Je suis timide mais je me soigne (1) – Les boules chez ma dermato

Je soignais un problème d’acné depuis ma puberté et ma dermato me prescrivait régulièrement du Zinc et d’autres vitamines. Tous les trois mois, j’allais la voir et ça se passait plutôt bien. J’avais de moins en moins de boutons. Pourtant, un jour, elle me demanda d’enlever mon slip. Elle m’expliqua que c’était nécessaire de le faire au moins une fois, elle n’avait jamais eu l’occasion de m’examiner complètement.

— Pas de nouveaux grains de beautés on dirait, c’est bon.
— Je peux me rhabiller ?
— Non, pas encore.

Accroupit devant moi, elle réfléchissait, mettait son crayon dans la bouche et le mordillait. Son visage n’était qu’à quelques centimètres de mon zizi et je ressentais beaucoup de gène…

— Tu supportes bien les gélules ? Plus de douleurs au ventre ?
— Non, depuis que je les prends le soir ça va mieux.
— Bien… bien…

On aurait dit qu’elle essayait de trouver un prétexte pour que l’examen dure plus longtemps. Alors que tout allait bien et que j’étais en parfaite santé !

— Tu m’excuses mais je dois regarder là aussi.

Elle attrapa mes testicules, les soupesa et les releva un peu pour regarder en dessous. Elle m’examina de près avec une sorte de loupe et sembla satisfaite.

— Voilà, c’est presque fini.

A cause de sa manipulation, mon sexe s’allongea et se redressa. J’étais en train de bander.

— C’est moi qui te fait cet effet là ? demanda-t-elle en levant les yeux.

J’avais une vue imprenable sur son décolleté et mes hormones travaillaient à plein régime. Soudain, une vague de plaisir inonda tout mon corps et impossible de contrôler quoi que ce soit. Je giclais des jets transparents sur son visage.

Elle se leva et s’essuya la joue avec un mouchoir. Elle n’était pas du tout en colère contre moi. Elle remarqua mon interrogation.

— Sans doute le trop plein… j’ai peut-être un peu trop forcé sur la dose dit-elle en se parlant à elle-même.
— C’est grave docteur ? demandais-je, inquiet.
— Non, pas du tout, au contraire. C’est bon signe, ne t’inquiètes pas. Et puis quand y’en a trop… il faut bien que ça sorte.

Elle me regardait en se grattant le menton.

— T’as une petite copine ? demanda-t-elle sérieusement.
— Euh non… Pas encore…
— Un beau jeune homme comme toi ? toujours puceau ? Quel gâchis…

Je baissais la tête, j’avais honte de lui avoir dit que j’étais célibataire.

— Je suis timide.
— Tu n’as pas l’air de l’être en ce moment… tu es nu devant moi avec une érection.
— Je vous connaît, c’est pour ça… je me sens à l’aise avec vous.
— Oui… oui, je vois…

Elle semblait vouloir m’aider…

— Pour vaincre ta timidité, tu devrais peut-être faire du théâtre… cela fonctionne pour certains grands timides, paraît-il. En plus, tu as vraiment un beau physique. Les filles vont toutes craquer, crois-moi !
— Merci…

Pensant que la séance était cette fois bel et bien terminée, j’avançais vers mes affaires.

— Attends ! s’exclama-t-elle en me tapotant le torse avec la gomme de son crayon. Tu t’es quand même déjà masturbé, pas vrai ? demanda-t-elle en plissant les yeux.

Cela semblait si important pour elle que je préférais lui dire la vérité.

— Non… répondis-je tout penaud.
— Tu dois absolument te vider régulièrement… Sinon, ça risque de sortir tout seul, comme aujourd’hui… Tu comprends ?

Tout en caressant mes testicules elle continuait de me parler.

— Tu vois comme elles sont belles ?

Je sentais ses petits doigts masser mes boules, c’était divin.

— Bon… Je pense qu’il vaut mieux prélever un échantillon…
— Un échantillon ?
— Oui, c’est plus prudent. Je vais faire analyser ton sperme… on ne sait jamais.

Et elle alla chercher une sorte de gros tube transparent, gradué. Cela m’effraya un peu.

— Voilà, je vais te montrer comment faire.

Elle prit mon pénis entre deux doigts et fit quelques allers-retours. Je ressentais une sensation étrange, j’avais un peu envie d’uriner. Faire des mouvements de vas et viens avec mon zizi… je n’y avais jamais pensé !

— Tu vois ? Tu fais ça avec ta main… m’expliqua-t-elle gentiment.

A mon tour, je fis comme elle. J’avais la quéquette toute dure et je sentais le plaisir monter progressivement. J’étais un peu maladroit mais c’était tout de même bon… c’était un peu laborieux…

— Viens… Je vais t’aider…

Elle se baissa devant moi et plaça le tube sous mon sexe. Elle me caressa les jambes, les genoux, les fesses… Elle embrassa même le bout de mon zizi, une seule fois hélas. J’avais envie de lui mettre mon zizi dans sa bouche mais je n’osais rien faire…

Excité par toutes ses caresses, du sperme se mit enfin à sortir. Mon coeur battait très fort et je fermais les yeux… je flottais, j’avais l’impression de me vider totalement… Ma première vraie jouissance… après quelques secondes, elle me demanda :

— C’était bon ?

En ouvrant les yeux, je fis un oui avec ma tête.

Le tube était plein à ras bord. J’étais surpris par la quantité, plus importante que la première fois.

— Tu vois ! Tu en avais encore, tu risquais l’implosion… pouffa-t-elle en agitant le récipient. Merci, tu peux te rhabiller maintenant.

Une fois prêt, j’ouvris le rideau qui nous séparait.

Toute souriante, elle était assise derrière son bureau, les mains soutenants son menton. Un tube, identique au mien, était posé près d’un dossier… mais il était vide celui-ci…

— Bien, à dans trois mois alors… pour les résultats de l’analyse… dit-elle en laissant échapper un petit rot.

Elle avait une drôle d’haleine, pas très agréable.

— Et pour ce qui vient de se passer, tu n’en parles à personne… ce sera notre petit secret.

Elle me serra la main en me faisant un clin d’oeil et me raccompagna vers la salle d’attente.

Après avoir pensé et repensé à tout ça dans le métro, j’avais décidé de suivre son conseil. Après tout, pourquoi pas, c’était une thérapie comme une autre. J’allais faire du théâtre. Oui, je suis timide mais je me soigne, pensais-je tout haut.

*****

Pendant ce temps-là, chez la dermato.

— Allo, c’est moi. Oui, il est prêt. Avec le cocktail que je lui donne depuis toutes ces années… crois-moi, c’est du délire… j’y ai même gouté aujourd’hui. Non, il ne se doute de rien. Il était encore puceau… Le pauvre, si il savait… oui, je te tiens au courant. Bon, je te laisse, la substance aphrodisiaque fait déjà effet !

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