Je suis timide mais je me soigne (2) – My first love – acte 1

Les cours de théâtre m’ennuyaient et je commençais à perdre espoir. La prof, une belle blonde d’une quarantaine d’années, faisait de son mieux pour m’intéresser à cet univers que je connaissais mal. Malgré quelques rires parfois, je trouvais l’ensemble du répertoire plutôt soporifique…

Elle me demanda de choisir entre quatre pièces différentes. Chaque élève devait apprendre un texte puis le jouer devant les autres. En regardant les différentes feuilles scotchées au mur, une seule était blanche et ne comportait aucun nom. J’avais alors inscrit le mien au crayon, pensant naïvement que si j’étais seul sur la liste, la pièce serait peut-être annulée…

Je n’avais même pas pris le temps de me renseigner sur le thème de la pièce. C’est en tournant les pages, chez moi, que j’eu quelques sueurs froides… « My first love » était l’histoire d’amour de deux adolescents. Il s’agissait d’une œuvre un peu trash écrite par un auteur danois. Un article de presse accompagnait les photocopies. Il racontait que l’auteur avait délibérément êtoulu choquer le public en faisant jouer deux adolescents, complètement nus sur scène…

Je comprenais mieux pourquoi aucun élève n’avait inscrit son nom… Il fallait quand même être deux… et j’étais quasiment sûr de me retrouver seul. Personne, et encore moins une fille, n’accepterait de jouer un tel rôle… Je me trompais…

Quand la prof prononça mon nom puis le sien, à haute voix, je me recroquevillais sur mon siège. On entendit des « Ohh » de stupeurs…
Les autres élèves me regardaient bizarrement. Sophie était une petite brune qui plaisait à beaucoup de monde et c’est elle qui allait être ma partenaire.

Je sentais dans leurs yeux, que certains garçons commençaient à regretter leurs choix. Moi, j’avais très peur. Je voulais instinctivement faire machine arrière, dire que je mettais tromper en inscrivant mon nom. J’étais prêt à tout pour reculer. Mais la honte me rendit muet comme une carpe.

Sophie avait une peau très blanche et s’habillait toujours en noir dans un style assez « gothique ». Cela contrastait avec son visage d’ange… Elle dégageait une forte personnalité. Moi, à côté d’elle, je ne faisais vraiment pas le poids niveau look. Elle me fit la bise et son parfum à la fraise ne cessa de m’envouter…

Notre « jeune couple » paraissait peu crédible mais la prof nous encouragea dans notre choix. Elle nous expliqua que les opposées s’attiraient souvent, qu’il fallait attendre un peu, qu’on allait bientôt finir par rentrer dans nos personnages…

Pendant les différentes lectures du texte, la prof nous demandait d’aller toujours plus loin… Bien sûr, nous étions habillés. C’était plus facile. Mais la pièce devrait se jouer, nue, dans la réalité !

Avec le temps, je finis par apprécier les cours et j’appris même mon texte par cœur. Moi, qui avant venais à reculons, j’étais de plus en plus motivé. Je trouvais Sophie de plus en plus belle et j’attendais nos répétitions avec impatience.

Au début, on faisait semblant. On se touchait à peine. On n’osait pas. Quand je devais l’embrasser, nos lèvres s’effleuraient. Mais, il fallut passer à l’étape supérieure pour que ça paraisse plus crédible.

Elle semblait insensible à mes attouchements, jusqu’au jour au elle m’embrassa pour de vrai. Je n’étais pas un pro de la galoche, mais je réussis à faire durer ce premier baiser, assez longtemps. De fil en aiguille, notre couple paraissait de plus en plus réaliste. La prof semblait ravie.

Et contre toute attente, c’est notre pièce qui reçut la meilleure note. La « récompense » fut à la hauteur : une représentation unique dans un théâtre parisien, devant un public de professionnels… « en respectant le plus fidèlement possible la mise en scène de l’auteur » avait précisé la prof en souriant.

*****

Sophie était en sous-vêtements, mais déjà je pouvais admirer ses formes. Elle avait un corps de rêve, parfaitement sculpté, c’était vraiment dommage de le cacher sous des fringues gothiques…

Elle attendait. Elle n’osait pas me regarder.

Quand à moi, je ne savais pas où me mettre. J’essayais de paraître calme et détendu mais je transpirais un peu. Le pression était énorme.

Histoire de briser le silence, c’est elle qui parla la première…

— Tu as une copine ?
— Non… Et toi ?
— Je ne suis pas lesbienne ! dit-elle brusquement, sur la défensive.
— Non, je veux dire… un copain ?
— Ah ? Non, non. Tu imagines, s’il me voyait jouer dans une pièce comme celle-là ?
— Oui, c’est sûr…

Elle fixait mon caleçon, l’air contrarié.

— Il y a une bosse.

Surpris, je baissais la tête.

Je n’avais pas réalisé que je bandais un peu. J’avais tout sauf envie de jouer la queue en érection. Malheureusement, je ne pouvais rien faire pour y remedier… Et sa remarque n’arrangea rien, au contraire.

— Tu devrais peut-être te… Enfin, tu comprends, dit-elle en faisant un geste masturbatoire avec la main.
— Là ? maintenant ?
— Bah oui, pas dans dix minutes…

La loge était une sorte de placard exiguë et je me voyais mal faire ça ici… Mais il ne nous restait plus beaucoup de temps… Je flippais tellement que je commençais déjà à baisser mon froc…

— Non, mais attends ! J’tai pas demandé de le faire « devant moi » ! Je vais me retourner…
— Désolé.

Elle hésita un instant et se gratta le cou. Les yeux rivés sur le bout du gland qui dépassait légèrement, elle réfléchissait…

— Bon, après tout, ça ne me dérange pas, fais comme tu veux. On devrait être à poil normalement…

La prof nous avait demandé de choisir entre la nudité ou les sous-vêtements. On avait opté à l’unanimité pour le second choix évidemment. Mais, même légèrement vêtu, je restais néanmoins un grand timide.

— Si tu me regarde, je n’y arriverais jamais… tu veux bien te retourner, s’il te plait ? demandais-je en cachant ma bite avec mes mains.
— Bon, faudrait savoir…

Elle se retourna et me montra son dos. Sa petite culotte blanche moulait parfaitement ses fesses et ne cachait pas grand chose. Je me mis à me caresser en pensant à elle. J’avais un peu perdu la notion du temps, mais cela dura quelques secondes. Je ne me masturbais pas souvent à l’époque alors ce ne fut pas long. Sentant enfin l’orgasme arriver, je cherchais un endroit où éjaculer… Aussi, pris de panique, je l’interpelais…

— Sophie ?
— Quoi ?
— Tu as un mouchoir ?
— Non, pourquoi ?
— Parce que… ça vient !
— Ah ? zut… non, j’ai rien sur moi…
— Je peux pas faire ça sur la moquette, ça va sentir après…

Elle se retourna sans prévenir et semblait aussi inquiète que moi.

— Tu… tu ne peux pas te retenir ?
— Euh… Non, plus maintenant… Je vais jouir…
— Bon sang ! C’est pas vrai…

Elle essaya d’attraper mon caleçon qui gisait par terre et se baissa pour le ramasser mais, dans la précipitation, elle se retrouva nez à nez avec mon sexe. Ce qui déclencha instantanément ma jouissance. Sophie reçut un premier jet puissant en pleine face ! Elle eut juste le temps de reculer pour voir les autres jets atterrirent sur son cou et ses seins… Ca n’arrêtait pas de sortir… Elle en avait partout et paraissait aussi paniqué que moi.

Elle hésita avant de me prendre en bouche mais c’était la seule solution pour éviter une véritable douche de sperme. Plus je me vidais, plus elle gémissait, c’était trop bon. Elle me regardait en plissant les yeux, les joues gonflées… A ce moment là, on frappa à la porte.

Elle se leva d’un bond et avala tout en grimaçant.

« 10 minutes ! » annonça une voix feutrée qui s’éloignait déjà.

Soulagée, elle se mit à rire nerveusement :

— Putain, la trouille que j’ai eu ! dit-elle en s’esclaffant.

Et elle me regarda les mains sur les hanches, comme si j’avais fait une bétise.

— Tu jouis toujours autant ?

Elle examina son soutif, encore souillée par ma semence.

— J’ai l’impression d’avoir reçu le jus d’au moins dix mecs ! T’es un gros jouisseur toi, tu sais.

Elle paraissait impressionné.

— D’habitude, le sperme, je n’aime pas ça mais là, j’adore. Tu n’as pas mauvais goût du tout…

Elle s’agenouilla devant moi et examina mes testicules.

— Elles sont besogneuses celles-là.

Elle les soupesa et ce contact avec sa petite main me fit sursauter.

— Oh !

Je venais à peine de jouir que déjà, ma bite s’allongeait et reprenait du volume.

— On dirait que ça te fait de l’effet !

Elle me branla tout en me caressant les testicules, j’étais au paradis. Puis, elle accéléra un peu la cadence, car on était pressé par le temps…

Quand mon deuxième orgasme arriva, cette fois-ci, elle regarda les jets sortir et joignit les mains pour recevoir mon offrande. Je visais tant bien que mal.

— Putain, tu manges quoi ?
— C’est peut-être à cause de mon traitement… je sais pas…
— Mouais… en tout cas, c’est bizarre, je t’assure…

Elle me regarda avec des yeux en feu et lécha ses mains et ses doigts sans attendre… elle était impatiente de pouvoir recommencer mais je lui montrais l’horloge sur le mur : il ne nous restait à peine deux minutes !

— Merde ! Ma culotte est toute trempée !

Et elle se déshabilla à une vitesse folle. Elle était beaucoup moins pudique que tout à l’heure. Mes orgasmes successifs m’avaient apaisés et j’avais l’impression de flotter dans la pièce. Je notais quand même qu’elle n’avait aucun poil au minou, elle s’épilait la coquine. Nue, elle faisait tourner sa culotte au dessus de sa tête… c’était marrant à voir.

Mais, à force de gesticuler et de faire des geste brusques, elle se cogna le genou à la table et son téléphone tomba au sol. Elle se mit aussitôt à quatre pattes pour essayer de le récupérer. Il avait glissé dans un endroit difficile d’accès et la tête et les bras en avant, elle se cambrait au gré de ses mouvements. Je découvrais sa rondelle pour la première fois, elle avait un cul splendide.

— N’en profite pas pour mater ! dit-elle avec une voix étouffé.

Quand elle sortit de là, elle avait le visage cramoisi et les cheveux tout ébouriffés. Sans parler de ses genoux couleur rouge sang. A cet instant, la prof entra dans la loge.

— Alors vous deux, vous êtes prêt ? Oh… s’exclama-t-elle, bouche bée, en nous découvrant nus et dans un drôle d’état.

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Une réponse à Je suis timide mais je me soigne (2) – My first love – acte 1

  1. JEJE 25 mai 2020 at 18:32 #

    A QUAN LA SUITE

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