La bouche pleine

Oh tu es là ? Ecoute, je vais tout te raconter. Pendant la récré, j’ai eu une très grosse envie de faire pipi et je suis allée aux toilettes, mais hélas pour moi, la porte des filles était bloquée. Alors, comme je ne pouvais plus me retenir, je suis rentrée dans les toilettes des garçons. Je me suis enfermée dans une cabine, et assise sur la cuvette, je me suis soulagée. Mais, avant de tirer la chasse, j’ai entendu quelqu’un entrer. J’ai été comme paralysée car je ne voulais pas être surprise ici. J’ai regardé par le trou de la serrure. C’était Bernard, l’idiot du village. Tout le monde se moque de lui tu vois de qui je parle ? Un grand maigre aux oreilles décollées.

Bref, j’ai stoppé ma respiration et j’ai attendu qu’il s’en aille. Mais, au bout de quelques secondes, il n’était toujours pas sorti. J’ai entendu comme des grognements de bête. Curieuse, j’ai regardé par le trou de la serrure. Et là, j’ai assisté à un drôle de spectacle ! Bernard, le jogging baissé, était en train de se palucher. Je voyais ses fesses blanches remuer et il se regardait dans la glace en tenant son gros zizi d’une main au dessus du lavabo. C’était classé X mais j’ai regardé quand même, tu me connais. Son zizi est très développé pour son âge et ça m’a excité. Jamais j’aurais pu imaginé qu’il avait un truc pareil entre les jambes. J’avais déjà vu des films pornos en VHS, ceux de mon père, mais jamais je n’avais vu le sexe d’un ado, pour de vrai. Finalement, il a éjaculé dans le lavabo. A ce moment là, la sonnerie a retenti et j’ai sursauté en me cognant la tête dans la poignée de porte, je me suis fait un mal de chien et j’ai gueulé. Heureusement, il n’a rien entendu à cause du bruit. Il s’est rhabillé en quatrième vitesse et a disparu. J’ai quitté ma cachette de fortune et mon coeur s’est mis à battre plus fort, car non seulement je risquais d’arriver en retard à mon prochain cours, mais la curiosité me piquait et je voulais voir ce putain de lavabo. Le cochon n’avait rien nettoyé. Et pourtant, ça sentait le sperme ! Je me suis approché pour examiner cette texture gluante de plus près. Personne ne pouvait me voir. J’ai reniflé cette odeur si particulière. J’ai sorti un bout de langue et j’ai léché le rebord du lavabo, ne me demande pas pourquoi. Beurk ! c’était trop dégueulasse, j’ai vite arrété mes conneries. Au même moment, tu le croiras si tu veux, la femme de ménage est entrée avec son balai et sa serpillère et j’ai eu la peur de ma vie, je me suis redressée comme une flèche. Elle était aussi surprise que moi, mais je lui ai dit que mon envie avait été trop forte, blablabla. Elle m’a expliqué que le plombier réparait une fuite en ce moment et que si je voulais me laver les mains il fallait aller dans le réfectoire car l’eau avait été coupée. Voila pourquoi Bernard n’avait pas pu nettoyer sa semence. Elle a prit son seau et s’est dirigée vers le réfectoire. Elle s’attendait à ce que je la suive mais je ne pouvais pas laisser cette flaque, la semence de « monsieur Bernard », sécher sur le lavabo, surtout qu’elle m’avait vu à cet endroit précisément. Elle allait se poser des questions en nettoyant le lavabo et j’allais passer pour une très vilaine fille. Il fallait que je fasse quelque chose. J’ai regardé autour de moi, rien, aucune serviette. Et cette odeur qui se propageait… il fallait que je réagisse vite. J’ai commençé par ramasser le sperme avec mes doigts, puis le bord de mes mains pour aller plus vite. Je cherchais désespérément du papier toilette, ou quelque chose mais… rien. Tous les bacs étaient vides. Bordel ! Sur mes vêtements ? Oui et j’allais sentir le sperme toute la journée… bonne idée ma grande ! Bon il n’y avait pas mille solutions, j’ai léché mes doigts, ouaip je sais, c’est répugnant mais je n’avais pas le choix, tu comprends ? J’allais être en retard et mes idées n’étaient pas claires. J’ai gardé tout ce sperme dans ma bouche en espérant pouvoir le recracher un peu plus loin. J’ai courru dans les couloirs et après quelques mètres à peine, un surveillant a surgit de nulle part et m’a demandé pourquoi je n’étais pas en classe. Je ne pouvais pas parler, j’avais la bouche pleine, je ne voulais pas parler, j’avais la bouche pleine. Je faisais des bruits bizarres et il a commençé à s’énerver, il croyait que je me foutais de sa gueule. Alors, j’ai avalé doucement le sperme de Bernard, en grimaçant. Je le sentais couler au fond de ma gorge, c’était chaud, salé, j’allais vomir. Je sentais le parfum du jus de ses couilles sur mon palais. J’ai finalement réussi à ouvrir la bouche pour dire au surveillant que je ne me sentais pas bien. Et maintenant, c’était vrai. Il m’a dit alors d’aller immédiatement à l’infirmerie et de lui ramener un justificatif fissa, comme quoi j’avais vraiment quelque chose, sinon j’allais passer un sale quart d’heure. J’ai fait demi-tour et j’ai marché d’un pas rapide vers l’infirmerie.

L’infirmière n’était pas dans son bureau. J’ai attendu plusieurs minutes en réfléchissant à ce que j’allais bien pouvoir inventer comme histoire pour avoir ce justificatif. J’étais assise devant l’entrée quand soudain un bruit m’a fait sursauter. C’était comme si quelqu’un déplaçait un meuble, ça grincait. Le bruit venait de la porte d’en face. Peut-être que c’était l’infirmière ? Je me suis levé et j’ai légèrement poussé cette porte qui était resté entrouverte. J’entendais parler derrière.

— Allez, suce-moi, on n’a plus le temps…

Je reconnaissais cette voix, c’était celle du prof de sport !

— Monsieur veut son petit plaisir égoiste ? Pfff… OK… mais tu te dépêches ! la dernière fois j’ai eu mal à la machoire.

Et c’était… l’infirmière ! Encore un pas et je distinguais mieux le tableau, l’infirmière était à moitié nue, allongée sur une table, les jambes grandes ouvertes et elle se masturbait. Elle avait simplement garder son pull. C’était une fille très belle et de la voir dans cette posture me troublait un peu. Elle n’avait aucuns poils, son minou était tout lisse. A coté d’elle, le prof de sport avait son pantalon baissé. J’ai poussé un petit cri quan j’ai vu sa bite mais au lieu de faire demi-tour, comme n’importe qui de censé, je suis restée pour les observer en priant qu’ils n’aient rien entendu.

L’infirmière se faisait baiser la bouche. Il allait de plus en vite. A cause de sa position, elle avait la tête sur le côté et poussait de temps en temps des gémissements de mécontentement ou de plaisir. Qui pouvait savoir ? Lui, il prenait son pied à la dominer ainsi. Il la tirait par les cheveux et l’amenait à lui de temps en temps. Il l’a bloquait ainsi quelques secondes et l’infirmière ne pouvait plus respirer. Quand il a jouit, il l’a empêché de bouger. Le sperme coulait sur ses joues, ça sortait tellement il y en avait. Quand elle s’est dégagée, avec fougue, elle a tout craché dans un mouchoir.

— Ah merde, t’es qu’un enfoiré ! je t’ai déjà dit que je n’aimais pas le sperme. T’es qu’un gros dégueulasse !
— J’avais les couilles pleines… deux semaines au moins que je ne m’étais pas vidé putain. C’était trop bon.
— Pouah !

Je suis vite retournée m’assoir à côté de son bureau. Encore toute rouge sous le coup de l’émotion. Le prof est sorti en premier et quand il m’a vu, a été surpris par ma présence. Il a toussé pour se donner de la contenance et s’est dirigé là où il devait être, vers le gymnase. L’infirmière est arrivé comme si de rien n’était. Elle était aussi surprise que le prof de sport et paraissait très embarrassé. Elle m’a demandé pourquoi j’étais là. Je lui ai dit que je ne me sentais pas bien et que j’avais de la fièvre. Elle s’est approché de moi et a posé sa main sur mon front. Elle sentait le sperme, on pouvait sentir son haleine à des kilomètres. Ou bien était-ce ma propre haleine qui amplifiait cette perception ? Je n’osais lui parler en face. Elle a ouvert une armoire et m’a donné un comprimé dans un verre d’eau. Elle a signé un justificatif et m’a renvoyé en salle de cours. J’ai maintenant un bon quart d’heure de retard et je vais devoir subir les interrogations de mes petits camarades… bon, je te laisse, @+

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