, tu tiens donc tant à moi ?
— Ben… oui, depuis toujours ! Mais tu…
— Je sais, je sais : j’ai tout fait pour que nous ne soyons pas trop… enfin, que tu me laisses agir à ma guise mais tu es jaloux et tu me laissais faire ? Dit-elle joyeuse.
— Ben… oui ! Attends, c’était parce que tu le désirais et que c’était normal qu’il en soit ainsi… Je ne vois pas pourquoi je t’obligerais à faire tel truc et pas un autre !
— Et tu es jaloux des autres depuis le début ?
— Ben oui !
— Et tu m’as jamais rien dit ? Tu m’aimes comme çà ? Insiste-t-elle.
— Ben oui !
— Change de disque, mon Lolo !

Grand Dieu de cette logique féminine à laquelle je n’y comprends rien. Dans peu de temps, elle va me râler dessus de ne pas lui avoir appris plus tôt que je rêvais en réalité de foutre des baffes, par jalousie pure, à ses ex-amants ! Et aussi à tous ceux qui s’approcheraient trop d’elle.

— Je parie que t’aurais voulu foutre une tannée à mes ex ?
— On peut vraiment rien te cacher ! Je suis si transparent ?
— Pas vraiment mais je pensais que tu étais indifférent à ce genre de choses.
— Non mais je ne peux quand même pas te séquestrer. Là, j’exagère un peu. Quoique… avec le maillot de bain que tu as…
— T’as pas mal de nanas qui portent le même sur la plage.
— Peut-être mais toi, tu es ma nana ! Et pas question de te partager, même en vue !
— Je te découvre sous un jour plus…
— Plus quoi ?
— Plus macho !
— Eh oh, pousse pas quand même ! J’adore te sortir, faire découvrir au monde entier la chance que j’ai d’être avec toi mais çà ne veut pas dire que je veuille t’exhiber à moitié nue pour faire baver les autres crétins !

Elle s’approche de moi, câline :

— Ah bon, çà t’exciterait pas que j’aguiche les autres mais que tu gardes l’exclusivité ?
— Euh…
— Alors ? Réponds franchement !
— Bon, oui… C’est vrai que, une fois de temps en temps…
— Donc demain, je vais sur la plage comme çà ? Demande-t-elle coquine.
— Pfff ! T’es infernale, toi ! Et si je refusais ?
— Je ne crois pas. Tu penserais « non » mais tu me dirais « oui » quand même.
— T’es vraiment infernale ! Tu mériterais que je te flaque une fessée sur ton cul tout nu !
— Ah oui ? Essaye !

Cette fois-ci le ton est ludique, espiègle. Je la saisis par la taille, et d’une secousse, je la fais valser sur mon épaule. Elle éclate de rire, un rire léger. La nature ayant bien fait les choses, je sors de l’eau avec Livie sur mon épaule en escalant une sorte d’escalier naturel. Je fais néanmoins très attention car il ne s’agirait pas de se casser la figure dans ces rochers. Mon machin refait des siennes en se remettant au garde-à-vous. Elle continue de rire.
J’atteins un endroit propice à ce qui me trotte dans la tête. Dans un premier temps, je la dépose sur le sol pierreux puis je m’assois sur un rocher juste à la bonne taille pour servir de chaise. Elle constate dans un gloussement que ma queue est dans de bonnes dispositions. Je l’attrape par le bras et l’attire pour la coucher sur mes genoux, son magnifique cul à ma convoitise. Lui bloquant la taille alors qu’elle pouffe toujours, je lui donne une première tape sur ses fesses qui vibrent sous le choc. Elle pousse un petit cri mais ne cherche pas à se dégager. Alors, excité, je lui donne une autre fessée puis une suivante, tout en évitant de taper trop fort, ce qui n’est pas le but de l’opération.

— Hé, ne me fais pas trop de marques sinon j’aurais le cul tout rouge demain et je ne pourrai pas aller à la plage !
— Ah tiens, j’y avais pas pensé à celle-là, merci de me le dire !

Et paf, je lui donne une tapette plus forte que les précédentes.

— Aie ! Tu vas vraiment me faire des marques !
— Tant mieux ! Comme çà, tu pourras aguicher tous les mâles de la plage qui verront ma marque de fabrique sur tes fesses… Imagine un peu ce qu’ils pourraient penser de voir distinctement une belle main rouge sur tes fesses dodues !
— Mais t’es un salaud, un vicieux dans ton genre !
— Faut que je me comporte comme un macho, c’est toi qui l’as dit !

Je lui redonne quelques petits coups légers, histoire de faire voir que c’est moi qui suis du bon côté. Relâchant sa taille, je lui écarte les fesses afin de glisser mes doigts dans son sillon, repoussant la ficelle du string. Suivant ce vallon étroit, j’arrive bien vite à sa fente humide dans laquelle j’étais enfoui tout à l’heure. J’y découvre une vulve empoissée de sperme et de cyprine. Posément, je m’enfonce en elle, j’entends un petit cri et elle tend son cul encore plus en buse pour me faciliter l’accès. Durant ce temps, par-dessous ma jambe, elle s’empare de la queue qui suite déjà sur son ventre et commence à me branler doucement.
Capturant un maximum de mélange entre mes doigts, je le dépose dans son sillon autour de sa rosette et je m’essuie posément sur ses fesses que je soufflette légèrement ensuite. Quand son cul est bien luisant, bien enduit de nos mélanges, je décide de passer à la suite de la punition. Mon index s’introduit dans sa fente tandis que mon pouce épouse la cuvette de son anus. Je l’entends qui pousse un grand soupir frémissant. Elle active sa branlette autour de ma tige, mon gland enfoncé dans la chair tendre de mon ventre.
Après un léger forçage, mon pouce est engloutit dans ses chairs tendres. Elle soupire d’aise, s’acharnant sur ma bite en feu. J’introduis un autre doigt en elle, mon idée étant le la faire jouir, prise en tenaille. Mes deux derniers doigts sont entrés en contact avec la région qui borde son clitoris. Elle pousse des petits rauquements quand, entre mon pouce et mes doigts, je masse ses deux conduits en même temps. Comme je lui agace le clitoris, elle se tortille sous cette caresse un peu spéciale mais qu’elle semble apprécier.
Comme j’ai une main de libre, j’en profite lâchement pour continuer la fessée par des petites tapes les plus douces possible tout en essayant de faire vibrer ses chairs un maximum. Elle gémit doucement, entrecoupant ses feulements de petits cris de douleur légère à chaque coup que je porte. Je sais qu’elle crie plus par jeu, par désir, que par réelle douleur mais son cul mouillé et empoissée doit exacerber les sensations.

Est-ce un frottement de trop dans son anus, une friction de trop dans son vagin, un agacement de trop de son périnée, un frôlement de trop de son bouton rose ? Dans un long cri, elle jouit comme une petite folle, se tortillant autour des mes doigts en elle, pendant que je me relâche, inondant son ventre de giclées de sperme tiède.

Quelques temps après, j’ai le plaisir de la voir debout qui me présente son côté pile et son côté face aussi poisseux l’un de l’autre. Les mains sur les hanches, son string dévoilant tout de sa chatte lisse, elle toise du haut de ses 160 cm (et encore), les yeux sombres, son ventre rebondi luisant :

— Tu es content de toi ? Tu en as bien mis partout ?
— Pas tout à fait !
— Et il manque quoi, à sa seigneurie ?
— Tu ne devines pas ?

Elle sourit, les yeux rivés dans les miens, un fin jet doré sort de sa délicieuse fente rasée et se fracasse sur mes pieds, en vagues chaudes. Sitôt a-t-elle fini que je me jette sur elle, l’enlève dans mes bras et me jette à l’eau avec elle dans le grand cri du mâle victorieux, genre footballeur qui vient de marquer le but décisif ou genre cadre sup qui vient d’être nommé directeur à la place du directeur, place qu’il convoitait depuis belle lurette.
De son côté, elle pousse le cri apeuré de la pauvre femme convoitée par un horrible vicieux doublé d’un pervers, cri qui s’achève dans un grand rire aux éclats.

, , , , , , ,

Aucun commentaire pour le moment

Laisser un commentaire