Les « anales » des copines : La nunuche

J’étais animateur à l’époque, j’avais 26 ans. Cet été là, je me suis retrouvé responsable d’un camp pour adolescents.

J’avais carte blanche pour tout organiser de A à Z. J’avais trouvé un petit camping sympa en Corrèze, un coin paumé, assez sauvage, comme je les aime, pour faire découvrir la région aux jeunes dont j’aurais la charge.
Je n’avais, par contre, pas carte blanche pour choisir les animateurs qui m’accompagneraient. En fait, peu m’importait, du moment que je ne me retrouvais pas avec de petits branleurs boutonneux complètements immatures…

En fait, sur le coup, quand on m’a présenté mon équipe, j’ai un peu déchanté. La première fois que j’ai vu mon équipe, je me suis dit qu’à la maison mère, ils se foutaient de ma gueule…
Je les ai vu en entrant dans le bureau, deux nanas, deux greluches. Je n’ai rien contre les femmes, bien au contraire, mais là, ils avaient fait fort. Elles avaient toutes les deux une vingtaine d’années. Elles n’étaient pas boutonneuses, non, mais elles étaient du genre « scout de France », du genre « on fait des fleurs en crépon pour la fête patronale ».
Je vous les décris : Il y avait Sandrine, brune, cheveux ondulés mi-longs, assez fine mais avec un air nunuche renforcé par de grandes lunettes qui lui mangeaient la moitié du visage. On passe a la deuxième : Nathalie, le sac d’os, limite anorexique, brune, cheveux mi-longs coupés à la Mireille Matthieu, l’air aimable comme une porte de prison… et merde ! Elles vont se faire déborder par les ados ! Le pompon, c’est que Sandrine me bouffait du regard, l’air complètement énamouré à la fin de l’entretien où elles m’ont déblatéré les réponses toutes faites que tout recruteur entend, du genre : « Je fais ce métier parce que j’aime les enfants » (A ce genre de réponse, je me suis toujours retenu de répondre : « Et tu aimerais les escargots, tu te lancerais dans l’élevage ? » ).

Enfin bref, j’étais déçu. Quitte à partir avec deux nanas, ils auraient pu me mettre un canon dans le lot, histoire de, sur un malentendu, conclure… Elles n’étaient pas moches, elles étaient insipides, c’est pire…

C’est la mort dans l’âme (bon, j’exagère !) que nous sommes partis, début août, avec le groupe… J’ai repris un peu le moral quand on a découvert le camping, super sympa et désert, le top ! Les jeunes pourront s’éclater sans qu’un blaireau vienne renauder à cause du bruit, c’est déjà ça…
On a passé la journée à monter les tentes. Les filles se débrouillaient assez bien avec le groupe. Sandrine n’arrêtait pas de me mater, ça me foutait mal à l’aise mais bon… après tout, c’était assez flatteur. Par contre, Nathalie m’ignorait complètement. Elle me faisait limite la gueule. Mon avis était qu’elle n’aimait pas les mecs, qu’on lui avait décrit la gent masculine comme diabolique, ne pensant qu’à se faire dégorger le poireau. C’est le genre de fille à rêver au « petit prince des collines du pays de Candy ».

On dormait dans la tente cuisine. Je pensais que les filles allaient tiquer que l’on partage la même tente mais, à ma grande surprise, il n’en fut rien. J’ai même cru que Sandrine allait tomber en pâmoison quand j’ai évoqué la chose… Celle-là, elle commençait à m’agacer, à dire « oui » à tout ce que je disais. Je n’allais pas tarder à lui balancer une de mes réflexions saignantes, histoire de la calmer. Dans la tente, j’ai pris la place du milieu. Les filles allaient se changer au bloc sanitaire avant de se coucher. Ça m’éclatait car j’ai connu des camps où tout le monde se changeait dans la tente…

Il s’est passé trois jours avant que tout ne se déclenche. J’avais changé d’avis sur les filles, elles se débrouillaient super bien avec les ados.
Je ne sais pas si c’est le manque qui m’a fait regarder Sandrine sous un autre angle, mais je commençais à me dire que, physiquement, elle n’était pas si mal que ça. Il faut dire qu’elle mettait toujours des fringues qui la moulaient et moi, ça, ça m’excite…

Ce soir-là, après notre petit briefing quotidien, j’ai dit aux filles que le lendemain, je me lèverais de bonne heure pour aller aux champignons. Tout de suite, Sandrine m’a demandé si elle pouvait m’accompagner. Après tout, pourquoi pas ? J’ai accepté en ayant, il faut l’avouer, quelques idées salaces en tête.

On s’est levé vers sept heures, Sandrine est allée se changer. Quand elle est revenue je n’ai pas pu m’empêcher de la mater tellement sa tenue m’a excité. Elle portait un caleçon moulant noir et un petit pull beige ras du cou qui lui moulait la poitrine… glups !

On est partis dans les bois, je la regardais à la dérobée, son petit cul moulé dans son caleçon. Je bandais dans mon jean. Je me disais que si elle n’était pas si niaise, je lui proposerais bien une petite partie de jambes en l’air. Ce petit cul, j’aimerais bien y planter ma queue. Oh oui ! Une petite sodomie dans son petit cul, déniaiser la nunuche en lui cassant la rondelle !

Au bout d’une heure de pérégrinations forestières, on avait toujours pas vu le moindre champignon. On s’est assis sur un rocher pour se reposer un peu. Sandrine m’a dit qu’elle était déçue de ne pas avoir trouvé notre bonheur en matière de champignons et là, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai dit :

— Je sais où il y en a au moins un de champignon, il est rose.

Le con ! Moi et ma provoc, le bœuf de base ! Même Rocco, dans ses films de cul, il fait pas de telles réflexions. Je m’attendais à ce que Sandrine rougisse, qu’elle crie au satyre mais il n’en fut rien. J’ai vu comme un éclair dans son regard, comme si elle changeait du tout au tout. Docteur Jekill et mister Hyde. Elle m’a répondu :

— Ha oui, vraiment ? Je peux le voir ?

Je n’en croyais pas mes oreilles. On nageait dans un scénario de film de cul de mauvaise qualité. Je me suis levé et je me suis mis devant elle. J’ai débraguetté mon pantalon et j’en ai extirpé mon sexe tout dur. Sans hésiter elle l’a empoigné. Elle m’a branlé en me disant :

— Joli champignon.

J’étais fou de désir. La petite cochonne savait s’y prendre pour me masturber. Elle s’est penchée en avant et a englouti ma queue pour lui prodiguer une fellation que je ne suis pas prêt d’oublier. Je n’en revenais pas de la dextérité de Sandrine dans l’art de la pipe. Rien que d’y penser, j’en bande encore.
Je n’ai pas résisté bien longtemps à la douceur de sa bouche, je l’ai prévenue que j’allais jouir mais ce n’est pas pour ça qu’elle a arrêté, bien au contraire… La petite cochonne a redoublé de caresses avec sa langue si bien que je lui ai balancé tout mon foutre dans la bouche. Et pas une éjaculation de kéké ! Il y en avait tellement quelle n’a pas pu tout avaler. J’ai vu mon sperme lui dégouliner aux commissures des lèvres. Elle, elle s’évertuait , les yeux exorbités, surprise par la quantité de ma semence, à avaler en déglutissant. On aurait dit qu’elle allait s’étouffer mais elle insistait comme si cette semence était un met rarissime, un caviar que l’on ne peut gâcher. J’ai fini de m’épancher dans sa bouche gourmande, elle a recraché mon sexe comme à regret.

Sandrine avait du sperme sur son pull, c’était d’une obscénité folle, elle l’a raclé avec son mouchoir. On ne s’est rien dit, on a pris le chemin du retour. Au camping, personne n’était levé, Sandrine est partie changer de pull. La journée s’est passée comme si de rien n’était. Sandrine semblait encore plus nunuche que d’habitude, je la regardais en pensant qu’elle cachait rudement bien son jeu, au vu de la pipe qu’elle m’avait faite ce matin. Je me demandais même si je n’avais pas rêvé. Mais, de temps en temps, lorsqu’elle me regardait, un court instant, je voyais son regard changer comme ce matin, en forêt, un regard de salope, de vicieuse…

On s’est couché vers 23 heures ce soir-là…
Au bout d’une demi-heure, j’ai senti la main de ma petite vicieuse passer dans mon duvet. Elle s’est mise à me caresser le sexe à travers mon caleçon. Tout de suite, j’ai eu une érection pas croyable. Elle a passé sa tête sous le duvet en même temps que sa main extirpait mon sexe de mon caleçon. J’ai senti qu’elle me happait, m’aspirait. C’était divin. J’ai envoyé ma main lui caresser le dos, puis j’ai descendu vers ses petites fesses que j’ai malaxées à travers son slip de coton blanc. Elle me suçait avec application tout en me caressant les couilles. J’ai écarté le fond de son slip et je me suis mis à lui triturer l’anus. Hé oui, j’avais en tête de la sodomiser depuis cette promenade de ce matin, certes son vagin m’attirait mais l’idée, un peu perverse, de lui prendre les fesses prenait le dessus de toutes mes envies. Sandrine acceptait, par ailleurs, cette caresse que je lui offrait en lançant ses fesses de mon doigt dardé contre son petit trou tout trempé de sécrétions. J’avais maintenant la totalité du majeur enfoncé dans l’antre délicat.
J’avais peur que nos respirations saccadées ne réveillent la revêche Nathalie. Sandrine avait arrêté de me sucer pour, sans doute, mieux apprécier ce doigt qui lui fouillait le fondement. La petite cochonne roulait des hanches. Il était clair que je ne pourrais pas la sodomiser ici, de crainte de réveiller notre collègue. En chuchotant, je proposais a Sandrine :

— Viens me rejoindre au bloc sanitaire si tu as envie d’autre chose qu’un doigt dans ton petit cul.

Certes, c’était gonflé de lui dire ça comme ça mais la belle ne s’en offusqua pas.

Je me suis levé et je suis allé a notre lieu de rendez vous. Cinq minutes après, Sandrine entrait dans les sanitaires. Elle était vêtue, encore une fois, de manière bien bandante : corsaire gris moulant et petit pull cachemire blanc à col roulé. Comment résister ? A croire que la douce Sandrine avait deviné que ce type de tenue m’excitait. On s’est embrassé de manière très sensuelle puis je lui ai demandé si elle était toujours prête à m’offrir ses petites fesses. Toute rougissante, Sandrine m’avoua qu’elle en avait envie mais qu’elle ne l’avait jamais fait. C’est vrai qu’après l’épisode de la turlutte de ce matin, je me demandais si elle n’était, en fin de compte, pas si inexpérimentée que ça. J’apprendrais, par la suite, qu’à part les nombreuses fellations prodiguées à un ami de son père, elle n’avait que peu d’expérience.

J’ai attiré ma petite collègue dans une cabine de WC. Malgré l’heure tardive, j’ai verrouillé la porte, des fois qu’un des ados ait une envie pressante et qu’il nous surprenne. Bonjour la crédibilité des animateurs…
Je me suis débarrassé de mon caleçon et je me suis assis sur la lunette du WC. J’ai fait se retourner ma partenaire qui faisait preuve d’une docilité étonnante, sans doute un peu inquiète de ce qu’il allait se passer par la suite. Elle était debout devant moi, j’avais ses petites fesses moulées dans son caleçon au niveau du visage. J’avais peine à y croire ! Ce petit cul, j’allais le sodomiser… hummmmm.

J’ai attrapé les bords de son caleçon que j’ai fait rouler le long de ses cuisses. J’ai écarté ses fesses de mes mains, j’ai contemplé, un court instant, le petit orifice plissé et je me suis mis à le lécher avec délectation. Tout de suite, Sandrine s’est mise à gémir sous la caresse de ma langue. Cette fille était incroyable, son petit trou s’ouvrait carrément sous mes coups de langue. Sandrine dit :

— Vas-y, j’en ai envie…
— Envie de quoi ?

Je voulais qu’elle me le demande, j’avais envie d’entendre sa voix de nunuche, un peu niaise, me demander de l’enculer. Sandrine le comprit :

— J’ai envie que tu me prennes les fesses, je veux sentir ta queue dans mon cul.

Je l’ai attirée a moi. Elle a fléchi ses jambes, ses fesses ont frôlé mon sexe dressé. Elle se retenait en prenant appui sur les murs de chaque coté. J’ai pointé mon vit contre son anus. Doucement, tout doucement, Sandrine a appuyé ses fesses contre mon sexe. Contrairement à ce que je pensais, cela n’a pas eu trop de mal à entrer, ma salive aidant, j’ai senti ses sphincters s’écarter progressivement.

— Hoooo, ça fait mal…
— Continue, n’abandonne pas, tu vas voir, après c’est divin.

Elle n’a pas abandonné. Mon gland est passé et, avec d’infinies précautions et de nombreuses exclamations de douleur, Sandrine s’est empalée sur toute la longueur de mon sexe. Je sentais nettement les parois de son rectum épouser la forme de mon chibre. J’étais aux anges. Elle est restée cinq bonnes minutes immobile avant de rouler doucement des hanches.
Très vite, je l’ai sentie se détendre, se relâcher. Elle respirait de plus en plus fort tandis que le mouvement circulaire de ses hanches s’amplifiait. Je la tenais par les hanches et je regardais ses petites fesses s’agiter. Elle a arrêter de remuer pour monter et descendre sur mon sexe. Elle poussait un gémissement à chaque fois que ma bite se renfonçait en elle. J’adore cette sensation que l’on a lorsque l’on prend des fesses, cette impression d’aller encore plus profond à chaque aller et retour.

Manifestement, Sandrine n’avait plus mal. Elle ahanait en se sodomisant de plus en plus fort. Son petit orifice était de plus en plus détendu. Elle me disait que c’était bon, qu’elle me sentait bien profond en elle, qu’elle était ma pute, ma petite enculée. Moi, j’étais comme fou, je la traitais de traînée, de souillon, de vicieuse, je lui racontais que je dirai à sa collègue Nathalie qu’elle se faisait enculer dans les chiottes comme la pire des salopes… Je crois que c’est cette idée qui a eu raison de Sandrine qui s’est brusquement cambrée, comme tétanisée en poussant un long hululement à la limite du grotesque. Les contractions de ses entrailles ont précipité ma jouissance, je lui ai envoyé tout mon jus dans les intestins en couinant tout aussi grotesquement qu’elle. Nous n’étions, en fait, plus que deux animaux, à ce stade, deux bêtes, deux êtres primaires en train de jouir…

On est bien restés dix bonnes minutes à reprendre nos esprits. Mes mains la caressaient partout tandis que je lui couvrait, sa nuque perlée de sueur, de petits baisers.

Sandrine s’est, précautionneusement soulevée. Mon sexe s’est trouvé expulsé de ses fesses. Elle a remonté son corsaire et nous sommes sortis. On a marché un moment sans rien dire puis, je l’ai prise contre moi pour l’embrasser tendrement. Je crois que c’est là que je suis tombé amoureux d’elle…
On est retourné se coucher discrètement, comme si de rien n’était.

Personne ne s’est rendu compte de notre idylle lors de ce séjour et pourtant, la nuit, dans le bloc sanitaire, c’était un festival de jouissances, d’orgasmes.
Sandrine n’a pas voulu me donner sa virginité, par principe, ce genre de chose, elle le réservait pour celui qui se marierait avec elle. Moi, ça me faisait marrer et je lui disais que son futur mari ferait une drôle de tronche s’il apprenait que sa prude femme se faisait farcir l’oignon dans les WC d’un camping, par principe. Elle aussi ça la faisait sourire.
On a fait de grosses cochonneries pendant deux semaines. Une fois, n’y tenant plus, je l’ai sodomisée dans la tente, à côté de Nathalie qui dormait à poings fermés… C’était drôlement excitant cette idée que, subitement, notre collègue se réveille, allume la lumière et me trouve, allongée sur Sandrine, ma queue profondément fichée dans ses fesses…

Le séjour s’est terminé, à notre grand regret car nous habitions très loin l’un de l’autre.
L’année d’après, j’ai eu carte blanche pour choisir mon équipe et, bien sûr, Sandrine en faisait partie. C’est en soupirant d’aise qu’elle a cueilli mon sexe dans ses fesses lors de la première nuit.

Pour la petite histoire, son mari n’a pas fait une drôle de tronche lors de la nuit de noce car il connaissait les prouesses anales de sa femme. Ben oui, je me suis marié avec Sandrine l’été dernier. Ses coincés de parents m’ont toujours apprécié. C’est rare un mec qui ne cherche pas a coucher avant le mariage…
Avec Sandrine, on rigole encore en imaginant leurs têtes s’ils avaient su que, dès qu’ils avaient le dos tourné, leur fille me suppliait de l’enculer et que, bien souvent, c’est le rectum englué de mon sperme qu’elle passait à table, l’air innocente.

Sandrine, je sais que tu liras cette histoire car tu m’as demandé de l’écrire. Je t’aime PROFONDEMENT… n’est t’il pas ?

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