Les soeurs Marcoux

— Viiirrrgggiiinnniiieee !

La porte venait de s’ouvrir brusquement. Sous l’effet de la surprise, je laissai retomber mon pubis, m’enfournant jusqu’à la garde :

— Ouch ! fait att…

Sylvie, la sœur ainée de ma copine, se tenait au milieu de la chambre, un magazine ouvert entre les mains. D’où elle se trouvait, nous lui offrions notre plus beau profile : Virginie allongée sur le ventre dans la position du sphinx, moi cambré sur elle, la bite entre ses fesses, les bras tendus de part et d’autre de ses flancs. La surprise finit par lui arracher un juron :

— Oh mon Dieu !!!
— Bon sang Sylvie, tu peux pas frapper avant d’entrer ?! Fiche le camp !

Sous les reproches de Virginie, Sylvie se confondait en excuses :

— J’suis désolée ninie, je savais pas que t’étais avec Benoît ! J’pouvais pas savoir que vous…

J’en pouvais plus : les palpitations de l’anus de Virginie, la moiteur brûlante de ses entrailles, l’incongruité de la situation, tout concourrait à solliciter mon vit plus que nécessaire… Finalement, Sylvie fit mine de s’en aller. Au moment où elle faisait volte-face son regard s’accrocha au tube de crème pour les mains qui gisait au pied du lit. Interloquée, elle s’écria :

— Oh mon Dieu… ne… ne me dis pas qu’il… qu’il t’enc ????….
— C’est pas bientôt fini ? Casse toi ! gueula excédée ma douce enculée.

Dans son geste pour jeter un oreiller à sa sœur, Virginie fit le mouvement de trop, sollicitant en traction mon gland turgescent. C’en était trop : j’eus beau serrer les dents, l’inévitable se produisit : me cambrant dans un ultime effort, j’embaumai l’arrière train de ma copine de mon liquide nacré :

— Haaaann mmmmmf… aah… aaah rhaaa…

Sous le spectacle de mon orgasme, la sœur de ma copine émis un petit rire nerveux :

— C’est pas vrai, C’est pas vrai….

Virginie, passablement énervée, sans doute par ce dénouement précoce, hurla après sa sœur :

— Casse toi bordel !

Rouge de confusion, elle s’éclipsa finalement.

Après un cours instant de récupération, je me retirai des fesses de Virginie, puis roulai sur le côté, terrassé par ma jouissance :

— J’suis désolé Virginie, j’en pouvais plus… elle est vraiment arrivée au mauvais moment !
— Bah, c’est pas grave, tu sais.

Elle joignit à sa réponse un petit baiser sur mon front humide. Décidément, j’aimais cette fille et toute la tendresse qu’elle pouvait prodiguer. Elle n’avait toujours pas bougé de sa position de sphinx, le buste remonté sur ses avant-bras, laissant tranquillement son arrière train se remettre de mon intromission. En souriant, elle ajouta :

— Et puis tu sais, quand je te laisse m’enculer, c’est surtout pour ton plaisir. Alors que t’aie joui maintenant ou dans dix minutes…

On frappa à la porte :

— Ninie, je peux revenir ?

Remontant le draps sur ma virilité d’une main distraite, Virginie invita sa sœur à entrer :

— C’est pas possible, qu’est-ce que tu veux encore ?! Entre !

Toute penaude, Sylvie fit de nouveau son apparition :

— Je… je voulais m’excuser, j’suis désolée…
— Bah ne t’en fais pas, ça te servira de leçon : à l’avenir, frappe avant d’entrer !

Voyant que son aînée ne partait pas, elle ajouta, un brin sarcastique :

— Circulez, y-a rien à voir ! On va pas recommencer devant toi, voyeuse !
— C’est que…
— Quoi !?
— J’ai une question !
— Et elle peut pas attendre, ta question ?!
— Ben…
— Vas-y, qu’on en finisse !
— Il t’enculait, n’est-ce pas ?

Dans mon coin, je commençais à m’amuser de la situation. Virginie finit par répondre, un peu surprise :

— Oui, et alors ???

Silence dans la pièce…

— Je me demandais… ça fait mal ?

Cette fois, c’est Virginie qui se mit à rire nerveusement :

— Bon dieu Syl, qu’est-ce que c’est que ces questions !
— Je…
— Pour ta gouverne, tout est question d’habitude… et de dimensions ! ajouta t’elle en me souriant du coin des lèvres. Elle poursuivit en soupirant :
— Si j’avais su que j’expliquerais ce genre de choses à ma grande sœur ! Tu me parais bien nigaude tout à coup !

C’est vrai que sous les piques de sa petite sœur, Sylvie rougissait à vue d’œil, sans trop savoir comment se tenir…

— Satisfaite ?….Oui ? Tu serai bien gentille de nous ficher la paix maintenant !
— C’est que… J’aimerais essayer… finit par soupirer Sylvie.

Cet aveu eut l’effet d’une bombe : allez savoir pourquoi, mon pénis se déplia à moitié, venant buter souplement sur la cuisse de ma copine. Les deux sœurs étaient restées les yeux dans les yeux, et Sylvie, sous l’effet du regard de sa sœur était plus rouge qu’une pivoine…

— Je… Sylvie n’osa poursuivre.

Nous savions tous les trois ce que cette requête signifiait, et je dois dire que la perspective, même hypothétique, de m’envoyer la sœur de Virginie commençait à m’agacer sérieusement les sens. D’une main discrète, ma copine commença à me flatter la virilité, tout en m’adressant un regard interrogatif.

Le silence devenait pesant. Sylvie, devant le malaise ambiant, fit mine de s’en aller.

— Attend… après tout, pourquoi pas…

Cette fois ma virilité avait atteint sa plénitude. Virginie poursuivit :

— Je suis sûre que Benoît se fera un plaisir de m’aider à t’initier…n’est-ce pas mon chéri ?

De son pouce, elle agaçait souplement mon frein, m’arrachant une réponse étouffée :

— Mmmmfff… oouuuii…

Satisfaite, Virginie se retourna vers sa sœur, au visage toujours aussi cramoisi.

— Ne reste pas là comme une nigaude… Avant toute chose, va falloir te nettoyer le fondement… faudrait pas encrotter mon beau jouet…Tu trouveras tout le nécessaire à la salle de bain. J’pensais pas que tu rentrerais si tôt, j’ai laissé branché le tuyau sur le pommeau de douche.
— Je…
— Bon, je t’explique : tu te mets le tuyau et tu fais couler l’eau quelques secondes… Ensuite, tu l’enlèves et tu laisses couler.. tu renouvelles l’opération jusqu’à ce que l’eau qui ressorte soit claire !

Sylvie sembla hésiter devant tant de grossièreté, mais finit par prendre le chemin de la salle de bain :

— Et ramène le tube de lait pour le corps, on a finit la crème pour mains.

Sylvie ayant disparu dans le couloir, Virginie se retourna vers moi :

— Dis donc petit cochon ! Ca a l’air de t’exciter la perspective de t’envoyer ma sœur !!!
— Euh… je… je croyais que tu étais d’acc…
— Mais oui, c’est bon, et puis tu vas m’aider à me venger de cette gourde fouineuse : tu vas pas me dire qu’elle a pas vu ta voiture en rentrant… Je compte sur toi pour y aller franchement ! Elle s’en rappellera de sa première sodomie !

Son sphincter ayant repris des dimensions normales, Virginie se leva et se dirigea, toujours nue, vers la porte :

— J’vais chercher à manger.

Resté seul, je m’allongeai de tout mon large dans le lit, soupirant d’aise devant une si belle opportunité. Je sentais mon vit palpiter fièrement sur mon bas-ventre.

Les deux sœurs revinrent simultanément, me tirant de ma douce rêverie. Tout en s’emparant du tube de crème, Virginie demanda à sa sœur de s’accouder sur la commode, et releva prestement le peignoir de Sylvie sur ses reins. La vision du petit cul de Sylvie était paradisiaque. Au fond de moi, je ne pu m’empêcher de le comparer à celui de Virginie, toujours nue au milieu de la pièce. Il était indéniable que le postérieur de ma copine ne soutenait pas la comparaison avec celui de son aînée : plus gras et avec un début de culotte de cheval. Je me gardai bien de faire la moindre remarque. Virginie pris une noisette de crème sur le bout de son majeur et l’approcha de la rosette rougie de sa sœur. Elle fut pourtant arrêtée dans son geste :

— Qu’est-ce qu tu fais ninie ?
— Faut que je te lubrifie l’anus p’tite gourde !
— Non, pas toi, je…

Pour toute réponse, Virginie enfonça sans ménagement son doigt à travers le sphincter de sa grande sœur :

— Ouch !!! Aie tu me fais mal…
— Arrête donc de te plaindre…

Comme si elle avait fait ça toute sa vie, Virginie s’employait à napper les parois intimes de sa sœur de lait pour le corps d’un geste circulaire et précis. Très vite, elle retira sa main, et après avoir répandu de la crème sur deux de ses doigts, elle s’employa à les faire pénétrer de front dans le fondement de sa sœur. Dans un geste sans douceur, elle y parvint. Cette fois, Sylvie protesta plus vivement :

— Aie putain, Aie !!! Tu m’fais mal, bordel, arrête !

D’un mouvement ample du bassin, elle tenta de se soustraire à la manipulation de son rectum. Agacée, Virginie répliqua en accompagnant le geste de sa sœur :

— Mais laisse toi faire, bon sang. Tu vas voir quand il va te mettre sa queue, se sera une autre paire de manche !

Le spectacle offert par les deux sœurs me faisait bander comme un âne. Une petite goutte perla au sommet de mon gland.
Après quelques allez retours, virginie me fit signe d’approcher, et de sa main libre me flatta amplement le vit. Je lui répandis du lait gras dans le creux de la main, et elle recommença de longs va-et-vients rapides autour de mon gland :

— Mmmmff, mmmm.

Face à cette manifestation de mon bonheur, Virginie me sourit amoureusement. Elle retira ses doigts :

— À toi de jouer mon chéri.

Sylvie se retourna et sembla affolée par les dimensions de mon phallus :

— Bon Dieu, il va jamais rentrer !!!
— Mais si, soit pas sotte !

D’une caresse sur le fesses, Virginie me fit approcher vers sa sœur :

— Décontracte toi Syl, il va commencer.

Je dardai ma queue sur la rosette de Sylvie, et entrepris de la pénétrer. Sous ce premier assauts, elle se cabra en protestant. Je lui maintins les hanches d’une main et tentai de nouveau mon intromission. Cette fois, je me montrai plus ferme.

— Aaaah…ahhhmmmf ! … aaahhennn…

Sous ma poussée, le sphincter lacha :

— Mmmmm HAAaannn !!!

Cette fois mon gland était passé:

— AAAArrrggg putain noonnn. J’ai mal putain arrête… non…

Sous l’effet d’une douleur lancinante, Sylvie avait les jambes qui flanchaient. Elle tenta de m’éjecter par des mouvements désordonnés du bassin. Virginie exerça une pression sur mes fesse, m’invitant à continuer.

— Aannnnnnn….Aaaahhhannn !….

Après avoir forcé encore quelques secondes, je me retrouvai entubé jusqu’à la garde. Bon Dieu que c’était bon. Ses intestins palpitaient de façon délicieuse, me prodiguant un merveilleux massage :

— Putain qu’elle est étroite, c’est boooonnnn.
— Laisse là un peu s’habituer à ta présence, Benoît.

Tout en me susurrant de mots doux à l’oreille, Virginie me caressait délicatement le postérieur et le bas du dos, ce qui ne manqua pas de développer encore mon érection dans l’entrefesse de Sylvie. Ses muscles avaient resserré leur étau sur ma virilité, et la sensation qui se développait depuis l’extrémité de mon gland m’arrachait maintenant quelques soupirs appuyés :

— Mmmmmfff mmmm fff mmm.

L’intensité des sensations étaient telle que je pouvais sentir battre le sang dans les veines de mon phallus. Bien que je n’aie pas encore esquissé le moindre geste, ma respiration avait pris un rythme plus saccadé :

— Hhmmm hhhhfff mmmmh

Ma nouvelle enculée n’avait cessé de se plaindre, soufflant de manière irrégulière et bruyante pour évacuer la douleur :

— Ooohhh aiiiieeee, putain retire toi, j’en peux pluuuus.

Virginie se pencha à mon oreille, et après l’avoir cajolée du bout de la langue, murmura :

— Tu peux y aller maintenant… franchement… que ça lui serve de leçon !

Je ne me fis pas prier : après avoir savouré un dernier instant la longueur de ma pénétration, je commençais de puissants mouvements du pubis, secouant sans vergogne l’arrière train de ma « victime ». Je me vautrai sur son dos, et glissait deux mains à la rencontre de ses seins. Bien accroché à ses opulentes mamelles, je me redressai pour pouvoir pousser plus fortement. Si Virginie semblait apprécier le spectacle en accompagnant mes mouvements d’un main posée sur mes fesses, Sylvie protestait vertement contre un si dur traitement :

— Aaaah salaud, arrête… ouch… p’tain , aaaaa.
— Haaaan mmmmfff Haaaannnn aaahaannn.

A la vitesse où j’allais, le dénouement n’allait pas être long à venir.

— Haaan pfouiiiiii! Ouii aaheeeenn…mmmmf….

Dans un dernier effort, je poussai mon gland au plus profond de son rectum. Cette fois, quelques soupirs de plaisir s’échappait de la bouche de Sylvie :

— Mmmmff…ooohhh… ooohhh…

Crispé, pour éviter une éjaculation prématurée, je ressortis doucement mon phallus pour ne garder que le bout du gland introduit. D’un mouvement rapide, je m’enfournai jusqu’à la garde, tirant sur mon frein de toute la puissance de ma pénétration. La brutalité de cette dernière intromission arracha à ma partenaire une complainte à mi chemin entre le plaisir et la douleur :

— Aaooouccch …mmmm

Râlant ma jouissance, je nappai ses intestins de longues giclées de foutre brûlant :

— Haaaann mmmmmf… aaah rhaaa… ouiiiiiii… aaaaaaah… puuutttaaiiinnnn !!!!!

Le délicieux embaumement se poursuivi quelques secondes. Après quelques instants de contentement appuyé, je retirai ma queue encore dure du fourreau brûlant qui l’avait si bien accueilli. Virginie, ravi, m’embrassa goulûment :

— Félicitations mon chou, t’as été très bon… Je dois dire que votre accouplement était de toute beauté !

Sylvie, encore essoufflée s’exclama :

— Putain, j’suis pas prête de recommencer, ça fait trop mal ! Comment tu fais Ninie ?!

Après nous être regardés tous les trois, nous partîmes dans un long fou rire complice.

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